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"Au bonheur d'Elise"
6 octobre 2014

l'Etat prélève 29 millios d'euros sur le budget de l'AGEFIPH

article publié sur VIVRE Fm

Vendredi 19 Septembre 2014 - 17h18

L’état prélève 29 millions d’euros sur les budgets du handicap pour renflouer ses caisses. Une décision qui sème la colère des associations et des syndicats

 

L'état prélève 29 millions d'euros sur le budget de l'AGEFIPH
L'état prélève 29 millions d'euros sur le budget de l'AGEFIPH

 

Le ministre du Travail François Rebsamen a annoncé une ponction de 29 millions sur le budget 2014 de l’association de gestion du fonds pour l’emploi des personnes handicapées. Sur un budget annuel d’environ 500 millions le chèque que devra faire l’association correspond à environ 6% des recettes. Ces fonds sont destinés à financer des emplois aidés dont bénéficient les personnes handicapées a justifié le ministère du Travail à l’AFP. Selon des sources syndicales, le gouvernement prévoirait de reconduire ce montant pour 2016 et 2017. Il faut dire que l’ AGEFIPH est un des rares organismes qui dispose encore d’un peu de trésorerie : fin 2013, sa réserve était de plus de 300 millions d’euros.

Les syndicats se mobilisent

Les syndicats montent au créneau et dénoncent cette ponction.  « La main basse de l’Etat sur l’argent du handicap » condamne ainsi la CFE/CGC dans un communiqué. « Inacceptable et scandaleux » s’alarme la CGT. Pour le représentant de la Centrale de Montreuil, Jacques Marek « Le gouvernement Valls fait pire que celui de François Fillon. Avec ces trois prélèvement sur 2015 2016 et 2017, on atteindra 87 millions d’euros explique-t-il. François Fillon n’avait prélevé, lui que 50 millions. Ce n’est pas la première fois que l’Etat utilise les fonds de l’AGEFIPH pour combler une partie des déficits.

Malvina Watkins

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5 octobre 2014

VIDEO -> Ma fille est handicapée, j'ai dû l'envoyer en Belgique : j'ai honte pour la France

article publié dans le Nouvel Observateur

Publié le 05-10-2014 à 11h58 - Modifié à 14h11

Temps de lecture Temps de lecture : 1 minute

LE PLUS. Jeanne Auber est mère d'une fille polyhandicapée, Julie. A la suite d’un désaccord entre la famille et le centre qui l’accueillait en France, Julie a été mise à la porte. Seule solution : l'envoyer dans un centre en Belgique. Jeanne raconte l'ampleur des dysfonctionnements du système français dans la prise en charge des personnes handicapées. Un témoignage en partenariat avec l'émission "28 minutes" d'Arte.

Édité par Hélène Decommer 

Les enfants de Jeanne Auber - capture d'écran de l'émission "28 minutes" d'Arte du 30/09/14

 

Ma fille a un handicap complexe, avec à la fois des capacités d'apprentissage et des besoins importants en termes d'accompagnement à cause de certaines fragilités – elle a une épilepsie frontale.

En France, on a des refus pour l'accueillir parce qu'il manque des places, parce qu'elle n'a pas le bon profil, pour certains elle est trop épileptique, pour d'autres elle est trop sourde...

La France a une telle pénurie de solutions et de propositions adaptées aux personnes handicapées que la seule solution pour un certain nombre d'entre elles est d'aller chercher une prise en charge en Belgique.

J'ai honte pour mon pays. C'est une forme d'abandon que je ne peux pas accepter.

4 octobre 2014

Elise en accueil temporaire au Hameau de Julien

Petite pensée pour Elise qui entame sa 3ème semaine au Hameau de Julien (22/9 au 10/10)

J'ai appelé hier soir et tout va bien ...

Jeudi elle est allée au Futuroscope

hameau de julien

4 octobre 2014

Un CPE de Québec s'adapte aux autistes

article publié dans LA PRESSE.ca

Publié le 03 octobre 2014 à 05h00 | Mis à jour le 03 octobre 2014 à 07h29

Joaquim, quatre ans, ici en compagnie de l'éducatrice... (Le Soleil, Erick Labbé)

Joaquim, quatre ans, ici en compagnie de l'éducatrice spécialisée Marika Veillette, bénéficie du nouveau service pour enfants autistes du CPE Les Petits Murmures, un programme unique dans la capitale.

Le Soleil, Erick Labbé

(Québec) Depuis le début de l'année, un groupe d'enfants autistes bénéficie d'un programme unique dans un centre de la petite enfance (CPE) de la capitale. Chaque jour de la semaine, six bambins se retrouvent dans un local de l'établissement du Vieux-Québec, où deux éducatrices spécialisées leur fournissent les outils de développement et une ambiance adaptés à leur condition.

«Une approche exclusive dans un milieu inclusif», illustre Chantal Cauchon, directrice générale du CPE Les Petits Murmures, situé rue Couillard. «Plutôt que l'enfant change son monde, nous entrons dans le sien.»

Aux Petits Murmures, le bruit et la lumière, éléments anxiogènes et déstabilisants pour ces enfants de trois à cinq ans, sont réduits à leur minimum. La quiétude règne. Aucun jouet à piles qui émet des sons, les fluorescents sont tamisés. Pas de longues conversations, les consignes sont formulées à l'aide de dessins et de pictogrammes.

Les enfants autistes possédant des goûts alimentaires sélectifs, l'offre est plus variée. Les éducatrices ne les obligent pas à manger un aliment en particulier. Pour les siestes, chaque jeune peut s'endormir selon son propre rituel.

«Dans un CPE régulier, explique la pédopsychiatre Francine Ouellet, on ne connaît pas les besoins de ces enfants. Ça bouge trop, ils ont du mal à comprendre les consignes. Ils arrivent épuisés à la maison.»

«Un enfant est ici depuis une semaine, après avoir été retiré de sa garderie parce que c'était devenu problématique, et tout de suite il s'est senti à l'aise parce qu'on répondait à ses besoins», renchérit Suzanne Pelletier, directrice adjointe à la pédagogie. «C'est magique, les parents n'en reviennent pas.»

Pas plus cher

C'est la Dre Francine Ouellet, dont les trois enfants ont fréquenté Les Petits Murmures, qui a eu l'idée de transposer dans ce CPE l'approche comportementale développée par deux spécialistes de l'autisme, Lise St-Charles et Brigitte Harrisson. Un projet pilote d'un an a été mis sur pied en janvier 2013. Une formation, avalisée par le conseil d'administration, a été donnée à tous les membres du personnel et aux parents, histoire d'obtenir une cohérence d'intervention.

Le CPE n'a pas eu à tout chambarder pour accueillir cette nouvelle clientèle. L'opération s'est effectuée sans frais supplémentaires. «Ça n'a pas coûté plus cher ni nécessité des investissements incroyables en matériel, explique Mme Cauchon. On a osé innover, on a jonglé différemment avec la subvention. On a regroupé de 8 à 10 heures d'intervention par jour dans le même groupe.»

À la suite des résultats concluants et de l'accueil enthousiaste des parents, la direction des Petits Murmures souhaite que le programme fasse boule de neige, même s'il est «embryonnaire». La recette est accessible, explique-t-on, et ne demande qu'à être partagée.

«L'idée, ce n'est pas de dire qu'il s'agit d'une solution pour tous les enfants autistes, précise la Dre Ouellet. Notre approche, qui s'inscrit à contre-courant de l'intégration [des enfants autistes dans un groupe normal], peut effrayer certains parents. Le but est d'offrir le choix [d'un programme] qui s'adapte aux besoins des enfants. On n'essaie pas de les changer ou de les rendre moins autistes.»

Planche de salut pour les parents

Pour Karine Breton, mère du petit Joaquim, quatre ans, l'intégration de son fils au groupe d'enfants autistes du CPE Les Petits Murmures a représenté une véritable planche de salut. Non seulement a-t-elle pu retourner sur le marché du travail, mais son enfant montre des progrès notables.

La jeune mère en a eu la plus belle preuve dès la deuxième journée, lorsqu'elle a conduit son bambin à ce CPE du Vieux-Québec. «Avant, c'était la crise tous les matins pour ne pas aller à la garderie. Au jour deux, ici, il s'est tout de suite senti mieux. Son anxiété avait diminué. Je le sens bien.»

Des progrès

L'amélioration s'est aussi fait sentir sur le comportement et les habiletés cognitives de Joaquim qui ne parlait pas à deux ans et demi. «Il est maintenant capable d'exprimer ses besoins de base, comme la faim et la soif. Il peut aussi dire qu'il est fatigué ou qu'il veut regarder la télé.»

Lorsque le diagnostic d'autisme est tombé, en décembre 2012, la jeune mère et son conjoint se sont frappés à «un mur» pour obtenir des services. Mme Breton a quitté son emploi et pris le problème «à deux mains». «J'étais désemparée, mal outillée. Il n'y avait aucune aide publique, seulement des services au privé.»

Jade, la soeur jumelle de Joaquim, qui n'est pas atteinte d'autisme, fréquente également Les Petits Murmures. «Elle s'aperçoit que son frère n'est pas unique, qu'il y a d'autres enfants comme lui. [...] Mon fils est autiste et je l'accepte. Ses signes d'autisme, je ne veux pas les cacher», explique-t-elle, par exemple, au sujet de son habitude de battre des bras, comme pour s'envoler, lorsqu'il est heureux...

Pour la suite des choses, au vu de ses progrès, Mme Breton croit Joaquim capable d'intégrer une classe normale au primaire, quitte à remplacer la maternelle par une année supplémentaire aux Petits Murmures. Deux autres élèves du groupe ont fait leur entrée à l'école cette année, ce qui la fait vivre d'espoir.

2 octobre 2014

Interview de Sophie Robert : Un documentaire pour sensibiliser à l'autisme

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2 octobre 2014

Sophie Cluzel : Beaucoup d'élèves handicapés sont exclus des activités périscolaires

article publié dans FAIRE FACE

« Beaucoup d’élèves handicapés sont exclus des activités périscolaires. »
Publié le 29 septembre 2014

Sophie CluzelFaire Face : Quel bilan dressez-vous de la rentrée ?
Sophie Cluzel : Il semble qu’il y ait eu, globalement, moins de problèmes que les années précédentes. Moins d’enfants sans auxiliaire de vie scolaire (AVS) ou accompagnant d’élève en situation de handicap (AESH), le jour de la rentrée, alors que la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) avait notifié qu’ils en avaient besoin. Moins de directeurs d’école refusant l’accès à des enfants, au motif que leur AVS ou AESH n’était pas encore affecté. Les académies ont démarré les procédures de recrutement plus tôt que les années passées. Ce qui a permis de limiter les ratés. Mais paradoxalement, cette anticipation pose problème maintenant.

FF : Que voulez-vous dire ?
S.C : Les AVS recrutés courant juin pour la rentrée 2014/2015 ont été sélectionnés sur les critères prévalant pour les assistants d’éducation (1) : avoir au moins le niveau bac. Mais fin juin, le statut d’assistant d’éducation a été remplacé par celui d’AESH. Et les critères de recrutement ont changé : « Les candidats aux fonctions d’AESH doivent être titulaires d’un diplôme professionnel dans le domaine de l’aide à la personne. » Résultat : les personnes recrutées au niveau bac, mais n’ayant pas ce type de diplôme, ne peuvent continuer à exercer. Le ministère a donc rompu leur contrat de travail, courant septembre, durant leur période d’essai. Nous avons connaissance de plusieurs dizaines d’enfants qui ont perdu leur AVS, alors que celui-ci donnait entière satisfaction. C’est insensé.

FF : Quels retours avez-vous concernant les activités périscolaires, mises en place après la classe, dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires ?
S.C : Ces temps d’activité périscolaires (Tap) relèvent de la responsabilité des collectivités locales. C’est donc à elles de prévoir leur accessibilité aux enfants en situation de handicap. Y compris l’accompagnement humain s’il est nécessaire car les AVS ou les AESH, employés par le ministère de l’Éducation nationale n’ont pas pour mission d’accompagner les enfants aux ateliers théâtre, poterie ou basket. Mais de nombreuses collectivités n’ont pas pris ces besoins en considération. Résultat : beaucoup d’enfants ont situation de handicap en sont exclus.

FF : Pouvez-vous nous donner quelques exemples ?
S.C : Certaines situations sont particulièrement révoltantes. Je pense à cet enfant que la mairie a écarté d’office des Tap, sans même lui proposer un essai, parce qu’il n’y avait pas d’accompagnement. Pourtant, durant une partie du temps scolaire, il n’a pas d’AVS et cela se passe très bien. Dans certaines communes d’Île-de-France, les Tap sont regroupés le vendredi après-midi. Et bien, le Stif, l’organisme en charge des transports des élèves handicapés en Île-de-France, refuse de ramener les élèves handicapés, le vendredi soir, en arguant que sa mission ne concerne que le transport scolaire !

FF : Que conseillez-vous aux familles ?
S.C : Qu’elles nous alertent. Nous transmettons tous les cas au Défenseur des droits, afin qu’il se prononce sur le traitement discriminatoire dont sont victimes ces élèves en situation de handicap. Nous leurs conseillons également de bien préciser la participation aux Tap, dans le projet de vie qu’elles soumettent à la MDPH. Il est important que cette dernière prenne en considération ce nouveau besoin de compensation. C’est un levier pour faire évoluer la position des mairies.
C’est d’autant plus important que la prestation de compensation du handicap enfant ne couvre pas les besoins d’aide humaine pour les activités éducatives, mais seulement pour les actes essentiels de la vie quotidienne. La PCH ne peut donc servir à financer une auxiliaire de vie qui accompagnerait l’enfant aux Tap. Les familles se trouvent dans une impasse. Propos recueillis par Franck Seuret

(1) Les AVS pouvaient être recrutés sous deux statuts : assistants d’éducation ou contrats aidés.

1 octobre 2014

Samedi 11 octobre 2014 - Fontenay sous bois au cinéma Kosmos CINE-MA DIFFERENCE

article publié sur le site d'Envol Loisirs

cinéma Kosmos - 15 heures (ouverture des portes à 14 h 30).

 

Mon voisin Totoro (となりのトトロ, Tonari no Totoro?) est un film d'animation japonais réalisé par Hayao Miyazaki et produit par le studio Ghibli sorti au Japon le 16 avril 1988.

Il est récompensé la même année par le prix Mainichi Noburō Ōfuji.

Ce film a été diffusé pour la première fois en France lors du Festival du cinéma pour enfant de Corbeil-Essonnes en 19921. Il fut ensuite publié en VHS (TF1 Vidéo) en juillet 1999 quelques mois avant de sortir en salles dans toute la France au cinéma le 8 décembre 19992, avant une ressortie en 2002. Quant au DVD, son édition française est disponible depuis le 26 juillet 2006, et le Blu-ray est disponible depuis le 13 juillet 20133.

 

Le synopsis :

Un professeur d'université, M. Kusakabe, et ses deux filles, Satsuki, onze ans, et Mei, quatre ans, s'installent dans leur nouvelle maison à la campagne. Celle-ci est proche de l'hôpital où la mère des deux filles est hospitalisée.

Explorant les alentours, Mei rencontre Totoro, sorte de créature gigantesque et esprit de la forêt. Cet étonnant personnage est accompagné de deux de ses semblables, bien qu'ils soient de moindres tailles : le plus petit est blanc (Chibi-Totoro) et le moyen est bleu (Chū-Totoro). Dès lors, Mei n'a de cesse de rechercher Totoro et de passer du temps en sa compagnie. Elle découvrira notamment les divers et impressionnants pouvoirs de son nouveau compagnon, ainsi que son entourage pour le moins singulier.

 

1 octobre 2014

Jacques Toubon : Il faut plus de de moyens pour les Maisons départementales du handicap

article publié sur Vivre FM

Mardi 30 Septembre 2014 - 18h58

Défenseur des droits

En réponse aux manifestations de personnes handicapées et de familles devant les MDPH, le nouveau Défenseur des droits estiment que "les Maisons départementales ne sont pas assez équipées". Il était l'invité de la rédaction de Vivre FM ce mardi 30 septembre.

Le Nouveau Défenseurs des droits Jacques Toubon
Le Nouveau Défenseurs des droits Jacques Toubon

Jacques Toubon nommé en Juillet au Poste de Défenseur des droits succède à Dominique Baudis. Sur Vivre FM, le nouveau Défenseur estime que "on a affaire à des besoins très nombreux multiple, les réponses du droit ne sont pas suffisant, les droits ne sont pas toujours réalisés. Notre objectif est de les rendre effectifs". Répondant aux revendications des manifestants devant les Maisons Départementales du Handicap, Jacques Toubon estime que "les mécanismes départementaux connaissent des problèmes : insuffisance de moyens, mécanismes d'orientation pas adaptés,.... " Il poursuit en expliquant : "j'étais Jeudi et vendredi à Lyon. L'un des points qui a été mis en exergue c'est l'insuffisance de la réponse de la MDPH. Donc c'est un point important auquel je vais m'attacher dans les mois qui viennent." Réécouter l'émission.

Patrick Gohet devient adjoint en charge de la lutte contre la discrimination et la promotion de l'égalité 

Samedi, le Défenseur a nommé ses adjoints. Patrick Gohet, qui aura 62 ans en octobre, succède à Maryvonne Lyazid à la lutte contre les discriminations et la promotion de l'égalité. Inspecteur général des affaires sociales depuis 2009, il a été directeur général de l'Unapei (fédérations d'associations représentant les handicapés mentaux et leurs familles) de 1987 à 2002. Il a ensuite été délégué interministériel aux personnes handicapées (de 2002 à 2009) et président du conseil national consultatif des personnes handicapées (de 2009 à 2012).


La nouvelle Défenseure des enfants, Geneviève Avenard, 56 ans, succède à Marie Derain. Mme Avenard a occupé diverses fonctions de direction dans le domaine des politiques sociales et de la protection de l'enfance, d'abord au sein de conseils généraux et depuis 2008 au sein de l'association Acodège. Elle a été directrice générale adjointe de l'Observatoire de l'action sociale décentralisée (Odas) de 2006 à 2008, et est membre du conseil scientifique de l'Observatoire national de l'enfance en danger (Oned).

Un troisième adjoint doit encore être nommé pour succéder à Françoise Mothes, à la déontologie dans le domaine de la sécurité.

Vincent Lochmann

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