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"Au bonheur d'Elise"
30 août 2019

Je ne vois aucune différence de mon côté ->familles dubitatives quant aux moyens promis pour scolariser les enfants handicapés

 

"Je ne vois aucune différence de mon côté" : des familles dubitatives quant aux moyens promis pour scolariser les enfants handicapés

Présenté jeudi 29 août, le "grand service public de l'école inclusive" prévoit notamment davantage d'accompagnants pour les élèves en situation de handicap. Mais à quelques jours de la rentrée, familles et professionnels sont sceptiques. "Cela me fait sourire, car je ne vois aucune différence de mon côté.

https://mobile.francetvinfo.fr

 

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30 août 2019

257 enfants handicapés privés de rentrée dans la Drôme

 

257 enfants handicapés privés de rentrée dans la Drôme

Société L'Adapei de la Drôme, l'association qui regroupe les parents de ces enfants, lance l'alerte et crie au scandale. Il n'y a plus de place pour eux dans les quatre instituts médico-éducatifs de l'association. Les retrouvailles avec les copains, la fierté de montrer son nouveau cartable...

https://www.francebleu.fr

 

28 août 2019

Cluzel se réjouit d'un vrai mouvement vers l'école des enfants handicapés

AFP
Modifié le 28/08/2019 à 11:00 - Publié le 28/08/2019 à 10:12 | AFP
Cluzel se réjouit d'un
Cluzel se réjouit d'un "vrai mouvement vers l'école" des enfants handicapés © AFP/Archives / ludovic MARIN

La secrétaire d'Etat chargée des Personnes handicapées, Sophie Cluzel, s'est félicitée auprès de l'AFP d'un "vrai mouvement vers l'école" des enfants en situation de handicap, qui seront 23.500 de plus qu'il y a un an à être scolarisés en cette nouvelle année scolaire.

Cette rentrée 2019 symbolise "la mise en place du grand service public de l'école inclusive", a déclaré Mme Cluzel dans un entretien à l'AFP.

Au total, "plus de 361.000 élèves handicapés" sont accueillis en milieu ordinaire, sans compter les "70.000 qui sont scolarisés dans les établissements médico-sociaux", a précisé la secrétaire d'Etat mercredi sur RMC.

Cette rentrée est marquée par l'arrêt des recrutements d'accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) - 4.500 en plus cette année en équivalent temps plein - en contrats aidés, au profit de CDD de trois ans renouvelables une fois, puis de CDI. Une mesure qui "permet d'éviter la rupture d'accompagnement en cours d'année scolaire", a fait valoir Mme Cluzel auprès de l'AFP.

"Avant, chaque année, il fallait repasser devant (le) guichet de la MDPH (Maison départementale des personnes handicapées) pour justifier que l'enfant avait encore besoin d'un AESH: ça c'est fini, on simplifie la vie des familles", s'est-elle félicitée sur RMC.

Parmi les nouveautés de la rentrée, chaque département dispose désormais d'un numéro d'écoute ouvert aux parents d'enfants en situation de handicap, leur permettant d'avoir "une réponse localisée", selon Mme Cluzel.

Autre initiative: "On fait rentrer les professionnels du médicosocial dans l'école", a indiqué la secrétaire d'Etat, citant "les orthophonistes, les psychomotriciens, les ergothérapeutes, les psychologues..."

"C'est ça que nous demandent les parents", que les enfants "aillent à l'école toute la journée", a-t-elle ajouté, citant un taux de "86 %" d'enfants scolarisés à temps plein: là aussi ça avance".

28/08/2019 10:59:32 -          Paris (AFP) -          © 2019 AFP

28 août 2019

Aide handicap École : mieux accueillir les parents et l'élève et simplifier les démarches

 

Aide handicap École : mieux accueillir les parents et l'élève et simplifier les démarches

Des cellules d’accueil départementales de l’école inclusive sont mises en place dans chaque département de juin à octobre. Elles sont à l’écoute des parents d'élèves en situation de handicap et leur apportent une réponse de première intention sous 24 heures.

https://www.education.gouv.fr

 

27 août 2019

Avant la rentrée, les familles d’élèves handicapés dans l’angoisse

article publié dans La Croix

 

Enquête

À moins d’une semaine de la rentrée des classes, des familles d’enfants en situation de handicap témoignent de leurs difficultés.

La ministre Sophie Cluzel assure que l’école inclusive devient une réalité, avec 20 000 enfants supplémentaires scolarisés cette année.

Florence Pagneux, le 27/08/2019 à 06:48 Modifié le 27/08/2019 à 07:55

Avant la rentrée, les familles d’élèves handicapés dans l’angoisse

 

Cette année encore, la rentrée de Thibaud, bientôt 6 ans, prendra des allures de « combat ». Scolarisé en grande section de maternelle, il ne pourra pas s’y rendre à temps plein. « Depuis qu’il est entré à l’école, il n’est accepté qu’en présence de son auxiliaire de vie scolaire (AVS), raconte Alexandra, sa maman. Et c’est la même bataille pour la cantine. » Atteint du syndrome de Dravet, provoquant crises d’épilepsie, troubles du comportement et déficience intellectuelle, il bénéficie, après de nombreux recours, de 18 heures d’aide humaine octroyées par la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) de Loire-Atlantique.

« Comment parler d’école inclusive quand on contraint les parents à se battre en permanence pour scolariser leur enfant ? », interroge cette médecin du CHU de Nantes, qui a réduit son temps de travail pour s’occuper de son fils. Sa demande de place en institut médico-éducatif (IME), où il bénéficierait d’un accompagnement plus adapté, est en attente depuis deux ans. « C’est une perte de chance pour lui et un ralentissement de ses progrès. »

Des familles témoignent

Dans ce département à la démographie dynamique, l’Unapei chiffre à 396 les demandes de places en IME non satisfaites (dont 261 depuis plus d’un an), tandis que l’Association pour adultes et jeunes handicapés (APAJH) décompte, elle, 300 à 400 familles en difficulté pour cette rentrée. « Nous avons beau, chaque année, mettre ces chiffres en avant, rien de bouge », déplore Sophie Biette, présidente de l’Adapei de Loire Atlantique et vice-présidente de l’Unapei.

D’où l’invitation à témoigner sur le site Internet « marentree.org » pour mettre ces situations en lumière (1). Comme celle de Charlie, 5 ans, gardé à domicile à Lyon faute de place en IME et qui n’a jamais mis le pied à l’école. Ou d’Anouk, 12 ans, en Vendée, qui n’a pas encore de place en unité localisée pour l’inclusion scolaire (Ulis) au collège.

Une progression constante

Secrétaire d’État auprès du premier ministre chargée des personnes handicapées, Sophie Cluzel répond que « le rythme et la qualité de la scolarisation des enfants en situation de handicap ne cessent de progresser » : comme l’an passé, 20 000 nouveaux enfants seront scolarisés cette année en milieu ordinaire, annonce-t-elle. Au total, on observe un triplement des enfants scolarisés depuis 2006. 86 % de ces enfants sont scolarisés à temps plein dont un peu plus de la moitié bénéficient d’une aide humaine.

« Tous les enfants doivent trouver le chemin de l’école de la République, quel soit leur lieu de scolarisation », souligne-t-elle. Plus de 3 000 pôles inclusifs d’accompagnement localisés (PIAL) seront actifs en cette rentrée pour faciliter l’accompagnement des élèves. Quant aux cellules d’écoute déployées par l’Éducation nationale dans chaque département, elles avaient enregistré 2 500 appels avant les vacances (2). « Elles répondent sous 24 heures aux familles sur la situation de leur enfant, en lien avec les différents interlocuteurs », précise la ministre.

Des enseignants peu formés

Sophie Biette s’inquiète particulièrement pour les enfants souffrant d’autisme, de troubles du comportement ou de déficience intellectuelle : « Les enseignants ne sont pas formés à leur accueil et les places en médico-social manquent. » La ministre, elle, assure que « des nouveaux outils, comme la plate-forme Cap École Inclusive, vont permettre de renforcer l’adaptation pédagogique des enseignants » : « On met tout en œuvre pour que les parents redeviennent des parents d’élèves comme les autres, et n’aient plus à interrompre leur vie professionnelle pour amener leur enfant chez l’orthophoniste ou à faire des kilomètres pour trouver une structure adaptée. »

Pour Rémi Turpin, président de l’APAJH 44, « si la volonté politique est claire, les finances ne sont pas à la hauteur des besoins ». Pour que son fils bénéficie d’un accompagnement adapté, Alexandra, elle, se lance dans un nouveau combat : elle va porter plainte contre l’État pour « carence de prise en charge ».

(1) Initiative lancée par l’Unapei et soutenue par une quinzaine d’associations.

(2) 0 800 730 123

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23 août 2019

ÉDUCATION. Handicap : les Français souhaitent une école plus inclusive (et plus de moyens)

 

ÉDUCATION. Handicap : les Français souhaitent une école plus inclusive (et plus de moyens)

Pas facile d'aller à l'école, pas facile de se former. En dépit des discours réitérés sur l'inclusion, les deux tiers des Français pensent toujours que c'est le cas lorsqu'on souffre d'un handicap, quel qu'il soit. Ce sentiment est renforcé au sujet des enfants présentant des déficiences intellectuelles ou des troubles autistiques.

https://www.estrepublicain.fr

 

23 août 2019

Amendement Creton : ces adultes qui restent des enfants !

article publié sur Handicap.fr

25 ans après sa création, 5700 jeunes handicapés sont maintenus dans des établissements pour enfants au titre de l'amendement Creton. Accueil inadapté, cohabitation parfois délicate, liste d'attente pour les enfants... Ce système a ses limites.

19 août 2019 • Par

 

Illustration article

Il a permis d'éviter des situations dramatiques… Fin 2014, 25 ans après sa création, 5 700 jeunes bénéficient de l'amendement Creton, du nom du comédien Michel Creton qui l'avait défendu. En juin 2019, la Dress (Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques) fait le bilan (dossier n°36, à partir des chiffres 2014, en lien ci-dessous). Ce système autorise, depuis 1989, le maintien de jeunes adultes en situation de handicap dans un établissement pour enfants alors qu'ils ont atteint l'âge limite et sont dans l'attente d'une place dans une structure pour adultes. L'accueil « peut être prolongé au-delà de l'âge de 20 ans ou, si l'âge limite pour lequel l'établissement est agréé est supérieur, au-delà de cet âge dans l'attente de l'intervention d'une solution adaptée ». Auparavant, les « sans solution » pouvaient en être exclus. Cet amendement a ainsi permis d'éviter des ruptures d'accompagnement en diminuant le nombre de retours à domicile sans activité ni prise en charge médico-sociale.

Des inconvénients

Malgré ses avantages, ce dispositif a fait naître des difficultés face au nombre croissant de bénéficiaires et leur maintien prolongé dans les établissements pour enfants. L'organisation s'en trouve affectée : l'accompagnement proposé à des enfants peut ne pas être identique à celui dédié aux plus de vingt ans tandis que la cohabitation entre mineurs et jeunes adultes peut s'avérer complexe, voire poser des problèmes d'ordre juridique. Par ailleurs, ce dispositif crée une pression sur l'offre des établissements pour enfants puisque ce sont autant de places qui ne sont pas libérées.

Une baisse toute relative

Trois quarts des jeunes qui relevaient de l'amendement et sont sortis d'établissement au cours de l'année 2014 ont eu une prise en charge à leur sortie qui correspondait à celle préconisée par la Commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH). Ils présentent globalement des handicaps et incapacités plus sévères que le reste des jeunes handicapés accueillis en établissement. Après une augmentation entre 2006 et 2010 où le nombre de jeunes adultes bénéficiaires de l'amendement Creton est passé de 5 000 à 6 000, on enregistre, fin 2014, une légère diminution avec 5 700 jeunes, soit moins 4%. Mais le nombre d'enfants et adolescents accueillis en établissement ayant globalement baissé sur cette période, leur part dans le public accueilli par les établissements pour enfants ne fait qu'augmenter, atteignant 6,7 % fin 2014.

Une majorité de garçons

La plupart des jeunes bénéficiaires ont entre 20 et 23 ans et sont majoritairement non scolarisés. Si les plus de 25 ans demeurent minoritaires, ils sont surreprésentés dans les établissements pour personnes polyhandicapées, avec 10 % de bénéficiaires de l'amendement contre 3% dans l'ensemble des établissements. « On observe une prépondérance de garçons, qui s'explique en partie par une plus forte proportion de difficultés mentales et comportementales décelées chez les jeunes garçons, assure la Dress. Cette surreprésentation se retrouve presque à l'identique chez les jeunes relevant de l'amendement Creton. »

Orientations diverses

A leur sortie, quelle orientation ? Elles sont diverses : un tiers des jeunes est en attente d'une place dans une structure de travail protégé (ESAT), un tiers est orienté vers des établissements pour des personnes disposant d'une certaine autonomie (foyers de vie, foyers occupationnels) et le dernier est orienté vers des établissements médicalisés pour ceux qui ont besoin  de l'aide d'un tiers dans la vie quotidienne (MAS ou FAM). Depuis 2006, la proportion de jeunes bénéficiaires du dispositif qui se retrouvent après leur sortie à domicile sans activité ni prise en charge médico-sociale reste relativement stable : 430 (12,2 %) fin 2014.

19 août 2019

Handicapés français vivant en Belgique : explosion des dossiers judiciaires

19/08/19
Handicapés français vivant en Belgique: explosion des dossiers judiciaires

Il y a plusieurs mois, sur ordre du ministère de Sophie Cluzel, Secrétaire d’État française en charge du handicap, la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie a convoqué les Maisons départementales du handicap des régions Île-de-France, Hauts-de-France et Grand-Est pour leur ordonner de ne plus orienter en Belgique s’il existait une solution en France, même partielle et/ou inadaptée et/ou plus éloignée. En raison du durcissement de ces conditions d’accès à la Belgique pour les Français en situation de handicap, les situations dramatiques des familles concernées se multiplient.


- [A lire] : Le coup d’gueule de l’AFrESHEB et une nouvelle loi inquiétante

Si le gouvernement actuel a hérité d’une situation catastrophique dans bien des domaines, et si les actes des gouvernements précédents étaient plus ou moins éloignés de leurs discours, jamais jusqu’à présent leur discours n’a été exactement l’inverse de leur action. C’est maintenant chose faite.

En ce qui concerne le handicap, cette société et école inclusive au rabais qu’on veut nous vendre n’est pas faite pour les enfants et les adultes plus sévèrement atteints, ceux dont on ne voulait pas en France et qu’on envoyait en Belgique.

Honnie par la plupart des personnes handicapées et de leurs proches (un baromètre APF de 89% d’insatisfaits !), ayant parachevé la mise à mort de la loi de 2005, Mme Cluzel veut apparemment rester dans l’histoire la Secrétaire d’État qui aura mis un terme à « l’exil » en Belgique, au mépris de l’article 18 de la Convention relative aux droits des personnes handicapées sur le droit de circuler librement et de la nationalité.

Cela, sans objectifs pour amener en France ce que les familles viennent chercher en Belgique, ni d’échéances pour le réaliser. Et à quel prix ? Combien de drames, combien de malheurs ?

Mme Cluzel, en affirmant que nul n’est inemployable (et, sous-jacent, une attribution du futur revenu universel d’activité sous condition) se montre complètement déconnectée des réalités. Comme si une personne porteuse de polyhandicap, d’autisme profond, de déficience intellectuelle profonde et/ou présentant des troubles très graves du comportement était en mesure de travailler !

Que Mme Cluzel soit mère d’une jeune fille porteuse de trisomie 21 mais performante, travaillant à l’Élysée, ne la dédouane pas de savoir, en tant qu’ancienne présidente d’association handicap, qu’il existe des problématiques bien plus sévères. Je ne pense d’ailleurs pas un instant qu’elle l’ignore.

Pour la plupart, ce n’est pas une population susceptible de décrocher un emploi qui se réfugie en Belgique (bien que pour les enfants, le fait d’avoir eu justement une éducation structurée en étant jeune peut leur offrir cette possibilité au futur).

Nous traitons quasi-quotidiennement des dossiers judiciaires de Français en situation de handicap en Belgique : refus d’orientation, refus de prise en charge financière de transport et/ou d’hébergement par les organismes français, signalements abusifs en France...

Nous avons traité récemment notre toute première affaire de signalement pour inscription dans l’enseignement spécialisé en Belgique. Motif : refus de l’hôpital de jour en France par les parents qui préféraient une scolarisation adaptée = défaut de soins pour les services de protection infantile.

L’AFrESHEB a travaillé sur ce dossier en étroite collaboration avec une avocate locale (Pas-de-Calais), spécialisée en droit de la famille.

Le non-lieu à assistance éducative a été prononcé le 5 août 2019.

Le petit M. aura un avenir.

Isabelle Resplendino

Présidente de l’AFrESHEB

Association par et pour les Français en situation de handicap et leur famille

19 août 2019

L'Allocation de rentrée scolaire (ARS) désormais ouverte aux enfants handicapés en maternelle

 

L'Allocation de rentrée scolaire (ARS) désormais ouverte aux enfants handicapés en maternelle

Actualités Mon argent: HANDICAP - C'est une nouveauté cette année. L'allocation de rentrée scolaire (ARS) est désormais ouverte à tous les enfants dès 6 ans, même s'ils sont encore scolarisés en maternelle.

https://www.lci.fr

 

18 août 2019

Un immense espace vert au coeur de Paris va ouvrir pour les handicapés

 Dossier en 4 articles

Un immense espace vert au coeur de Paris va ouvrir pour les handicapés

Un espace vert à but thérapeutique va enfin voir le jour à Paris...

https://www.pariszigzag.fr

=> Voir aussi :

Un complexe de 30 000 m2 dédié au handisport va ouvrir ses portes à Paris

Enfin ! Alors que la ville de Paris est plus que jamais à la traîne sur le secteur de la mobilité, un projet vient quelque peu nous remonter le moral. Son nom ? La Cité Universelle. Lauréat de Réinventer Paris 2, ce lieu au nom utopique sera le tout premier complexe dédié au handisport, qui devrait ouvrir ses portes avant 2024.

https://www.timeout.fr

 => et encore :

Marseillaise (19e) | Sites | reinventer.paris / Appel à Projets Urbains Innovants

Equipe lauréate : La Cité Universelle Porteur : Ga Smart Building Architectes : Baumschlager Eberle Architekten, INEDIT Architecture Autres : AEW, WAGON landscaping, Handigo, Cassio P, Alpha Ville, SAS 10h11, Khephren Ingénierie, Elithis Ingénierie, Tisseyre + Associés, Bénéfficience, DAL, Bureau Veritas, JLL, Ryadh Sallem Conseil, Startway, Louvre Hotels, Les Turbulances, IPSO Santé, Handi Fitness, DB Régie, Séquences Clés Event, CAPSAAA, Merci Raymond, Merci Oscar, Handitech Porte de Pantin, au 15 - 19 rue de la Marseillaise (19 ème arrondissement), ce terrain de la Ville de Paris dispose d'une situation métropolitaine de choix.

http://www.reinventer.paris

 => Et pour finir ...

Pantin : la future cité universelle effacera les handicaps

C'est un projet qui va transformer le visage de la porte de Pantin . Et qui devrait devenir un exemple de ce qui se fait de mieux en matière d'accessibilité en France.

http://www.leparisien.fr

 

15 août 2019

Vidéo -> sport adapté

logo fédération sport adaptéLa pratique du sport quand on est handicapé physique est un sujet souvent abordé dans les médias. On parle plus rarement de l'activité physique quand on est handicapé mental. Nous avons voulu comprendre avec ce reportage l'importance que peut avoir le sport pour ces personnes.


sport adapté from Marc Borne on Vimeo.

 

10 août 2019

Handicap. Face à l’exclusion scolaire, une association lance un appel à témoignages

article publié dans Ouest France

L'Unapei va recenser les témoignages de familles mais aussi de personnels de l'Éducation nationale concernant l'accès à l'éducation des élèves handicapés (photo d'illustration)
L'Unapei va recenser les témoignages de familles mais aussi de personnels de l'Éducation nationale concernant l'accès à l'éducation des élèves handicapés (photo d'illustration) | ERIC FEFERBERG / AFP


 

L’Unapei, association qui milite pour l’accès des enfants handicapés à l’éducation, lance ce vendredi une plateforme sur internet visant à récolter des témoignages de parents sur la « réalité de parcours éducatif et scolaire » de leurs enfants.

La scolarisation des enfants handicapés peut parfois être un vrai parcours du combattant. L’Unapei, qui milite pour leur accès à l’éducation, lance ce vendredi 9 août un appel à témoignages des parents.

La plateforme, marentree.org, a pour objectif de « donner la parole aux parents d’enfants en situation de handicap et leur permettre de mettre en lumière la réalité du parcours éducatif scolaire de leur enfant, souvent source d’exclusion et de perte de chance », affirme l’Unapei dans un communiqué.

« Cette année encore, pour la rentrée scolaire, des milliers d’enfants en situation de handicap sont exclus des bancs de l’école », regrette déjà l’Unapei à moins d’un mois de la rentrée, prévue nationalement le 2 septembre.

« Recenser les besoins »

« Cette plateforme vise à recenser les besoins », explique Sonia Ahehehinnou, porte-parole de l’Unapei. « Le gouvernement a mis en place des projets d’amélioration avec lesquels nous sommes en phase, mais il faut que toutes les actions menées soient cohérentes ».

L’Unapei entend ainsi collecter des témoignages de toutes les personnes qui peuvent être touchées par le sujet : les parents, donc, mais aussi « les personnels de l’Éducation nationale, personnels médico-sociaux, ainsi que des parents d’enfants non-handicapés qui ont dans leurs classes des enfants en situation de handicap », énumère la porte-parole de l’Unapei.

L’inclusion scolaire des enfants handicapés « avance à pas lents », soulignait le député (PCF) de la Seine-Maritime Sébastien Jumel dans un rapport parlementaire remis le 18 juillet. La loi du 11 février 2005 pose pourtant le droit pour chaque enfant handicapé d’être scolarisé dans l’école de son quartier.À la rentrée 2018, plus de 340 000 enfants handicapés étaient scolarisés en milieu ordinaire et près de la moitié disposaient d’un accompagnement humain.


 

Voir aussi :

Handicap: de nombreux enfants victimes d'exclusion scolaire

"Des milliers d'enfants" handicapés ne sont pas scolarisés ou sans solution adaptée, selon une association qui lance un appel à témoignages. À moins d'un mois de la rentrée scolaire, "des milliers d'enfants" handicapés sont encore "exclus des bancs de l'école" ou sans solution éducative adaptée, selon l'Unapei, une fédération d'associations de représentation et de défense des personnes handicapées mentales.

http://www.lefigaro.fr

 

 

5 août 2019

La Conférence nationale du handicap de cet automne se prépare - Actualité fonction publique territoriale

 

La Conférence nationale du handicap de cet automne se prépare - Actualité fonction publique territoriale

Sous la bannière " Tous mobilisés, tous concernés ! ", la Conférence nationale du handicap (CNH) 2018-2019 se tiendra à l'automne. Devant le Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH) et en présence de la secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées, Sophie Cluzel, les rapporteurs des cinq chantiers nationaux mis en place dans le cadre de la CNH ont restitué, le 10 juillet 2019, le résultat de leurs travaux.

https://www.weka.fr

 

3 août 2019

Le Parlement japonais aménagé en urgence pour accueillir deux sénateurs handicapés

 

Le Parlement japonais aménagé en urgence pour accueillir deux sénateurs handicapés

Les deux élus, qui souffrent de lourds handicaps, ont participé, jeudi, à la première session extraordinaire organisée depuis les élections sénatoriales du 21 juillet. C'est avec fébrilité et dans la précipitation que le Parlement japonais a mené des travaux et modifié ses règlements pour pouvoir accueillir deux élus affectés de lourds handicaps.

https://www.lemonde.fr

 

2 août 2019

Conférence nationale du handicap : restitution de la mobilisation nationale

 

Conférence nationale du handicap : restitution de la mobilisation nationale - Secrétariat d'État auprès du Premier ministre chargé des Personnes handicapées

Une restitution des travaux de la 5e Conférence nationale du handicap (CNH) a eu lieu le 10 juillet 2019. Intitulée " Tous concernés, tous mobilisés ", cette conférence marque la volonté d'une mobilisation citoyenne inédite, avec et pour les personnes en situation de handicap.

https://handicap.gouv.fr

 

1 août 2019

Ouverture des Groupes d’Entraide Mutuelle (GEM)

 

 

Ouverture des Groupes d’Entraide Mutuelle

Sortir de l’isolement et prendre sa place dans la société pour les adultes autistes et porteurs de troubles du neuro développement (TND) : Deux objectifs majeurs rendus possibles grâce à l’ouverture des Groupes d’Entraide Mutuelle (GEM)

La stratégie nationale autisme au sein des TND prévoit l’ouverture d’un GEM dans chaque département d’ici 2022 et ce sont 8 millions d’euros sur les quatre années à venir qui seront dédiés à ce dispositif.

Introduits par la loi du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, les GEM sont des dispositifs essentiels de lutte contre l’isolement et de prévention de l’exclusion sociale de personnes en grande fragilité.
Ils sont organisés sous forme associative et constitués entre personnes ayant des troubles de santé ou un handicap similaires. Ils offrent un espace pour se soutenir mutuellement dans les difficultés rencontrées, notamment en termes d’insertion sociale, professionnelle et citoyenne.

Comment fonctionne un GEM ?

Les GEM ne sont pas des structures médico-sociales au sens de l’article L. 312-1 du Code de l’action sociale et des familles. Ils ne délivrent pas de soins et l’adhésion au GEM n’est pas conditionnée à une orientation par la commission des droits et de l’autonomie des personnes handicapées. Ils s’inscrivent dans des nouvelles formes de solidarité, la pair-aidance, c’est-à-dire le soutien par les pairs qui rencontrent des difficultés similaires et sont donc à même d’apporter un soutien, une écoute, un partage d’expériences autour des troubles et du parcours de chacun. La pair-aidance part aussi du principe que chaque personne est experte, de par son expérience, de la maladie.
Les GEM Autisme et TND disposeront de moyens financiers alloués par les ARS, variables en fonction de leurs besoins et de leurs modes de fonctionnement. Les cofinancements, notamment des collectivités locales, sont encouragés car ils confortent la dynamique d’implantation locale des GEM. 

Concrètement, que feront les adultes autistes et porteurs de TND adhérents d’un GEM ?

Les GEM proposent des activités souvent axées sur les loisirs, la créativité (écriture, arts plastiques…), la vie quotidienne (préparer et partager un repas). Ils ont aussi vocation à proposer des activités (sorties culturelles, randonnées, pique-niques…). Enfin, le GEM peut également proposer un accompagnement aux adhérents qui le souhaitent sur des problématiques sociales, de logement, de recherche d’emploi ou d’accès aux droits.

Quels bienfaits attendus pour ces adultes, adhérents d’un GEM ?

Estime de soi renforcée, amélioration du bien-être et de la perception par les personnes de leur état de santé général …, l’impact positif sur la situation de vie des membres des GEM a fait l’objet d’une étude conduite par l’ANCREAI1 en 2017. Selon cette étude, le fonctionnement non médicalisé permet aux membres de se responsabiliser et de reprendre confiance en eux. La pair-aidance aide ainsi à reprendre le contrôle de sa vie, à croire en ses propres compétences et capacités et donc à trouver sa place dans la société : la personne ne se perçoit plus seulement comme « objet de troubles » mais aussi comme individu, citoyen, acteur de son parcours. Par ailleurs le GEM participe à l’amélioration de la santé globale de la personne.

Pour Claire Compagnon, déléguée interministérielle :

« il nous appartient de développer au plus vite tous les dispositifs qui permettent de rompre l’isolement des personnes autistes et le GEM constitue une réponse possible dans la mesure où il est un lieu dans lequel les adhérents construisent eux-mêmes, avec l’aide de professionnels et de bénévoles, ce qu’ils veulent faire de ce lieu, ce qu’ils veulent y vivre. Il est le lieu du faire ensemble, lieu d’échanges et de rencontres et nous veilleront au bon développement de ces organisations citoyennes favorisant l’autonomie des personnes adultes et leur pleine inclusion dans la société. »

1Association nationale des centres régionaux d’études, d’actions et d’informations

Contact presse
Arnaud Lestang / arnaud.lestang@pm.gouv.fr

31 juillet 2019

La MAS Virginie des Pavillons-sous-Bois mise sous administration provisoire

 

La MAS Virginie des Pavillons-sous-Bois mise sous administration provisoire

L'Agence régionale de santé Île-de-France a été destinataire le 1 er juillet 2019 d'un signalement provenant de la famille d'un usager de la Maison d'accueil spécialisée (MAS) Virginie des Pavillons-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) pour des faits de violences. Une inspection a été diligentée par l'ARS, qui s'est rendue dans l'établissement le 25 juillet.

https://www.iledefrance.ars.sante.fr

 

31 juillet 2019

PCH : le droit à la compensation, un chantier urgent ?

 

PCH : le droit à la compensation, un chantier urgent ?

" Et les aides à l'autonomie des personnes en situation de handicap ? Pourquoi personne n'en parle ? ", s'interroge APF France handicap. Elle demande que leur financement soit " enfin à la hauteur des droits ! ".

https://informations.handicap.fr

 

30 juillet 2019

Les Pavillons-sous-Bois : inspection de l'ARS dans un foyer pour handicapés après de nouveaux soupçons de maltraitance

Les Pavillons-sous-Bois : inspection de l'ARS dans un foyer pour handicapés après de nouveaux soupçons de maltraitance
Un homme déficient intellectuel tient la main d'un soigneur dans une maison d'accueil pour personnes handicapées du sud de la France (illustration).

 

Orange avec AFP-Services, publié le mardi 30 juillet 2019 à 11h50

Une nouvelle plainte a été déposée contre la structure d'accueil et treize signalements ont été faits à l'Agence régionale de santé. 

Une nouvelle plainte a été déposée pour des soupçons de maltraitance à la Maison d'accueil spécialisée (MAS) des Pavillons-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), qui héberge depuis 2011 de jeunes adultes handicapés, révèle Le Parisien.

Monique, dont le fils de 29 ans est pensionnaire au MAS des Pavillons-sous-Bois, a reçu une vidéo envoyée anonymement et visionnée par le quotidien. Sur les images, filmées en caméra cachée, un homme frappe son fils lors d'une sortie et le menace. Elle était déjà inquiète pour son fils car elle avait remarqué qu'il avait des bleus lorsqu'il était rentré le weekend précédent.

Elle l'avait emmené chez le médecin qui lui a prescrit 10 jours d'incapacité totale de travail, explique-t-elle au Parisien. La MAS lui explique que son fils s'est fait ça seul mais Monique n'y croit pas. Son fils lui disait "Pas la MAS !" pour montrer qu'il ne voulait pas y retourner, raconte-t-elle

Elle décide donc de porter plainte "pour violences sur une personne vulnérable" contre la structure d'accueil.

L'établissement a déjà été visé par d'autres plaintes. En avril, Isabelle Casteret l'a attaqué pour "violences habituelles sur personne vulnérable", après avoir constaté à plusieurs reprises des bleus sur le corps de sa fille de 29 ans, Elodie. Avant cela, en juillet 2018, c'est la mère d'Arnaud qui a déposé une plainte pour les mêmes motifs. Cette retraitée a lancé la procédure après des griffures inexpliquées, une fracture de l'annulaire gauche et une brûlure au second degré. L'enquête est toujours en cours.

Monique a alerté l'Agence régionale de santé (ARS). Elle n'est pas la seule. Au total, l'ARS a reçu treize signalements. Une inspection a été menée à la Maison d'accueil spécialisée le 25 juillet. L'ARS devrait prendre des mesures en conséquence prochainement.

L'employé ayant frappé le fils de Monique a été mis à pied. La MAS a refusé de s'exprimer sur une enquête de police en cours. 


Fin 2014, 493.000 personnes handicapées étaient accueillies en établissements et services médico-sociaux, selon l'enquête ES-Handicap, publiée en 2018. 

29 juillet 2019

Création du diplôme universitaire -> Personnes expertes en situation de handicap (PESH)

 

Création du diplôme universitaire "Personnes expertes en situation de handicap"

Cette formation s'adresse aux personnes en situation de handicap, aux accompagnants et aux professionnels travaillant dans les domaines médico-sociaux, sanitaires, sociaux et de l'éducation. Ils pourraient occuper des fonctions telles qu'enseignant des cours de PESH médiateur de santé spécialisé dans le handicap, éducateur thérapeutique en santé, salarié d'une association de défense des personnes en situation de handicap, accompagnant tierce-personne...

https://handicap.paris.fr

 

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