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"Au bonheur d'Elise"
13 janvier 2019

Connaissez vous FOLA Percussions ?

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12 janvier 2019

Social. Un habitat partagé pour personnes handicapées et valides va ouvrir près de Bayeux

article publié sur actu.fr

Deux associations collaborent dans un projet innovant à Saint-Vigor-le-Grand, près de Bayeux (Calvados). Objectif: ouvrir un habitat partagé entre personnes handicapées et valides.

Guillemette de Séze, présidente de l'ISSEAD à Hérouville-Saint-Clair, a pensé avec les autres membres de l'association dont sa co-fondatrice, Marie-Claude Courtay, ce projet d'habitat partagé pour sa fille Pauline, trisomique, et d'autres personnes handicapées mentales ou physiques, qui y trouveraient un bon équilibre entre autonomie et accompagnement.Guillemette de Séze, présidente de l’ISSEAD à Hérouville-Saint-Clair, a pensé avec les autres membres de l’association dont sa co-fondatrice, Marie-Claude Courtay, ce projet d’habitat partagé pour sa fille Pauline, trisomique, et d’autres personnes handicapées mentales ou physiques, qui y trouveraient un bon équilibre entre autonomie et accompagnement. (©La Renaissance le Bessin)

« Cela fait des années que l’on travaille sur ce projet. C’est important pour nous de savoir que nos enfants pourront vivre dans un lieu où ils auront leur indépendance tout en étant accompagnés, car un jour viendra où l’on ne sera plus là… » Cette question de l’après, tous les parents d’enfants handicapés qui vivent toujours au domicile familial se la posent. Guillemette de Sèze en fait partie. Cette mère de 5 enfants vit avec son mari et sa fille de 42 ans dans une maison au calme à Cully, entre Bayeux et Caen.

Pauline est trisomique. La journée, elle est au FOA (Foyer occupationnel pour adulte) « La petite maison » à Hérouville-Saint-Clair, une structure créée par l’association ISSEAD (Insertion sociale et scolaire des enfants et adultes en difficulté), dont Guillemette est la présidente. Et le soir, elle rentre auprès de ses parents.

Une grande maison sur un terrain de 7 500 m2

L’idée de l’association était donc de trouver un lieu qui pourrait accueillir des adultes handicapés mentaux et physiques pour la nuit, un lieu où ils pourraient avoir leur appartement (donc leur indépendance), tout en étant entourés d’accompagnants et d’autres personnes, valides, voulant vivre autrement, dans un habitat partagé où elles pourraient rompre leur solitude notamment.

"On a visité beaucoup d’endroits, et on a fini par tomber sur une belle, grande et récente habitation à Saint-Vigor-le-Grand. Elle fait 450 m2 sur un terrain de 7 500 m2. C’est exactement ce qu’il nous faut."

La maison vient d’être achetée par la Fondation pour le Logement Social (FLS), une association nationale mobilisée en faveur du logement des plus fragiles, qui est partenaire du projet de l’ISSEAD. « L’avantage, c’est que tout est neuf, il n’y a donc que des travaux d’aménagements à faire pour la diviser en appartements ».

C’est dans cette maison de 450 m2, située à Saint-Vigor-le-Grand, près de Bayeux, que vivront 7 adultes handicapés, aux côtés de voisins solidaires, qui eux vivront dans un bâtiment qui doit être construit sur le terrain de 7 500 m2.C’est dans cette maison de 450 m2, située à Saint-Vigor-le-Grand, près de Bayeux, que vivront 7 adultes handicapés, aux côtés de voisins solidaires, qui eux vivront dans un bâtiment qui doit être construit sur le terrain de 7 500 m2. (©La Renaissance le Bessin)

Ouverture en 2019 ?

La maison comprendra donc 7 logements sociaux de type T1, qui seront loués à des personnes handicapées (trois suivies par le FOA d’Hérouville ont déjà prévu de s’y installer), et des espaces communs comme une salle à manger, une cuisine, une laverie… « Elle pourrait ouvrir courant 2019, mais rien n’est encore sûr pour le moment », prévient Guillemette de Sèze.

Tout en sachant que le projet ne s’arrêtera pas là, toute sa particularité résidant dans le fait de créer à terme un habitat partagé, et de pouvoir y déplacer le FOA d’Hérouville-Saint-Clair.

"Sur le terrain, on compte construire des logements sociaux – quelques-uns, pour rester à taille humaine – pour des personnes qui, quel que soit leur état de vie, recherchent un type d’habitat où la notion de lien social et de partage est prédominante. On a d’ailleurs déjà quelques demandes."

« Entraide mutuelle et partage des espaces »

Ensemble, dans ce lieu dont le nom a déjà été trouvé – « Le clos Bartimée, en référence à un personnage de l’Évangile qui a été guéri par Jésus » ? les co-habitants pourraient profiter d’un potager, d’un poulailler, d’un jardin d’agrément…

"L’idée est de s’appuyer sur l’entraide mutuelle et le partage des espaces. On n’est pas dans la logique du soin, mais du prendre soin."

11 janvier 2019

Interview Sophie ROBERT par Marina Carrère et Régis Boxele - Magazine de la santé 10.1.2019

11 janvier 2019

Allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH) : allongement de sa durée d'attribution

 

Allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH) : allongement de sa durée d'attribution

Un décret paru au Journal officiel du 27 décembre 2018 augmente la durée d'attribution de l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH).

https://www.service-public.fr

 

10 janvier 2019

Ploërmel. Ils veulent ouvrir leurs activités aux personnes à mobilité réduite

artiicle publié dans Ouest France

Véronique Mercier, Yannick Le Breton, Emmanuelle Hervé, Joël Renoux, le député Paul Molac et Chantal, adjointe de la ville de Ploërmel. Sur la joëlette, Anne Pointecouteau, présidente de l'association Toutangran.
Véronique Mercier, Yannick Le Breton, Emmanuelle Hervé, Joël Renoux, le député Paul Molac et Chantal, adjointe de la ville de Ploërmel. Sur la joëlette, Anne Pointecouteau, présidente de l'association Toutangran. | OUEST-FRANCE

Atout sports. L'association des R'handonneurs prête des joëlettes à des personnes mal ou non marchantes. Elle dispose de quatre joëlettes dont une nouvelle à assistance électrique.

L'association les R'handonneurs créé en 2005, est venue s'implanter à Ploërmel en 2009. Hier, elle présentait sa dernière acquisition, une joëlette à assistance électrique. « Un investissement de 6 200 € qui a été possible avec l'aide de financeurs publics et privés. Nous y avons travaillé pendant deux ans », partage Joël Renoux, le président.

La Région, le Département et Ploërmel Communauté ont suivi l'association. « Ce choix fait que nos joëlettes répondent à un intérêt général. Ce matériel permet à toutes les personnes mal marchantes ou non marchantes d'accéder à des activités de loisirs. L'espace de découverte et de connaissance doit être possible pour tous », complète Joël Renoux.

Avec cette nouvelle joëlette, l'association en compte désormais quatre. Elles sont pour les familles qui ont des enfants en situation de handicap moteur, les établissements scolaires et institutions, les gîtes, les professionnels du tourisme, les associations de solidarité, « mais aussi les adultes pour leurs besoins ou ceux de leur proche », ajoute Emmanuelle Hervé, trésorière.

Des prêts gratuits

« Aujourd'hui, nous courons après nos joëlettes et c'est tant mieux ! », enchaîne le président. Mais pour l'heure, cette joëlette électrique va être principalement en démonstration. Les R'handonneurs veulent montrer que ce matériel permet de se rendre sur les itinéraires de randonnée entre amis ou en famille. Il est important de signaler que le prêt est gratuit. « Lors du contrat, nous proposons une adhésion qui n'est pas obligatoire », assure Joël Renoux.

Ça Bouge avec Ethan, Rando-accueil, l'association des Hébergements de balade et randonnée en Bretagne, l'association Toutangrand « ont permis d'affirmer la pertinence de ce projet. » L'association Mille et un sourires utilise souvent les joëlettes pour des courses sur route. « Au-delà d'un défi sportif, l'utilisation d'une joëlette fédère autour d'une famille. C'est un rôle social important qui montre aux familles que d'autres sont là pour les soutenir », glisse Yannick Le Breton, le président.

Ne pas hésiter à demander

Un projet qui a séduit : « Il n'y a rien qui m'agace plus, sous prétexte de maladie ou autre, de voir des personnes laissées de côtés pour l'accession aux loisirs. Je trouve l'idée de cette association remarquable, partage Véronique Mercier. Mon mari est décédé, il ne voulait ni fleur, ni couronne. Des gens m'ont donné de l'argent. En toute logique, avec une moitié, j'ai acheté des jeux pour un centre hospitalier. L'autre moitié a été une évidence. J'ai donné pour l'achat de cette joëlette électrique. »

L'association des R'handonneurs prête également ses joëlettes lors de vacances pour des familles. « Bref, elles doivent sortir le plus possible. Il ne faut pas hésiter à les demander », conclut Joël Renoux.

Association R'handonneurs, renseignements ou réservations en appelant le 0677080711 ou sur le site: r'handonneurs.jimbo.com

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10 janvier 2019

Film La faim des fous: les heures sombres du handicap mental

La 2nde Guerre mondiale a été particulièrement meurtrière pour les personnes handicapées mentales. Dans les "asiles", elles sont négligées et meurent de faim. Le film "La faim des fous" livre le témoignage de leurs descendants, en quête de réponses.

9 janvier 2019 • Par Cassandre Rogeret / Handicap.fr

 

Illustration article

Considérées comme des « aliénés », maltraitées, dénutries et parfois jetées dans la fosse commune… Les personnes handicapées ou souffrant de maladie mentale n'ont pas été épargnées par les ravages de la Seconde Guerre mondiale. Entre 1940 et 1945, on estime que plus de 45 000 d'entre elles ont perdu la vie, la plupart affamée. Le 10 décembre 2016, François Hollande inaugure une stèle en leur mémoire, place du Trocadéro, à Paris (article en lien ci-dessous). Un premier pas vers la reconnaissance de ces oubliés de l'histoire… Aujourd'hui, leurs descendants tentent de découvrir ce qui leur est arrivé pour leur redonner un semblant d'humanité. Frère, petite-fille ou nièce lèvent le voile sur des décennies de secrets bien gardés dans un film au titre évocateur : La faim des fous. Un documentaire touchant et percutant, réalisé par le journaliste Franck Seuret.

Crise alimentaire

Sous l'Occupation, la pénurie alimentaire fait rage. En 1940, le maréchal Pétain met en place la carte de rationnement. Les Français sont alors contraints de se nourrir avec 1 200 calories par jour, contre les 2 400 nécessaires. Les personnes handicapées mentales possèdent également cette carte mais, enfermées dans des « asiles », sont très peu nourries. Au paroxysme de la crise alimentaire, le taux de mortalité dans les hôpitaux psychiatriques atteint 22 %, voire 38 % dans les cas les plus extrêmes, contre 6 à 9 % en temps normal. « A l'époque, quand on rentrait à 'l'asile', on savait qu'on n'en sortirait plus », déplore Goty Clin, directrice du musée d'Histoire de la psychiatrie de Clermont-de-l'Oise (Oise). Face à cette hécatombe, les psychiatres demandent une augmentation des rations mais le régime de Vichy refuse une première fois, avant de céder.

Sur les traces de leurs ancêtres

Près de 80 ans plus tard, des petits-enfants racontent l'histoire de leurs grands-parents, décédés par manque de soins et déterrent des sujets tabous. Comme beaucoup d'autres, Hélène Guerrier est morte de cachexie, amaigrissement extrême, à l'hôpital psychiatrique de Clermont-de-l'Oise, en 1942. Après avoir hésité durant de nombreuses années, sa petite-fille, Isabelle Gautier, a décidé d'entamer des recherches pour savoir ce qui lui était arrivé. « Ça fait partie de mon identité, j'ai besoin de savoir. Ma grand-mère, comme tous ces pauvres gens, n'aurait jamais dû mourir. » Dans le film, elle mène l'enquête et rencontre plusieurs experts afin de « regarder les choses en face » pour ensuite pouvoir « aller de l'avant ».

Des morts-vivants

Au fil du documentaire, les héritiers découvrent avec désarroi les conditions de vie de leurs aïeux. La faim était omniprésente, de nombreux malades pesaient moins de 35 kilos, comme en témoignent plusieurs photos. Des images insupportables mais nécessaires pour la majorité d'entre eux. « Les secrets entraînent des conséquences pour les générations suivantes donc j'ai fait ces recherches d'abord pour elle, pour la reconnaître en tant que grand-mère, mais aussi pour moi, mes enfants et mes petits-enfants », explique Claudie Bardet. « Ces gens étaient des morts-vivants… La honte était bien présente dans tout le milieu hospitalier car, nous, nous ne mourions pas de faim », raconte la fille du médecin-chef de l'hôpital de Maréville (Meurthe-et-Moselle) de l'époque, avant de révéler des anecdotes troublantes sur la consistance des aliments livrés aux pensionnaires de l'hôpital. Un « crouton de pain noir nauséabond », rempli de « magma visqueux », « que ma famille et moi n'avons jamais pu goûter », précise Françoise Beaudoin, émue aux larmes.

Ne jamais oublier

Exterminés en Allemagne car jugés « inutiles » et « faibles » par le régime d'Hitler, « ils sont morts dans l'indignité et l'oubli », déplore Max Lafont, psychiatre. Selon lui, « il faut continuer à militer » pour que cette page de l'histoire soit « inscrite dans les manuels scolaires ». Ne jamais oublier… C'est animé par ce même devoir de souvenir que l'anthropologue Charles Gardou a souhaité édifier une plaque commémorative en leur honneur à Paris. « Un pan de notre histoire avait été oublié, il fallait reconnaître ce passé et donner un signe au présent », explique-t-il en évoquant une « société tentée par la hiérarchisation des vies : les unes anodines car fragilisées par la maladie ou le handicap, les autres, éminentes, choyées et célébrées… ».

Après plusieurs projections à travers la France (Montpellier, Caen, Lyon, Clermont-de l'Oise…), le film sera présenté à la mairie de Paris le 17 janvier, à 18h, et suivi d'un échange avec Roselyne Touroude, vice-présidente de l'Unafam (Union nationale des familles et amis de personnes malades ou handicapées psychiques), et Jacques Marescaux, président de la fédération Santé mentale France.

9 janvier 2019

Spectacle O FREEDOM samedi 26 janvier 2019 à 20H 30 à la Cathédrale d'Oloron au profit d'Autisme Pau Bearn Pyrénées.

9 janvier 2019

Voir ou revoir Le Phallus et le Néant, film de Sophie Robert - salles & villes où le film est projeté

Le Phallus et le Neant Affichearticle publié sur le site "Le Phallus et le Néant"

Si des psychanalystes s’allongeaient sur notre divan pour nous parler de leur vision de la sexualité et des rapports hommes femmes, que nous diraient-ils ?

Sophie ROBERT a interrogé 18 psychanalystes freudiens et lacaniens orthodoxes pour décortiquer avec eux la théorie sexuelle, en leur demandant d’assumer la dimension politiquement très incorrecte de leurs théories. Ils se sont prêtés au jeu avec une gourmandise visible. Le résultat est stupéfiant :

La femme n’existe pas / la femme c’est un trou / il n’y a que du masculin dans l’inconscient / il n’y a pas de rapport sexuel possible entre un homme et une femme / les homosexuels sont des psychotiques qui s’ignorent / les enfants ont des pulsions sexuelles /seule la perversion permet le rapport sexuel / l’inceste ça ne fait pas tellement de dégâts, ça rend juste les filles un peu débiles.

Ces hommes et ces femmes sont tous des références dans leur domaine. Ces psychanalystes sont également enseignants formateurs dans les UFR de psychologie et les cursus de psychiatrie. La plupart interviennent dans des instituts accueillant des enfants autistes.

Quelles sont les conséquences de ces théories sur les patients(e)s victimes d’abus sexuels ?

Premières projections

LILLE : mardi 15 janvier 2019 à 20H au cinéma Métropole

MARSEILLE : mercredi 16 janvier 2019 à 20H au cinéma le Prado

ARMENTIERES : vendredi 18 janvier 2019 à 20h au Ciné Lumières

EVREUX : lundi 21 janvier 2019 à 20H au cinéma Pathé

ANNECY (CRAN GEVRIER) : mardi 22 janvier 2019 à 20H à la Turbine

GRENOBLE : mercredi 23 janvier 2019 à 20H au cinéma La NEF

FERNEY-VOLAIRE : jeudi 24 janvier 2019 à 20H30 au cinéma Voltaire

ANNEMASSE : vendredi 25 janvier 2019 à 20H au Ciné Actuel

BAYONNE : lundi 28 janvier 2019 à 20H au cinema CGR de Bayonne

AGEN: mardi 29 janvier 2019 à 20H au cinéma CGR 

TARBES : mercredi 30 janvier 2019 à 20H au parvis méridien

BOURGES : jeudi 31 janvier 2019 à 20H au cinema CGR de Bourges

Région de BORDEAUX
CADILLAC : vendredi 1er février 20H30 cinéma Lux
CREON : samedi 2 février 16H au cinémax Linder
BLANQUEFORT : samedi 2 février 20H30 Cinéma les Colonnes

PERPIGNAN: jeudi 7 février à 20H au cinéma le Castillet

NIMES : vendredi 8 février à 20H au Sémaphore

PARIS : lundi 11 Février 2019 à 20h au cinéma Le Balzac

VANNES : lundi 25 février à 20H au Cinéville

CAEN : mardi 26 février à 20H au cinémaLux

LE HAVRE : mercredi 27 février à 20H45 au cinéma Sirius

MAYENNE : jeudi 28 février à 20H au cinéma Vox

DINAN : vendredi 1er mars à 20H Emeraude cinéma

GUEMENE SUR SCORFF : mercredi 6 mars 20H au ciné Roch

CHERBOURG : jeudi 7 mars à 20H30 au cinéma le Palace

CHATEAUROUX : lundi 11 mars à 20H au cinema CGR

TOURS : mardi 12 mars à 20H au CGR Tours centre

LYON : vendredi 15 mars à 20H au cinéma Pathé Vaise

TROYES : mercredi 20 mars à 20H au CGR de Troyes

COSNE SUR LOIRE : jeudi 21 mars à 20H au cinema Eden

DIJON : vendredi 22 mars à 20H au cinema Devosges

CARCASSONNE : jeudi 28 mars à 20H au CGR Colisée

Dates à venir : PAU, POITIERS, TOULOUSE, SAINT ETIENNE, MIRECOURT, REIMS, MONTPELLIER, NANTES

=>Pour suivre l'actualité du film cliquez sur le lien ci-dessous

Accueil

Site officiel du long métrage documentaire Le Phallus et le Néant.Si des psychanalystes s'allongeaient sur notre divan pour nous parler de leur vision de la sexualité et des rapports hommes femmes, que nous diraient-ils ?

https://www.lephallusetleneant.com

 

8 janvier 2019

L'Extra-Imaginarium de la Famille Lunizoni 12,13 & 20 janvier au Théâtre Bretonneau

7 janvier 2019

Les CMPP en Nouvelle Aquitaine - Activité et public accompagné

 

 

4 janvier 2019

Course automobile : pour la première fois, le Dakar comptera un pilote trisomique

article publié dans Le Parisien

Le Parisien avec AFP| 03 janvier 2019, 22h33 | MAJ : 03 janvier 2019, 22h37 |3
Lucas, né à Lima, s’est préparé durant des mois pour cette épreuve exigeante. AFP/Ernesto Benavides

Lucas Barron va tenter de terminer au côté de son père la 41e édition de la célèbre course. Celle-ci aura lieu au Pérou du 6 au 17 janvier.

Le Péruvien Lucas Barron va marquer l’histoire du Dakar. Ce jeune homme de 25 ans va devenir cette année le premier participant atteint de trisomie 21, ou syndrome de Dawn, de cette course parmi les plus exigeantes au monde.

« Notre objectif est d’aller au bout et de franchir la ligne d’arrivée », déclare celui qui fera la course au côté de son pilote de père, Jacques.

La 41e édition du Dakar aura lieu pour la première fois de son histoire dans un seul pays, le Pérou, du 6 au 17 janvier. Au menu pour les 334 véhicules inscrits, dix étapes, 5 000 kilomètres dont 3 000 de spéciales pour un rallye 100 % sable.

« Facile »

Lucas, né à Lima, s’est préparé durant des mois pour cette épreuve exigeante. « Cette course est géniale pour moi. Ça va être facile, car on connaît la route », assure-t-il dans l’atelier mécanique où le véhicule des Barron subit les derniers ajustements.

Natation, football, cyclisme, surf, ski nautique : peu de sports résistent à la volonté de fer de Lucas, qui dit se sentir « entraîné et en mesure de dompter les dunes du désert ». Ce fan de rock et de hip-hop explique que sa mission au fil des dix étapes sera de surveiller l’état de la route et les problèmes mécaniques.

Le désert péruvien n’a pas de secret pour ce passionné des sports mécaniques : en septembre, il a déjà épaulé son père lors du Dakar Series-Desafio Inca, épreuve préparatoire au Dakar 2019 qui s’est déroulée dans les dunes d’Ica, au sud du Pérou. L’équipe « Barron x 2 », comme ils ont été baptisés, a terminé septième de cette compétition.

Félicité par Cyril Despres

Jacques, le père, un ingénieur de 55 ans qui a déjà participé au Dakar à cinq reprises, dit n’avoir eu aucun problème pour inscrire son fils. Les conditions étaient les mêmes que pour les autres participants : se soumettre aux examens médicaux et disposer des documents nécessaires.

« Il sait contrôler la courroie de distribution, l’huile et la pression des pneus, détaille-t-il. Les yeux de Lucas seront ceux de la voiture pour éviter de toucher un autre véhicule ou tout autre objet. »

Lucas confie admirer le pilote français Cyril Despres, un ami de son père, avec qui il avait l’habitude de s’entraîner quand il courrait à moto sur les dunes des déserts péruviens. « Il m’a écrit sur Facebook, il m’a félicité », s’enthousiasme Lucas. En 2017, le jeune homme s’est même vu offrir un maillot dédicacé du quintuple vainqueur du Dakar dans la catégorie moto.

4 janvier 2019

Handicap : ce qui change en 2019 pour les personnes handicapées

article publié sur le site du Gouvernement

3 janvier 2019
Des droits à vie, revalorisation de l'AAH, droit de vote, droit de se marier... de nombreux changements majeurs dans la vie des personnes en situation de handicap vont voir le jour en 2019.
 

Des "droits à vie" à partir du 1er janvier

Le 28 mai 2018, le rapport "Plus simple la vie" sur la simplification du parcours administratif des personnes en situation de handicap était remis au Premier ministre. Il comprenait 113 propositions pour améliorer le quotidien des personnes concernées par le handicap. Les auteurs Adrien Taquet et Jean-François Serres proposaient notamment de conférer des droits sans limitation de durée.

En s'appuyant sur le rapport Taquet-Serres, deux décrets ont été pris en décembre 2018 pour permettre d'attribuer des droits à vie aux personnes dont le handicap n'est pas susceptible d'évoluer. Depuis le 1er janvier 2019, cette réforme est effective. Elle va permettre de changer le quotidien de centaines de milliers de personnes handicapées et de leurs familles.

Quatre droits sont concernés :
  • L'AAH (allocation aux adultes handicapés), pour les personnes ayant un taux d'invalidité d'au moins 80%.
  • La RQTH (reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé).
  • La carte mobilité.
  • AEEH (allocation d’éducation de l’enfant handicapé) jusqu’aux 20 ans de l’enfant.
Cette avancée majeure permet de mettre un terme aux démarches incessantes et épuisantes pour les personnes en situation de handicap et leurs familles, et également à la surcharge administrative pour les MDPH.

La revalorisation de l’AAH

Au début du quinquennat, l'Allocation aux adultes handicapés (AAH) était de 810 euros par mois. L'AAH sera de 900 euros par mois fin 2019. Cette revalorisation progressive a débuté en 2018 avec une augmentation de 50 euros. Elle se poursuivra en 2019 avec une nouvelle revalorisation de 40 euros par mois. Au total, cela représente plus de 2 milliards d’euros sur le quinquennat.

Le déploiement de la stratégie autisme

Présentée le 6 avril 2018 par le Premier ministre, la Stratégie nationale pour l'autisme au sein des troubles du neuro-développement sera déployée à partir de 2019. Elle a pour objectif de changer la situation des personnes autistes et de leurs familles en prenant en compte leurs besoins spécifiques pour un accompagnement digne et efficace.

Cette stratégie autisme repose sur 5 engagements et 20 mesures. Parmi elles, la création d'un "forfait d'intervention précoce", afin de prendre en charge immédiatement les enfants présentant des troubles du neuro-développement.

Le Droit de vote, de se marier, de se pacser ou de divorcer pour les personnes sous tutelle

Le président de la République l'avait annoncé en juillet dernier lors du Congrès de Versailles : les personnes handicapées sous tutelle pourront désormais voter sans qu'aucun juge ne puisse s'y opposer. Le droit de vote pour les personnes handicapées sous tutelle sera présent dans le projet de loi Justice.

Autre mesure présente dans ce projet de loi : le droit de se marier, se pacser ou divorcer, sans recourir à l’autorisation judiciaire pour les personnes sous tutelle.

Les ascenseurs obligatoires pour les logements "R+3"

Annoncée par Sophie Cluzel en septembre dernier, les ascenseurs seront obligatoires pour les logements neufs de 3 étages et plus. Cette mesure, qui entrera en vigueur en 2019, vient ainsi renforcer l'accessibilité des logements. Elle répond à une demande formulée depuis plus de 20 ans par les associations de personnes handicapées et d’aidants.

La CMU-C et l’aide à la complémentaire santé ne feront plus qu'un

La couverture maladie universelle complémentaire (CMU-c) et l'aide à la complémentaire santé (ACS) seront fusionnées dès 2019. Le Premier ministre l'avait annoncé le 15 octobre 2018, "à compter du 1er novembre 2019, la CMU-c sera donc étendue aux personnes aujourd’hui éligibles à l’ACS, moyennant une participation financière. Elle restera gratuite jusqu’aux plafonds de ressources actuels de la CMU-c (soit environ 734 euros mensuels pour une personne seule) et sera soumise à une participation financière réduite, selon l’âge du bénéficiaire, jusqu’au plafond de l’ACS (qui est de 991 euros mensuels)".

Cette fusion va permettre d'améliorer l'accès aux soins des personnes handicapées. "Cet élargissement du public éligible à la CMU-c assurera à ses bénéficiaires la prise en charge complémentaire de la totalité des frais pour un panier de soins élargi (...) ce sera le cas pour les fauteuils roulants, les sondes ou les pansements. Cette extension va donc limiter les renoncements aux soins."

L'Aide à la garde d’enfant

En octobre 2018, le complément de mode de garde pour les parents faisant garder leur enfant handicapé a été majoré de 30%. A partir de 2019, un bonus sera mise en place pour les crèches qui ouvrent des places dédiées aux enfants handicapés.

La poursuite de la réforme de l’école inclusive

L'objectif du Gouvernement concernant la scolarisation est clair : qu’il n’y ait plus d’enfants sans solutions et que l’école soit véritablement inclusive. La rentrée 2018 a été un pas de plus dans ce sens avec 20 000 élèves handicapés supplémentaires scolarisés, soit 6% de plus à la rentrée 2018 (340 000 élèves handicapés au total).

La réforme de l'école inclusive est une importante transformation en cours pour que tous les enfants qui ont besoin bénéficient d’un accompagnement en classe. De nombreuses mesures vont dans ce sens : poursuite du remplacement des contrats aidés par des contrats d’AESH ; formation de 60h obligatoire depuis cet été pour les AESH ; création de "pôles inclusifs" dans les établissements scolaires...

L'augmentation du budget du handicap

Le handicap est l'une des priorités du Gouvernement. Ainsi, en 2019, son budget est augmenté de + 5%.
2 janvier 2019

Le cadre juridique de l'accueil de loisirs des enfants en situation de handicap - Défenseur des droits Novembre 2018

29 décembre 2018

Astérix - samedi 5 janvier - Kosmos à Fontenay sous-bois

infologo envol loisirsrmation publiée sur le site d'Envol Loisirs

 

 

Astérix - samedi 5 janvier -  Kosmos à Fontenay sous-bois (16:15 démarrage du film. Ouverture des portes 20 mn avant)

 

À la suite d’une chute lors de la cueillette du gui, le druide Panoramix décide qu’il est temps d’assurer l’avenir du village. Accompagné d’Astérix et Obélix, il entreprend de parcourir le monde gaulois à la recherche d’un jeune druide talentueux à qui transmettre le Secret de la Potion Magique…

A partir de 3 ans

 

Tarif groupe à 2.30 € l'entrée

Dites "Envol Loisirs"

 

 

Pour nous permettre d'organiser au mieux la séance, merci de bien vouloir nous informer de votre venue. Cliquez ICI 

29 décembre 2018

Politique du handicap : 2018, la confiance détruite

article publié dans Faire-face

Globalement, le bilan de l'année 2018 n'est pas à la hauteur de l'engagement d'Emmanuel Macron de faire du handicap une priorité du quinquennat.

Comment avez-vous vécu cette année 2018 ? Faire-face.fr dresse le bilan des douze mois écoulés. Pour les personnes handicapées, ils ont été marqués par le recul de certains droits, quelques avancées et, globalement, le sentiment que le gouvernement ne respecte pas totalement ses engagements. Les liens dans l’article renvoient vers les articles parus sur chacun des sujets abordés afin d’en savoir plus.

2018, l’année de la rupture. Un fossé s’est creusé entre le gouvernement et de nombreux citoyens en situation de handicap. L’adoption de la loi Élan, en octobre, a en effet été perçue comme une trahison. Elle consacre en effet un recul des droits, dénoncé par plusieurs autorités indépendantes. Le texte abaisse de 100 % à 20 % la part des logements devant être entièrement accessibles aux personnes en fauteuil roulant dans les immeubles neufs.

 


Rendre obligatoire les ascenseurs dans les immeubles d’au moins trois étages était une revendication de longue date des associations de personnes handicapées.

Un ascenseur obligatoire si et seulement si

Pour faire passer la pilule, Édouard Philippe s’engage alors à rendre obligatoires les ascenseurs dans les immeubles neufs d’au moins trois étages, contre quatre actuellement. Mais le projet de décret ne respecte pas l’engagement du Premier ministre.

Il limite en effet cette obligation aux constructions d’au moins douze logements en étages. Concrètement, un immeuble de trois étages avec quatre appartements au rez-de-chaussée, quatre au premier étage, quatre au deuxième et trois au troisième (soit quinze appartements au total, dont onze en étages) n’y sera pas soumis.

 


Le montant de l’AAH est passé de 810 € lors de l’élection d’Emmanuel Macron à 860 € en novembre 2018.

Le bond en avant de l’AAH mais pas pour tous

Ces reculs sur l’accessibilité font suite aux déceptions sur les ressources. Certes, le gouvernement a fait passer le montant de l’allocation adulte handicapé (AAH) de 810 à 819 € en avril. Puis à 860 € en novembre. La première phase d’une revalorisation qui portera l’AAH à 900 € en novembre 2019. Un vrai bond en avant… dont tous les titulaires de l’AAH ne vont pas bénéficier.

Le recul du complément de ressources

Le gouvernement a ainsi décidé de geler le plafond de ressources y ouvrant droit pour les 250 000 personnes en couple. Plusieurs dizaines de milliers d’entre elles ne bénéficieront donc, au mieux, que d’une revalorisation partielle.

De plus, le complément de ressources – 179 € venant s’ajouter à l’AAH – va être supprimé. Enfin, en 2019 et 2020, la traditionnelle hausse de l’AAH, en avril, ne sera pas indexée sur l’inflation. Elle sera limitée à 0,3 % alors que les prix ont bondi d’1,9% sur les douze derniers mois.

 


Les pensions d’invalidité n’augmenteront que de 0,3 % en 2019 et 2020. Moins que l’inflation.

L’austérité pour les pensions

Les pensions d’invalidité seront au même régime sec – + 0,3 % – les deux prochaines années. La potion est d’autant plus amère que les pensionnés exerçant une activité professionnelle ont perdu, en juin, le bénéfice de la prime d’activité, réservée aux salariés modestes.

Lire aussi

Sous la pression, le gouvernement a finalement accepté de faire machine arrière… uniquement pour ceux qui l’avaient déjà perçue. Ceux qui commencent ou recommencent à travailler ne peuvent pas y prétendre. Une injustice d’autant plus grande que, suite au mouvement des gilets jaunes, le gouvernement a annoncé l’augmentation de cette prime.

La CSG baisse pour certains pensionnés

Par contre, les pensionnés d’invalidité vont bénéficier d’une autre mesure instaurée dans l’urgence du mois de décembre : la baisse de la CSG sur les pensions modestes. Le taux le plus élevé va ainsi repasser de 8,3 % à 6,6 %, le taux en vigueur jusque fin 2017. Sous réserve que leur revenu fiscal de référence soit inférieur à un certain plafond. Pour une personne seule, sans autres ressources, cela correspond à une pension d’environ 2 000 € par mois.

 

Le tweet de Sophie Cluzel du 20 décembre

L’AAH à vie à partir de 2019

Heureusement, 2018 aura également vu d’autres avancées. Comme l’annonce de l’instauration du droit de vote sans conditions pour les majeurs sous tutelle. La mise en place programmée de droits à vie pour l’AAH, l’ACTP, la CMI invalidité et la RQTH. L’extension de la CMU-complémentaire aux allocataires de l’AAH, sauf exceptions. Ou bien encore la mobilisation sur le front de l’emploi (voir encadré).

« Jamais un gouvernement n’en a fait autant pour les personnes handicapées », tweetait, récemment encore, Sophie Cluzel, la secrétaire d’État chargée de ce pan de la politique sociale.

Promesses respectées a minima

Une analyse qui est loin de faire l’unanimité parmi les citoyens handicapés. Eux estiment plutôt que le gouvernement ne respecte sa parole qu’a minima. Il augmente l’AAH mais supprime le complément de ressources. Abaisse le nombre d’étages auquel un ascenseur devient obligatoire mais fixe un nombre d’appartements minimum. Introduit les droits à vie mais les limite, sauf pour la RQTH, aux personnes justifiant d’un taux d’incapacité au moins égal à 80 %.

 

Alexandre Ribeiro est mobilisé depuis le début du mouvement des gilets jaunes. © DR

Derrière les gilets jaunes

Globalement, le bilan n’est pas à la hauteur de l’engagement d’Emmanuel Macron de faire du handicap une priorité du quinquennat. Et cet écart entre les attentes suscitées et la réalité des décisions explique la déception ressentie par de nombreuses personnes en situation de handicap. Et leur soutien au mouvement des gilets jaunes. Une marque de défiance.

 


Plus de 510 000 demandeurs d’emploi en situation de handicap sont inscrits à Pôle emploi en 2018.

Des mesures contre le chômage

Le nombre de demandeurs d’emploi handicapés continue de battre des records. Il a atteint 513 000 en juillet 2018. Pour y faire face, le gouvernement a lancé plusieurs chantiers.

Dont celui de la réforme de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés (OETH). Les employeurs sont toujours tenus d’en compter au moins 6 % dans leurs effectifs. Mais l’OETH a été toilettée pour devenir plus lisible et moins complexe à mettre en œuvre.

Il a également augmenté les moyens consacrés aux entreprises adaptées. Objectif : multiplier par deux leur nombre de salariés d’ici 2022.

29 décembre 2018

Décret du 27 décembre 2018 relatif à l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé

 

Décret n° 2018-1294 du 27 décembre 2018 relatif à l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé | Legifrance

L'article R. 541-4 du code de la sécurité sociale est ainsi modifié :1° Le premier alinéa est remplacé par les dispositions suivantes :" I.

https://www.legifrance.gouv.fr

 

29 décembre 2018

Décret du 28 décembre 2018 relatif au parcours de bilan et intervention précoce pour les troubles du neuro-développement

 

Décret n° 2018-1297 du 28 décembre 2018 relatif au parcours de bilan et intervention précoce pour les troubles du neuro-développement | Legifrance

Au titre III du livre Ier de la deuxième partie du code de la santé publique, il est ajouté un chapitre V ainsi rédigé : " Chapitre V" Parcours de bilan et intervention précoce pour les troubles du neuro-développement " Art. R. 2135-1.

https://www.legifrance.gouv.fr

 

24 décembre 2018

Le Conseil constitutionnel rétablit l'indexation des prestations sociales pour 2020

 

Le Conseil constitutionnel rétablit l'indexation des prestations sociales pour 2020

Il va falloir revenir au charbon. Le gouvernement espérait faire passer près de 7 milliards d'euros d'économies sur deux ans , via le projet de budget pour 2019 de la Sécurité sociale. Mais vendredi, le Conseil constitutionnel a censuré une partie de l'article du projet de loi qui limite à 0,3 % par an la revalorisation des pensions et des allocations familiales.

https://www.lesechos.fr

 

22 décembre 2018

Agefiph : un budget 2019 en hausse de 4 %

article publié sur Handicap.fr

486 millions d'euros pour l'emploi de personnes handicapées dans le privé. Le budget de l'Agefiph est en hausse de 4 % en 2019. Avec un engagement spécifique pour les entreprises adaptées.

20 décembre 2018 • Par Handicap.fr / Emmanuelle Dal'Secco

Illustration article

En 2019, un budget en hausse de 4 % pour l'Agefiph, le fonds dédié à l'emploi des personnes handicapées dans le privé. C'est ce qu'a voté son conseil d'administration le 18 décembre 2018. Il s'élèvera à 486,1 millions d'euros.

Sur ses fonds propres

Dans le prolongement de celui de 2018, ce budget « traduit la volonté politique (…) de poursuivre le renforcement de l'action de l'Agefiph pour le développement de l'emploi des personnes handicapées », assure le fonds dans un communiqué. Une mission ambitieuse puisque le privé peine à atteindre les 4 % (3,8 %) de TH alors que le seuil est fixé à 6 % (article en lien ci-dessous). Dans le même temps, les contributions des entreprises sont « en faible augmentation » selon l'Agefiph, tendance confirmée par les estimations pour les années 2019 et 2020. Cette augmentation repose en partie sur la légère reprise économique, qui fait progresser les effectifs des entreprises. En parallèle, les besoins des travailleurs handicapés et des entreprises vont grandissant. Pour « continuer à y répondre », l'Agefiph a donc décidé d'augmenter son budget en puisant dans ses fonds propres.

4 ambitions majeures

Cette enveloppe va permettre la mise en œuvre des quatre ambitions majeures de son plan stratégique, à savoir : la sécurisation des parcours professionnels, la mobilisation des entreprises et du monde économique et social, la promotion de l'emploi des personnes handicapées et le repositionnement de l'Agefiph pour la rendre plus lisible et plus visible. Dans ce contexte, le fonds a déployé de nouveaux dispositifs et étendu sur l'ensemble des territoires des actions d'initiatives régionales. Cet élan se poursuivra en 2019, année qui sera impactée par des réformes en cours, comme celle de la formation professionnelle, de l'Obligation d'emploi de travailleurs handicapés (OETH) ou relative aux entreprises adaptées.

Cap sur les entreprises adaptées

A l'issue du dernier Comité interministériel du handicap, en octobre 2018, l'Agefiph avait fait savoir qu'elle s'engagerait auprès de l'Etat pour permettre la réussite de la réforme des entreprises adaptées (entreprises du milieu ordinaire qui emploient au moins 80 % de travailleurs handicapés) qui, selon lui, « nourrit de fortes ambitions pour développer de nouvelles formes d'accompagnement vers et dans l'emploi ». Dans ce contexte, 25 millions d'euros de son budget seront dédiés à leur financement.

Au programme en 2019

En 2019, une nouvelle offre de services et d'aides financières est annoncée, complémentaire des dispositifs de droit commun. Pour soutenir l'accessibilité de la formation aux publics en situation de handicap, le déploiement de la Ressource handicap formation (RHF) se poursuit dans chaque région. Une première évaluation de l'offre de services et d'aides financières destinée aux personnes handicapées et aux entreprises sera également menée. Enfin, les universités d'été du RRH (réseau référents handicap) sont programmées les 10 et 11 septembre 2019 ; un dispositif destiné à soutenir la professionnalisation des référents handicap de toutes les entreprises sera proposé.

© Waldbach/Fotolia

22 décembre 2018

Envol Loisirs comme son nom l'indique ... vous offre différentes possibilités !

Envol Loisirs
 
 
On a osé le rock fort et on cherche toujours la potion magique 
 
 
Astéréotypie : un petit mot pour vous dire tout le plaisir que nous avons eu à découvrir ce collectif musical atypique. Nous avons pu échanger avec eux de façon impromptu et à batons rompus. On a adoré. Nous avons pu filmer la rencontre (format smartphone !!!). Si vous avez 20 mn devant vous, c'est du bonheur. Pendant le concert on a découvert leurs textes forts et poétiques. La colère. Le cachet. Marie-Antoinette...à découvrir à la fin du mail.
 
Astérix et le secret de la potion magique au Kosmos.
Nous aussi on recherche le secret de la potion magique mais c'est une autre histoire.
Un grand classique revisité par Alexandre Astier alias Kaamelott. Un grand succès au box office.
 
Les bénévoles d'Envol loisirs et moi-même vous souhaitons de belles fêtes de fin d'année avec des retrouvailles dès le 5 janvier.
 
 
 
 
 
 
Le collectif Astéréotypie
 
Cliquez sur l'image pour découvrir l'enregistrement de la rencontre.....
 
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La colère
 
 
 
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Marie-Antoinette
 
 
 
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Le cachet
 
 
 
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