Le problème que pose la psychanalyse ne tient pas à ce qu'elle peut être considérée comme un exercice illégal de la médecine puisque des nombreux psychiatres s'en réclament et la pratique de façon parfois catastrophique pour les patients, mais en ce qu'elle repose sur une doctrine controuvée, essentiellement paranoïaque, inventée par un gourou plus soucieux de son propre intérêt que du sort de ses patients, qu'il considérait en privé comme une racaille juste bonne à servir à ses recherches et à le faire vivre. Il disait des "fous" que la société devrait s'en débarrasser en en faisant des cargaisons pour les couler. Un "programme" qu'Adolf Hitler n'a pas manqué de mettre à exécution avant même d'avoir fait délivrer à Sigmund Freud un sauf conduit par un certain Anton Sauerwald, un officier SS soi-disant "fan" de psychanalyse, (selon Eliette Abécassis, dans "Un secret du docteur Freud", paru en août 2014 aux éditions Flammarion, probablement écrit et inspiré par sa maman, psychanalyste); Je ne peux souscrire à la tribune "La psychanalyse, ou l'exercice illégal de la médecine" parce que de nombreux psychiatres patentés avaient, au nom de la "science" et de la rationalité, participé pendant la guerre à "l'élimination douce des "malades mentaux". Un programme que Alexis Carrel, prix Nobel de médecine en 1912, n'aurait pas désapprouvé. Il considérait en effet qu'il existait des être "inférieurs". Il avait écrit, en 1936, dans la préface à l'édition allemande de "L'homme cet inconnu" <br /> <br /> « En Allemagne, le gouvernement a pris des mesures énergiques contre l'augmentation des minorités, des aliénés, des criminels. La situation idéale serait que chaque individu de cette sorte soit éliminé quand il s'est montré dangereux ».<br /> <br /> Se réclamant de la science et de la rationalité, il préconisait non pas la démocratie, mais la biocratie. On le voit, entre Freud et Alexis Carrel, il y avait convergence. Freud pensait mériter prix Nobel pour ses prétendues "découvertes", des découvertes auxquelles bien des psychiatres continuent de croire quand ils parlent d’œdipianiser des patients. Cf. p. ex. sur Internet les écrits du docteur Pierre Sabourin, psychiatre et psychanalyste. <br /> <br /> . .