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"Au bonheur d'Elise"
14 septembre 2016

Rio paralympics 2016 bande annonce

 

Ajoutée le 14 juil. 2016

Channel 4 is proud to present the 3-minute trailer for the Rio 2016 Paralympic Games. Signed & Subtitled and Audio Described versions are available in the playlist.

Download the track at http://wearethesuperhumans.com from Sat 16th July, with all profits going to the British Paralympic Association.

Writers: Strouse/Adams
Publisher: Warner/Chappell Music Publishing Ltd

Hannah Cockcroft – ParalympicsGB Wheelchair Racer 00:32
Mel Nicholls – ParalympicsGB Wheelchair Racer 00:34
Joren Teeuwen - Netherlands Paralympics High Jumper 00:37
Matt Stutzman – USParalympics Archer 00:49
ParalympicsGB Wheelchair Rugby Team 1:00 & 2:24
Iaroslav Semenenko – Ukrainian Paralympic Swimmer – 1:26
Richard Whitehead – ParalympicsGB Athlete 1:27 & 2:09
ParalympicsGB Women’s Wheelchair Basketball Team 1:32
Piers Gilliver and Dimitri Coutya - ParalympicsGB Fencers 1.35 & 2:11
Ellie Simmonds – ParalympicsGB Swimmer 1:54
Libby Clegg – ParalympicsGB Sprinter 1:55
Sam Ruddock – ParalympicsGB Shot Put 1:56
Jody Cundy – Paralympics GB Cyclist 1:57
David Weir – ParalympicsGB Wheelchair Racer 1:57
Will Bayley and Kim Daybell – ParalympicsGB Table Tennis 2:07
Jessica Jane Applegate – ParalympicsGB Swimmer 2:10
Ali Jawad – ParalympicsGB Powerlifter 2:11
Natalie Blake – ParalmypicsGB Powerlifter 2:11
Micky Yule – ParalympicsGB Powerlifter 2:12
Chris Skelley and Jack Hodgson – ParalympicsGB Judokas 2.30

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10 septembre 2016

Manuel d'utilisation du GEVASCO septembre 2016

 

Formulaires Geva-Sco| CNSA

Ces formulaires sont mis à la disposition des équipes éducatives des établissements scolaires et des équipes pluridisciplinaires des MDPH pour évaluer les besoins de l'élève en situation de handicap (besoins en matériel adapté, aménagements pédagogiques, transport...). Ils sont accompagnés du manuel d'utilisation du Geva-Sco.

http://www.cnsa.fr

 

10 septembre 2016

La loi de 2005 : une avancée décisive pour les personnes handicapées ? - par Suzanne Maury

 

La loi de 2005 : une avancée décisive pour les personnes handicapées ? - par Suzanne Maury, vie-publique.fr. La loi de 2005 : une avancée décisive pour les personnes handicapées ? - par Suzanne Maury, - Politiques publiques - repères - vie-publique.fr

Extrait de : "Les questions sociales aux concours" - Suzanne Maury. La Documentation française, Collection FAC - Formation, Administration, Concours (à paraître) Depuis 1975, les personnes handicapées bénéficient de droits qui ont amélioré leurs conditions de vie et d'insertion dans la cité.

http://www.vie-publique.fr

 

10 septembre 2016

Création des conseils départementaux de la citoyenneté et de l'autonomie

7 septembre 2016

La juteuse cagnotte handicap dans laquelle l'Etat pioche des centaines de millions d'euros

Fin août, Najat Vallaud-Belkacem a annoncé que pour renforcer la sécurité des campus universitaires à la rentrée, 30 millions d'euros seront piochés… dans les caisses d'un fonds pour l'aide à l'emploi des personnes handicapées. De Sarkozy à Hollande, les caisses des organismes pour le handicap ont été ponctionnés de centaine de millions d'euros en quelques années. Au détriment de l'emploi des invalides.
Depuis 2013, le gouvernement a utilisé pour tout autre chose près de 300 millions d'euros destinés à alimenter le fonds public pour l'insertion des personnes handicapées (FIPHFP). - Blondet Eliot-POOL/SIPA

Entre la sécurité des fac et l'emploi des personnes handicapées, elle a choisi. A la veille d'une rentrée placée sous le signe de la menace terroriste, la ministre de l'Enseignement supérieur Najat Vallaud-Belkacem a promis le 30 août, à l'Université d'été de la Conférence des présidents d'universités (CPU), de débloquer 30 millions d'euros pour sécuriser les campus universitaires. Et comme l'a repéré le blogueur Olivier Ertzscheid, cette somme sera piochée… dans les caisses du Fonds pour l'insertion professionnelle des personnes en situation de handicap dans la fonction publique (FIPHPF).

Le FIPHFP a une double fonction. D'une part, il collecte les amendes dont doivent s'acquitter les administrations publiques qui ne respectent pas l'obligation légale - valable dans le public comme dans le privé - d'atteindre 6% d'employés handicapés. Avec cet argent, il finance ensuite l'adaptation des lieux de travail au handicap. Comme les universités n'ont pas atteint la barre fatidique, elles sont censées lui payer chaque année 45 millions d'euros d'amende. Finalement, donc, le FIPHFP devra se contenter cette année de 15 millions.

Près de 300 millions en moins depuis 2013

Pourquoi cette ponction aux personnes handicapées ? Du côté de l'Etat, on justifie l'"exonération" d'amende par le fait que les finances de l'enseignement supérieur ne sont pas au beau fixe, depuis plusieurs années. Et qu'il faut pourtant bien faire tourner l'institution. Concrètement, les universités n'ont qu'à déplacer la ligne de compte prévue pour l'amende vers une autre case, "sécurité" en l'occurrence. Et le tour de passe-passe budgétaire est légal, puisque Bercy lui a donné son aval. Il dure même depuis… 2013 !  

Le manque à gagner s'élève donc à un total de 120 millions, calcule Jacques Zeitoun, représentant de l’Association des paralysés de France au FIPHFP. Et quand cela ne suffit pas, l'Etat va carrément puiser dans les caisses du fonds. Ainsi François Hollande avait-il décidé en 2015 d'y "emprunter" 174 millions d'euros sur trois ans pour financer les contrats aidés et contrats d'avenir qu'il chérit tant. Au total, durant ce quinquennat, le fonds pour le handicap s'est fait piquer près de 300 millions d'euros.

"Les universités sont les cancres de l'emploi de personnels handicapés"

Le hic, c'est que le gouvernement avait promis que cette exonération d'amende ne serait pas reconduite cette année. "Cette reculade est intolérable !", peste aujourd'hui le secrétaire général du syndicat universitaire Sgen-CFDT, Franck Poreiro. "Les universités sont les cancres de l’emploi de personnels handicapés !” Contactée par Marianne, Marie-Anne Montchamp, secrétaire d'Etat aux Personnes handicapées sous Jacques Chirac (2004-2005), regrette que l'on annonce "de manière aussi sauvage une atteinte à un budget normalement sanctuarisé". Et l'auteure de la grande loi sur le Handicap de 2005, qui a justement institué la fameuse amende, note qu'on ponctionne encore une fois "ceux qui sont le plus en situation de précarité".

Mais attention, l'aubaine des fonds pour l'emploi des handicapés n'a pas été repérée que par la gauche. Au contraire, c'est même une habitude gouvernementale dans les deux camps. Sous Nicolas Sarkozy, c'était cette fois l'Agefiph, le "frère" du FIPHFP, qui lui aussi récolte les amendes mais dans le secteur privé. A la suite de la crise financière de 2008, le gouvernement de François Fillon s'était naturellement tourné vers lui pour retirer 50 millions d'euros en guise de "participation" à l'effort de réduction des dépenses de l'Etat.

Certes, le FIPHFP possède un "trésor de guerre" conséquent. Mais il n'a été récolté que parce que les administrations tardent à remplir les objectifs légaux en matière d'emploi des personnes handicapées. Et surtout, ses dépenses augmentent d'année en année : en effet, plus il y a de travailleurs handicapés, moins il reçoit d'amendes mais plus il intervient pour adapter les postes de travail. Et de fait, depuis l'année 2013, le fonds présente un déficit chronique. Bien loin des "400 millions" évoqués dans Libération par le cabinet de Najat Vallaud-Belkacem, son directeur André Montané indique à Handicap.fr qu'il ne reste que 141 millions dans les réserves. Et le besoin est là : plus de 10 ans après la loi Handicap, le chômage reste deux fois plus fort chez les personnes handicapées (22%) que pour l'ensemble des Français (10%).

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30 août 2016

Samedi 3 septembre à Fontenay sous bois, ciné-ma différence avec ENVOL LOISIRS

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de retour au ciné... avec Comme des bêtes
 
Samedi 3 septembre au cinéma le Kosmos à Fontenay sous bois, séance ciné-ma différence. Venez nombreux.
 
Pour en savoir +
 
1 août 2016

Interné en psychiatrie alors qu'il avait la maladie de Lyme !

article publié sur Nord Littoral

Typiquement français !

Interné en psychiatrie alors qu'il avait la maladie de Lyme!

L'histoire de ce Brêmois de 15 ans fait le tour de France: le CHR a ignoré ses souffrances et a envoyé les gendarmes à ses parents Onze mois de sa vie gâchés par des médecins qui se sont obstinés sur le terrain de la psychiatrie.

 

27 juillet 2016

Présidentielle 2017 et handicap, faire bouger les politiques

article publié sur handicap.fr

Résumé : Mai 2017, les Français aux urnes. Quelle place dans les programmes pour les personnes handicapées ? Avant que la messe ne soit dite, certains citoyens se mobilisent pour interpeler les candidats. Promouvoir ses droits avant qu'il ne soit trop tard !

Par , le 27-07-2016

A quelques mois des présidentielles, on sent les candidats frémissants et prêts à en découdre pour figurer sur la plus haute marche du podium. Un enjeu de taille pour se propulser à la tête de 66 millions de Français. Parmi eux, on estime qu'une douzaine de millions sont en situation de handicap. Une part non négligeable de « votants ». Mais quelles perspectives pour cet électorat à besoins spécifiques ?

Un domaine pas assez inspirant ?

Le moins que l'on puisse dire c'est que le handicap ne figure pas en tête d'affiche dans les professions de foi des candidats. Il y a bien quelques déclarations éparses à l'instar de celle de Bruno Lemaire (LR) qui souhaite « reconnaître une part fiscale complète aux familles ayant un enfant handicapé ». Ça bouge un peu plus du côté de Debout la France (présidé par Nicolas Dupont-Aignan) ; Julien Delamorte, son délégué national au handicap, lui-même handicapé, affirme avoir un « nouveau projet de loi présidentielle en faveur des personnes en situation de handicap très innovant ». Un engagement qui mérite d'être signalé tant il est rare que les politiques viennent d'eux-mêmes au-devant de ce sujet pour tenter d'en résoudre les dysfonctionnements.

Une plateforme collaborative lancée par l'APF

Face à cette indifférence manifeste et généralisée, certains ont décidé de ne pas attendre de lire les engagements sur papier glacé pour agir. Dès la rentrée, le programme des candidats sera ficelé et ils partiront sillonner les routes sans apporter de retouche à leur copie. Alors, tant qu'il est encore temps, être force de proposition ! C'est le cas de l'APF (Association des paralysés de France) qui lance une plateforme collaborative dédiée : #2017Agirensemble (en lien ci-dessous). Elle est ouverte à tous et propose de co-construire les propositions que l'association portera auprès des candidats à l'élection présidentielle. Cette démarche participative, sur le thème « Faites campagne pour vos idées », invite citoyens, associations et organisations à apporter leur contribution en proposant des solutions et réflexions sur une dizaine de thématiques : droits, logement, mobilité, santé, loisirs, éducation, vie familiale, vie affective et sexuelle, emploi et ressources. Chacun, après s'être inscrit sur la plateforme, peut voter les propositions, les compléter ou en faire de nouvelles. Cette mobilisation, d'une ampleur sans précédent, s'étendra jusqu'aux élections législatives. Toutefois, une synthèse des contributions sera réalisée au premier trimestre 2017 et soumise aux candidats à l'élection présidentielle.

Des citoyens s'en vont en guerre...

Au-delà de cette démarche collective, certains citoyens appellent à une interpellation, pourquoi pas, individuelle. C'est le cas de Véronique Guillevin qui, sur les réseaux sociaux, explique : « Pour ma part, ce serait plutôt l'envie de faire entendre ma voix, mais bien avant l'urne, au moment où ces partis qui ne nous voient pas conçoivent leur programme... Après, effectivement, on peut continuer à se dire que c'est inutile : ouvrons le four, nouons la corde, buvons la ciguë, aiguisons le rasoir du barbier, laissons le voisin décider de notre sort ! ». Même combat pour Jean-Luc Corne qui a décidé de se lancer dans un tour de France des grands partis. Kinésithérapeute en libéral, il déclare que « face à un adversaire qui a écrit les règles du jeu, qui a une puissance de feu inimaginable, il faut être inventif, créatif et surtout surprendre... Les appareils politiques nationaux ont cette possibilité de faire changer le regard sur ce monde si particulier mais n'ont aucune compétence dans ce domaine. Et si les revendications des associations ne sont pas étoffées par des arguments de poids sur la faisabilité, rien ne se fait.» Ses solutions, et il affirme qu'elles existent, répondent à des critères obligatoires : évaluer et privilégier les solutions qui coûtent le moins cher possible ou feront faire des économies à la société et évaluer leur impact sur le monde non concerné par le handicap.

Une dose de bienveillance chez nos dirigeants

Or, selon lui, les « revendications portées par les associations auprès des élus ou des dirigeants de notre pays ne tiennent pas compte de ces critères. C'est une erreur majeure car ce sont ensuite les politiques seuls qui établissent les règles d'application des futures lois en laissant une possibilité de dérogation plus ou moins importante afin de ne pas contraindre le reste de la société. Je crois que la situation actuelle incombe à égalité à ces deux mondes si différents ; il serait temps de sortir d'un amateurisme associatif évident et d'introduire une dose de bienveillance chez nos dirigeants. » Son credo : « Ne pas voter, c'est laisser les valides décider pour vous de votre avenir ! »

Faut-il que les politiques soient concernés ?

Déjà quelques touches, çà et là. On trouve ses idées intéressantes ; on veut en discuter... Et de conclure : « 95% de mes patients sont lourdement handicapés et je vis avec eux leurs angoisses et leurs difficultés. Je sais que nous sommes véritablement à un tournant sociétal et tout peut se passer dans les dix prochaines années... Il est temps de faire entendre à nos politiciens ce que nos concitoyens veulent réellement comme avenir. » Faut-il pour cela qu'ils soient directement concernés ? En d'autres temps, le général de Gaulle fut l'un des pionniers en matière de politique du handicap ; il avait une fille trisomique... (article en lien ci-dessous).

© Olivier Rault/Fotolia

Handicap.fr vous suggère les liens suivants :

Sur Handicap.fr

Sur le web

27 juillet 2016

Marine Couteau, Leka le robot pour les enfants autistes





Marine Couteau, le robot pour les enfants autistes
par Europe1fr

Les 30 glorieux
est une chronique de l'émission Europe 1 Matin
diffusée le vendredi 22 juillet 2016

Tout l’été, Michel Grossiord s’entretient avec un jeune de moins de 30 ans au talent prometteur.

www.leka.io

@marinecouteau

@WeAreLeka

Invité(s) : Marine Couteau, 25 ans. Co-fondatrice de Leka

23 juillet 2016

L'emploi accompagné pour les personnes handicapées : un dispositif désormais reconnu juridiquement

article publié sur le site de la FEGAPEI

Communiqué de presse
Le 22 juillet 2016

Adoptée en dernière lecture par l’Assemblée nationale après l’engagement de la responsabilité du Gouvernement en application de l’article 49.3, la loi relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels entérine la création d’un cadre légal pour l’emploi accompagné des personnes en situation de handicap. Une avancée forte dont se félicite la Fegapei, qui avec d’autres organisations, a participé à l’élaboration de l’amendement sur le sujet porté par le Gouvernement. La fédération exprime désormais le souhait d’un développement et d’une pérennisation des services d’emploi accompagné sur l’ensemble du territoire. Elle mène à cet effet, à travers une démarche expérimentale initiée en 2013 en partenariat avec la Fondation Malakoff Médéric Handicap, un travail de modélisation d’un service d’emploi accompagné, en lien avec les entreprises et les acteurs territoriaux concernés (Agences régionales de santé et Cap emploi principalement).

L’emploi accompagné a pour objectif de sécuriser et de fluidifier le parcours professionnel d’une personne en situation de handicap en milieu ordinaire de travail, grâce à un accompagnement sur le long terme de la personne, mais également de son employeur. Il intervient ainsi lors de l’embauche, de l’intégration, puis en fonction des besoins et des évolutions. L’emploi accompagné fait ses preuves en Europe depuis plus de vingt ans, suivant en cela l’évolution des attentes des personnes handicapées tournées vers une vie professionnelle en milieu ordinaire de travail. Aujourd’hui, 19 pays membres de l’Union Européenne adhèrent à l’EUSE (European Union of Supported Employment). En France, les services d’emploi accompagné sont, à ce jour, principalement portés à titre expérimental par des acteurs du secteur médico-social, avec la participation d’entreprises volontaires.  

Donner un cadre légal à l’emploi accompagné représente donc une grande avancée dont la Fegapei se félicite. La loi relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels prévoit l’intégration de l’article L. 5213-2-1 au code du travail. Celui-ci définit le dispositif d’emploi accompagné et ses conditions de mises en œuvre. Il émane d’un important travail mené autour d’un amendement gouvernemental élaboré avec l’aide de la Fegapei, de L’Adapt, de l’Association des paralysées de France (APF) et de Messidor, organisations membres fondateurs du Collectif France pour la recherche et la promotion de l’Emploi Accompagné (CFEA). 

L’enjeu est maintenant le développement et la pérennisation de tels dispositifs sur l’ensemble du territoire. Dans cette optique, la Fegapei expérimente l’emploi accompagné depuis 2013, avec le soutien de la Fondation Malakoff Médéric Handicap et du Fonds social européen (FSE). Neuf associations de son réseau, représentant neuf territoires dans cinq régions, ainsi que plusieurs acteurs institutionnels locaux dont les Agences régionales de santé, sont engagés dans la démarche. A ce jour, 161 personnes et 95 entreprises bénéficient du service. 132 personnes accompagnées sont en contrat de travail (CDI et CDD) et 29 sont en recherche d’emploi. Pour la Fegapei, l’objectif de ce projet pilote est à terme de créer un modèle économique, organisationnel et méthodologique transférable à tous les acteurs souhaitant développer un service d’emploi accompagné. En 2016, une évaluation financée par la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) et conduite en collaboration avec l’Université Paris-Diderot, permettra de finaliser la modélisation en cours. Elle sera promue en 2017, au terme de l’expérimentation, en vue de permettre un essaimage structuré à grande échelle.

> Pour télécharger l'intégralité du communiqué de presse, cliquez ici. 

23 juillet 2016

Jeux paralympiques 2016 : le spot délirant de channel 4 !

article publié sur positivr.fr

Les superhumains, ce sont eux. Une vidéo inattendue qui casse les codes... et qui fait mouche !

 

Vivement les Jeux paralympiques de Rio. Par Axel Leclercq - 20 juillet 2016 53.6k PARTAGES Partager sur Facebook Twitter

La musique est top, les images sont géniales et le tout nous file une pêche d’enfer : ce spot de promotion pour les Jeux paralympiques de Rio est un petit bijou à ne surtout pas rater !

En réalisant cette vidéo, la chaîne britannique Channel 4 nous apporte une preuve supplémentaire qu’on peut parfaitement évoquer la question du handicap sans tomber dans le pathos et/ou la niaiserie. Et ça, ça fait beaucoup de bien ! Regardez : c’est drôle, malin, impressionnant… et le message est super.

« Nous sommes les superhumains »

Rien de tel pour attirer l’attention sur les Jeux Paralympiques qui se tiendront du 7 au 18 septembre à Rio. Tant mieux, car c’est l’un des rares événements du genre à connaître un peu de médiatisation !

23 juillet 2016

De Gaulle et le handicap : au nom de sa fille trisomique ...

article publié sur handicap.fr

Résumé : Le Général de Gaulle avait une fille trisomique, Anne, décédée jeune. Un lien qui a manifestement impacté sa politique et initié, à terme, les grandes lois fondatrices sur le handicap. Souvenirs d'une rencontre décisive...

Par , le 23-07-2016

Récemment, une chaîne de télévision a diffusé une émission intitulée « De Gaulle, le dernier des géants ». En la regardant, je me suis souvenu d'un échange que j'avais eu, voici longtemps maintenant, avec Marie-Madeleine Dienesch, députée de Bretagne, membre, notamment, du dernier Gouvernement de Georges Pompidou et secrétaire d'Etat auprès du ministre en charge des Affaires sociales de 1968-1974. Elle me raconta que, lors de sa première nomination, elle fut présentée au Général de Gaulle. Celui-ci la reçut avec une extrême courtoisie. Il attendit qu'elle fût installée avant de s'assoir. C'est ensuite qu'un étonnant échange eut lieu...

« De la rééducation, on va en faire ! »

« Mais, expliquez- moi. Il parait que vous voulez faire de la réadaptation, de quoi s'agit-il ? ». Elle fulminait : « Ils ne lui ont rien expliqué, ni le Premier ministre, ni le ministre des Affaires sociales auprès duquel je suis placée. Que vais-je lui dire ? ». Alors, une idée lui traversa l'esprit et elle affirma : « Mon Général, si à l'époque on avait pratiqué la réadaptation peut-être qu'aujourd'hui votre fille Anne serait encore parmi nous ». A l'évocation de son enfant trisomique décédée au lendemain de la guerre, le Général s'affaissa légèrement dans son fauteuil, son regard se troubla, puis il se redressa et déclara : « Alors, mademoiselle, de la réadaptation, on va en faire, vous pouvez compter sur moi ! ». Et, en effet, à plusieurs reprises, le président de la République la soutint dans ses initiatives pour promouvoir le principe et les techniques de la réadaptation qui constitua une étape importante de la politique du handicap.

« N'oublions pas les personnes handicapées ! »

Toujours membre du Gouvernement sous la présidence de Georges Pompidou, chaque fois qu'elle l'estimait nécessaire, Marie-Madeleine Dienesch intervenait en conseil des ministres pour rappeler qu'il ne fallait pas oublier les personnes handicapées dans les mesures que le gouvernement préparait. Au bout de quelques mois, il arrivait que le président de la République, sans doute un peu agacé, dise « Et puis, surtout, n'oublions pas les personnes handicapées, sinon mademoiselle  Dienesch ne va pas manquer de nous le rappeler ».

A l'origine d'une loi fondatrice

Un jour, Georges Pompidou déclara qu'il avait compris ce que sa secrétaire d'Etat voulait dire chaque fois qu'elle prenait la parole et qu'il demandait au gouvernement de préparer un projet de loi réunissant tout ce qu'il convenait de mettre en place pour répondre aux besoins des personnes handicapées. Il décéda peu de temps après. Son successeur, Valéry Giscard-d'Estaing, fut d'accord pour que son gouvernement, dirigé par Jacques Chirac, reprenne l'idée. C'est probablement l'une des raisons de l'adoption de la fameuse loi d'orientation en faveur des personnes handicapées promulguée en juin 1976 qui constitua une autre étape essentielle.

Texte de Patrick Gohet, ancien directeur général de l'Unapei, ancien délégué interministériel aux personnes handicapées, ancien président du conseil national consultatif des personnes handicapées, inspecteur général des affaires sociales, adjoint du Défenseur des droits.

© chrisberic/Fotolia

10 juin 2016

Mort de Kimbo Slice ... un copain de Lisou

Mort de Kimbo Slice, le « doux géant » qui a popularisé le MMA

LE MONDE | 07.06.2016 à 17h12 • Mis à jour le 07.06.2016 à 18h12 | Par

 


On le connaissait surtout pour son look, crâne rasé et grosse barbe, et ses dents en or. Et pour son charisme, qu’on devinait dans ses premières vidéos, tournées dans les rues de Miami au début des années 2000, jusqu’à ses derniers combats sur les rings de diverses organisations d’arts martiaux mixtes (MMA).

Kimbo Slice, de son vrai nom Kevin Ferguson, un des hommes qui a contribué à la popularité mondiale de cette discipline, est mort à l’âge de 42 ans. Les causes sont inconnues.

Originaire des Bahamas et ayant grandi à Miami, Kimbo Slice est devenu une star virale avant l’explosion des réseaux sociaux, avec ses violentes vidéos de bastons de rue. Mal filmées et mises en ligne sur des sites louches, elles suivaient l’impressionnant Slice dans les rues de Miami, où il défiait d’autres hommes, amateurs ou non.

Certains se voyaient proposer 100 dollars pour accepter de prendre une droite de Kimbo dans le ventre. Ça ne valait jamais le coup.

Ces bagarres de rue, vues des millions de fois en ligne, l’ont mené aux circuits de MMA, une discipline en plein essor à la fin des années 2010. Malgré ses lacunes techniques, il en devint un des athlètes les plus populaires, par son charisme, son humilité, sa gentillesse envers les fans et ses rivaux – une fois en dehors de la cage.

En 2008, il participa au premier combat de MMA retransmis sur une chaîne grand public américaine, devenant automatiquement le visage intimidant de ce sport pour des millions de personnes.

Les hommages ont été unanimes dans le monde du MMA. Scott Coker, PDG de Bellator, deuxième plus grande organisation de MMA, a parlé d’un « des combattants les plus populaires de l’histoire du MMA ».

« Kimbo était une personnalité charismatique et hors du commun qui a transcendé le sport. En dehors de la cage, il était gentil. C’était un doux géant et un homme dévoué à sa famille. »

Malgré cette popularité, Kimbo Slice ne combattra que 7 fois (5 victoires et 2 défaites), alternant avec des essais dans la boxe professionnelle (7 victoires, dont 6 knock-out entre 2011 et 2013). Dans une discipline comme dans l’autre, il n’aura jamais de ceinture de champion, ce qui lui allait très bien. Il ne cherchait pas les titres, content que le sport lui ait permis de payer l’éducation supérieure de ses six enfants.

En 2010, avant son deuxième combat pour l’UFC, il disait à l’agence Associated Press (AP) :

« Les gars qui ont les titres, ils sont incroyables. Je suis juste content de passer de belles journées dans ce milieu être avec eux, faire les combats d’ouverture, simplement contribuer à l’UFC et au sport. C’est vraiment ce que je veux faire. Je ne prévois pas de gagner des titres ou rien du genre. J’essaie d’apprécier chaque combat, l’un après l’autre. »
Luc Vinogradoff
Journaliste au Monde.fr

 

31 mai 2016

Claye-Souilly : mouvement de grève au centre pour handicapés La Gabrielle

Rémy Calland | 30 Mai 2016, 18h16 | MAJ : 30 Mai 2016, 18h16
Claye-Souilly, ce lundi 30 mai. La météo pluvieuse n’a pas refroidi une vingtaine de salariés du centre d’accueil pour enfants et adultes handicapés mentaux La Gabrielle.
Claye-Souilly, ce lundi 30 mai. La météo pluvieuse n’a pas refroidi une vingtaine de salariés du centre d’accueil pour enfants et adultes handicapés mentaux La Gabrielle. (LP/Rémy Calland.)

« Nous constatons l’utilisation arbitraire de l’argent public et la dégradation de plus en plus importante de nos conditions de travail. » David Dikek, délégué CGT au centre de la Gabrielle, à Claye-Souilly ne décolère pas.

 

Une vingtaine de salariés de cette institution d’accueil pour enfants et adultes handicapés mentaux, était en grève ce lundi matin, après un premier mouvement mercredi dernier. Les grévistes dénoncent notamment « une baisse des effectifs en logistique et dans l’éducatif pour augmenter le personnel de direction ».

Christophe Chavatte, éducateur, est inquiet. « On prend des personnes de moins en moins qualifiées, comme si faire de la garderie était suffisant. Mais la thérapeutique demande un certain nombre de compétences, on a abandonné ce terrain-là. Il n’y a pas d’orthophoniste, de moins en moins de psychiatres, plus de kiné ou d’ergothérapeute », témoigne-t-il. « Du coup, la violence et les crises augmentent. Face à un public sensible, les conditions de terrain sont le socle d’un accompagnement efficace. »

Des accusations réfutées par la directrice Bernadette Grosieux. « Il n’y a pas de baisse des effectifs éducatifs et de logistique au profit de l’administratif. Ni d’augmentation sur les postes au niveau de la direction. Pour ce qui est des psychiatres, nous subissons le fait qu’il y en a de moins en moins sur le marché de l’emploi, ce qui amène des difficultés de recrutement. »

La direction estime faire face à un mouvement de grève lancé dans un cadre national, contre la loi Travail. « Des revendications locales viennent se rattacher au mouvement national, c’est une pratique courante », indique-t-on. Ce qui ne l’empêche pas d’assurer qu’« un mouvement de grève, aussi petit soit il, doit être pris en considération. Nous sommes à l’écoute du personnel et de ses représentants ».

28 mai 2016

Vidéo -> Conférence psychanalyse : une science ? - Jacques Van Rillaer

Ajoutée le 27 mai 2016

Qu'est-ce que la psychanalyse ? Est-ce une science ? Comment se situe-t-elle dans le contexte plus large de la psychologie ?

Quelques éléments de réponse nous sont présentés par Jacques Van Rillaer, professeur émérite à l'Université de Louvain. Ayant commencé sa carrière en tant que psychanalyste, il s'est ensuite orienté vers les thérapies cognitivo-comportementales. Contributeur très actif de la revue Science et Pseudo-Sciences, il est membre de comité de parrainage scientifique de l'Association Française pour l'Information Scientifique.

La conférence a été organisée par des étudiants du groupe Science Pop, parrainé par l'AFIS et financé par l'Université de Lille.

Contact e-mail : voys.france@gmail.com
Page Facebook : https://www.facebook.com/Science-Pop-...

25 mai 2016

Ouverture de la ferme pédagogique de Maisons-Alfort

article publié sur le site de la mairie de Maisons-Alfort

La Ville de Maisons-Alfort a ouvert ce mois-ci, une structure pour petits et grands citadins : une ferme pédagogique, située sur un terrain mis à disposition de la Ville par la Société Bio Springer, dans le parc du Musée de Maisons-Alfort (Château de Réghat).

L’inauguration s'est tenue le samedi 21 mai 2016 à 16h au Parc du Château de Réghat.

"Comment s’appelle le petit d’une brebis ? Une poule peut-elle pondre même sans coq ? Une vache donne t-elle du lait tout au long de sa vie ?" Telles seront les questions auxquelles pourront répondre prochainement les petits et grands maisonnais, après avoir visité la ferme pédagogique.

En effet, grâce au prêt consenti par la Société Bio Springer d’un parc paysagé d’une superficie de 15.000 m2, la Ville de Maisons-Alfort propose une véritable reconstitution d’une ferme, avec ses animaux emblématiques : lapins béliers géants, les paons bleus, les poules marans (c’est la fameuse poule aux œufs d’or de la fable de La Fontaine), les faisans dorés, les canards Mignon blanc, les oies du Capitole, la vache de race Abondance, le baudet du Poitou, les moutons mérinos et les cochons Culs Noirs du Limousin).

La ferme dispose de son propre potager et de son verger, accessibles aux personnes à mobilité réduite. 

La ferme pédagogique de Maisons-Alfort

Horaires de la Ferme Pédagogique :

  • Horaires d'Eté ( 21 mars au 20 septembre) : mercredis de 14h à 18h, samedis et dimanches de 11h à 18h
  • Horaires d'Hiver (21 septembre au 20 mars) : mercredis de 14h à 17h, samedis et dimanches de 11h à 17h

Tarifs Maisonnais : (sur présentation de justificatifs de domicile avec photos, exemples: CNI, Passeport, Permis de conduire ... ) : gratuit pour les moins de 3 ans, 1€ pour les moins de 18 ans et 2€ pour les plus de 18 ans.

Tarifs hors Maisons-Alfort : gratuit pour les moins de 3 ans, 5€ pour les moins de 18 ans et 10 € pour les plus de 18 ans.

25 mai 2016

MDPH du Val-de-Marne : Portes Ouvertes mardi 7 juin 2016

article publié sur les site autonomie Val-de-Marne

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De 9h30 à 16h30, la MDPH organise une journée Portes Ouvertes pour les Val-de-Marnais et les professionnels.
Pour poser toutes vos questions, venez à la recontre des associations qui vous accueilleront sur leurs stands et participez aux ateliers.

Inscrivez-vous en cliquant ici !

9h30 : Ouverture des portes

10h – 11H : Ateliers au choix
Atelier 1 : Je veux déposer un dossier à la MDPH : comment faire ? Comment le remplir ?
Atelier 2 : Je suis adulte et je suis dépendant : quelles sont les aides existantes ?
Atelier 3 : Atelier participatif pour aider la MDPH à simplifier ses courriers
Atelier 4 : j’ai déposé un dossier à la MDPH : que devient mon dossier ensuite ?

11h30 – 12h30 : Ateliers au choix
Atelier 5 : j’ai un enfant handicapé : quelles sont les aides existantes ?
Atelier 6 : je suis handicapé et je veux travailler : comment faire ?
Atelier 7 : J’ai reçu une notification de la MDPH et je ne comprends pas, ou je ne suis pas d’accord, ou je veux savoir quand je serai payé : que faire ?

12h30 – 14h : déjeuner libre

14h- 15h : Ateliers au choix
Atelier 1 : Je veux déposer un dossier à la MDPH : comment faire ? comment le remplir ?
Atelier 2 : Je suis adulte et je suis dépendant : quelles sont les aides existantes ?
Atelier 3 : atelier participatif pour aider la MDPH à simplifier ses courriers
Atelier 4 : j’ai déposé un dossier à la MDPH : que devient mon dossier ensuite ?

15h30 – 16h30 : Ateliers au choix
Atelier 5 : j’ai un enfant handicapé : quelles sont les aides existantes ?
Atelier 6 : je suis handicapé et je veux travailler : comment faire ?
Atelier 7 : J’ai reçu une notification de la MDPH et je ne comprends pas, ou je ne suis pas d’accord, ou je veux savoir quand je serai payé : que faire ?

16h30 : Clôture de la journée
 

Maison Départementale des Personnes Handicapées
MDPH
7-9, voie Félix Eboué
94046  Créteil
Tél. : 01 43 99 79 00

Flyer en téléchargement

24 mai 2016

Leka vidéo de présentation -> un projet novateur pour les enfants différents

10 mai 2016

Estelle Ast décroche trois prix au 115e concours Lépine

article publié dans LA DEPECHE

Publié le 10/05/2016 à 07:44

Innovation - High Tech

Estelle Ast décroche trois prix au 115e concours Lépine

Estelle Ast décroche trois prix au 115e concours Lépine

La Toulousaine Estelle Ast, inventeur de l'application WatcHelp, qui permet d'envoyer des informations depuis un smartphone à une montre connectée au poignet de son enfant autiste, a décroché, samedi dernier, trois prix lors du 115e concours international Lépine qui s'est déroulé du 29 avril au 8 mai au Parc des expositions à Paris (Porte de Versailles).

L'application créée en avril 2015, téléchargeable sur la plateforme internet Google Play store, est gratuite pendant un mois, puis s'acquiert pour un montant modique de 2,90 euros. L'utilisateur doit également acheter la montre connectée, la ZenWatch 2 WI501Q, au prix de 175 euros. Pour la plupart des familles qui ont un enfant souffrant de d'autisme ou d'autres troubles cognitifs, c'est une petite révolution.

«L'application peut servir au-delà de l'autisme»

Cette mère courage, qui s'était battue en mars 2014 pour que l'assitante de vie scolaire (AVS) de son fils Allan conserve son poste jusqu'à la fin de l'année scolaire (elle était montée sur une grue sur les allées Jean Jaurès à Toulouse), a d'abord remporté le Prix Entrepreneur Learn Assembly qui lui donne la possibilité de suivre des cours. Puis elle a gagné le 2e Prix Fidealis : «C'est un système de d'enregistrement certifié des créations qui assure une protection parfaite de la datation des droits de propriété intellectuelle. Ce système permet de défendre les droits des entreprises», explique la lauréate. Enfin, alors qu'elle ne s'y attendait absolument pas, Estelle Ast a reçu le Prix «Coup de cœur de la Chambre de commerce et d'industrie Paris Île-de-France, accompagné d'une reproduction de la collection des Ports de France. «Pour vous donner une idée, la deuxième personne après moi a gagné le Prix du président de la République». L'application WatcHelp a désormais de beaux jours devant elle, car outre les personnes atteintes d'autisme, elle sera aussi utile aux autres. «Elle peut servir aux personnes atteintes de troubles cognitifs pour leurs prochains rendez-vous ou les différentes tâches qu'elles doivent effectuer, ainsi que les étapes à suivre lorsqu'elles se retrouvent dans une situation déstabilisante», explique la lauréate du 115e concours Lépine.

Gérald Camier

29 avril 2016

Noelia : La première maîtresse de maternelle atteinte du syndrome de Down - trisomie 21

trisomique prof

Elle s’appelle Noelia Garella, elle a 29 ans et a donné une conférence pour parler de sa vie. « J’ai étudié de nombreuses années et maintenant je suis responsable de trois classes, soit un total de 170 élèves », dit-elle fièrement pour exprimer ce qu’elle a été réalisé à seulement 29 ans. Elle explique également que ses relations avec les parents sont excellentes.

Noelia Garella est la première enseignante atteinte du syndrome de Down (trisomie 21). elle a reçu son diplôme de professorat des écoles en 2007 et enseigne aujourd’hui dans une école maternelle de la ville de Córdoba, du nom de “Capullitos” en Argentine. « Le directeur m’a beaucoup aidé à rentrer dans cette école maternelle ».

« Les parents n’ont jamais eu aucun préjugés avec moi. Quand j’ai commencé à travailler, ces derniers étaient très heureux et les enfants aussi. Nous passons de très bons moments à l’école ».

Noelia Garella est titulaire d’un baccalauréat en économie et gestion spécialisée dans le tourisme, l’accueil et le transport. Elle a ensuite obtenu un master pour l’enseignement, à l’université Antonio Sobral.

De là elle a été invitée par la Chambre Internationale de Gualeguaychú à raconter son expérience et ce qu’elle a déjà pu réaliser dans la vie. « J’ai été invité à la Chambre Internationale pour raconter l’histoire de ma vie », ajoute-elle.

Sa condition n’est ni un obstacle, ni une difficulté, et ne la définit pas non plus en tant que personne. Noelia est confiante et avance vers ses objectifs.

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