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"Au bonheur d'Elise"
10 mai 2020

TEMOIGNAGE - Coronavirus : - Les handicapés ne sont pas hospitalisables raconte Caroline Wodli, aide-soignante

 

TEMOIGNAGE - Coronavirus : "Les handicapés ne sont pas hospitalisables" raconte Caroline Wodli, aide-soignante

Caroline Wodli est aide-soignante à la MAS (maison d'accueil spécialisée) du Mont des Oiseaux à Wissembourg (Bas-Rhin). La structure héberge 40 adultes handicapés congénitaux. Depuis le covid19, leur maison s'est transformée en cage, oubliée du monde. Caroline raconte son quotidien.

https://france3-regions.francetvinfo.fr

 

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10 mai 2020

Crise sanitaire : l'heure du déconfinement

 

Crise sanitaire : l'heure du déconfinement

Sur son site Comprendrelautisme , PhanTom a publié plusieurs fiches illustrées. Le prélèvement naso-pharyngé en FALC Ne pas hésiter à s'en saisir si besoin. Guides de déconfinement Le GNCRA ( groupement national des centres de ressources autisme) diffuse un nombre considérable d'informations et d'outils adaptés à cette période.

https://blogs.mediapart.fr

 

10 mai 2020

Le handicap face au Covid-19 : - On se sent abandonné

 

Le handicap face au Covid-19 : "On se sent abandonné"

Elles font partie des invisibles : les personnes handicapées ont du mal à faire entendre leur voix, et c'est particulièrement criant lors de cette crise sanitaire. Or, ils sont 10 millions en France, en situation de handicap physique, mental ou sensoriel. Nous avons voulu leur donner la paro[...]

https://www.franceculture.fr

 

9 mai 2020

Michaël Jérémiasz : - Les personnes handicapées sont une des minorités les plus discriminées en France.

 

Michaël Jérémiasz : " Les personnes handicapées sont une des minorités les plus discriminées en France. "

Cinq personnes valides et cinq personnes en fauteuil partent une semaine en Corse. À l'invitation de Michaël Jérémiasz, quadruple médaillé paralympique en tennis, et de son association Comme les autres. Parmi les invités, l'animateur Frédéric Lopez, producteur de ce documentaire diffusé ce soir sur France 2 et parrain de l'association.

https://www.faire-face.fr

 

8 mai 2020

Covid: une prime pour les pro du médico-social

article publié sur Handicap.fr

Les professionnels du médico-social auront-ils droit à une prime pour bons et loyaux services ? Le gouvernement vient de l'annoncer. Pour autant, certains la méritent-ils autant que d'autres, s'interrogent des parents.

6 mai 2020 • Par

 

Illustration article

Dernière minute du 7 mai
Lors de la conférence de presse de déconfinement du 7 mai 2020, Olivier Véran, ministre de la Santé, confirme que les professionnels du médico-social percevront une prime, le montant restant à déterminer. Elle sera versée dans les prochaines semaines et défiscalisée. 

Article initial du 6 mai
En cette période de crise sans précédent, les professionnels du médico-social accueillant des personnes handicapées auront-ils droit à une prime pour bons et loyaux services, comme c'est le cas pour les soignants mais aussi, selon la décision d'Edouard Philippe du 15 avril, les professionnels des EHPAD et des SAAD (services d'accompagnement à domicile) ? Le 3 mai, Sophie Cluzel, secrétaire d'Etat au Handicap, s'est dite « extrêmement attachée » à ce principe et assure que le « gouvernement donnera des précisions très prochainement ».

Revendication commune

Le 22 avril, les fédérations et associations des secteurs personnes âgées et personnes handicapées membres du GR31 se fendaient d'un communiqué pour interroger sur le périmètre et les modalités de versement de cette prime, considérée comme un « premier pas vers la reconnaissance du travail des professionnels du champ de l'autonomie » qui, « pour garantir la continuité de service », se sont exposés « au risque de contamination ». Une « mobilisation exceptionnelle qui a permis et permet encore de sauver de nombreuses vies », selon ce collectif. Point de vue partagé par Jean-Louis Garcia, président de l'Apajh, qui souhaite que l'implication de ces professionnels soit valorisée ; ils ne sont pas considérés comme étant en « première ligne » mais, dans les MAS (maison d'accueil spécialisée) ou les foyers, ils ont  pourtant travaillé durant des semaines sans masque et sans protection, sans faire valoir leur droit de retrait et se sont donnés sans compter avec un « tout petit salaire », selon lui.

Le soutien de la CNSA

Le secteur réclame donc l'extension de cette prime à l'ensemble des professionnels employés par les établissements et services médico-sociaux (établissements et services du secteur du handicap, EHPAD, résidences autonomie, services à domicile), avec un montant « au moins identique à la celle des agents hospitaliers » et versée avant l'été. Cette revendication est portée par le conseil de la CNSA (Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie) qui a récemment adopté à l'unanimité des parties prenantes (hors État), une motion pour la soutenir, ajoutant qu'elle ne devait pas, pour autant, « masquer les problèmes structurels du secteur et notamment la revalorisation des métiers et l'amélioration des conditions de travail des professionnels à long terme ». Selon la caisse, il doit s'agir d'un « prélude à une réforme de fond ». 

Des investissements à divers degrés ?

Face à cette perspective, des voix se font néanmoins entendre, en off, sans que personne n'ose aborder la question publiquement. Elles sont surtout celles de parents exaspérés, laissés sans solution après le retour de leur enfant au domicile… Ils distinguent les professionnels sur le terrain, dans les internats restés ouverts H24, de ceux des externats et services qui ont parfois assuré un suivi minimum au téléphone ou en visio, réservant la  présence auprès des familles pour des cas graves déjà cristallisés. « C'était parfois la décision de la direction qui a agi par prudence envers des salariés qui n'avaient aucune protection », tempère Marion Aubry, présidente de l'association TouPi. « Chacun a fait comme il a pu, souvent sans sécurité. On a même vu des familles coudre des masques pour les pro qui en étaient dépourvus », confirme Danièle Langloys, présidente d'Autisme France. Selon elle, si certains couacs ont surtout eu lieu au démarrage du confinement, ils tenaient avant tout à la situation d'urgence ». Elle ajoute, « globalement, tous ont essayé de faire leur travail », même si elle salue particulièrement les professionnels des FAM et MAS accueillant des personnes avec des troubles sévères qui ont été « exemplaires ».

Disparité des interventions

Face à la disparité des interventions, faut-il néanmoins faire le distinguo, récompenser l'un plus que l'autre, au mérite ? La grande distribution alimentaire a récemment fait ce choix puisque plusieurs enseignes ont fait savoir que son montant, au maximum de 1 000 euros, dépendrait du temps de présence, d'autres privilégiant les employés effectivement sur le terrain en excluant ceux restés en télétravail. « Impossible » dans le médico-social répondent en cœur les personnes interrogées, « ce serait indécent » ajoute Danièle Langloys. Cyrielle Claverie, cheffe de projet handicap au sein de la Croix-rouge française, abonde : « Oui, certains éducateurs de Sessad, par exemple, ne se sont pas déplacés au domicile, certaines personnes  sont restées dans leur périmètre de sécurité mais qui peut savoir pour quelle raison : un proche vulnérable au covid,  la peur de contaminer ? A contrario, partout, des choses merveilleuses se sont produites, par exemple des éducateurs d'Esat qui se sont déplacés au domicile pour rompre la solitude des travailleurs et les rassurer ou des directeurs d'établissements qui ont dormi sur place pour assurer la garde ».

Toute la chaîne de soin

Faudra-t-il, dans ce cas, redonner la main aux directeurs qui sont les plus à même d'évaluer l'investissement de chacun ? Option qui semble difficile à mettre en œuvre dans un contexte où le dialogue social peut être tendu. « Symboliquement, cette prime est importante, ajoute Cyrielle Claverie, car c'est « toute la chaîne de soin qui a œuvré pour maintenir l'état de santé de la personne qu'il faut valoriser ». Pour elle, cette prime enverrait un message très positif, qui confirmerait que «  le soin n'est pas seulement à l'hôpital mais aux côtés de la personne ». Dans la définition de la santé de l'OMS (Organisation mondiale de la santé) figure aussi la notion de bien-être, de bientraitance et d'auto-détermination. « C'est aussi important que la santé somatique, et reconnaître l'implication de ces professionnels médico-sociaux et sociaux est nécessaire », conclut-elle.

Prêter main forte

Nombre d'entre eux ont en effet été réquisitionnés pour prêter main forte dans les secteurs en tension. Le GRAAL 35 (Groupe de recherches et d'actions des associations locales) met en lumière le parcours de ceux qui se sont portés volontaires dans de nouveaux établissements et parfois sur de nouveaux postes. Voici comment Jean-Paul Morel, 57 ans, moniteur d'atelier menuiserie, est devenu agent d'entretien et de restauration dans un foyer d'hébergement. « Un principe d'éthique, selon lui, la base de notre engagement. Ma plus grande récompense, c'est de me sentir utile, de permettre aux personnes en situation de handicap de déjeuner, de se coucher dans une chambre propre. » La présidente d'Autisme France atteste, de son côté, que certains « professionnels ont découvert les familles sous un autre angle et dans un rapport différent à celui de l'institution ». « Quand on a affaire à l'humain, ça change les choses », se félicite-t-elle.

Travailleurs d'Esat et auxiliaires de vie ?

Le personnel d'encadrement du médico-social serait-il le seul à être « récompensé » pour son dévouement ? Des travailleurs d'Esat (établissements et services d'aide par le travail) revendiquent à leur tour : « Nous aussi, nous risquons nos vies, en livrant les repas des enfants dans les foyers, parce qu'il est hors de question pour nous de renoncer à notre devoir. Nous souhaitons une prime, pour notre engagement. » Une autre question est sur toutes les lèvres : qu'en sera-t-il des auxiliaires de vie qui interviennent à domicile via un particulier employeur ? Tout comme ceux qui  sont embauchés via des mandataires et prestataires, entreront-ils dans le champ d'application de cette future prime ? Rien ne semble prévu pour le moment. « Elles, puisque ce métier est éminemment féminin, n'ont aucune reconnaissance sociale, elles sont payées au lance-pierre. Il faut reconnaître leur action, elles sont et seront un maillon essentiel de la mise en œuvre effective de la transition inclusive. », conclut Cyrielle Claverie. Dernière interrogation : quid des aidants familiaux rémunérés ? La réponse reste en suspens.

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6 mai 2020

Mon Parcours Handicap, au service des personnes handicapées et de leurs aidants

 

Mon Parcours Handicap, au service des personnes handicapées et de leurs aidants

Se former pour développer ses compétences, accéder à l'emploi, se maintenir dans l'emploi ou encore changer d'emploi. Quelle qu'en soit la raison, la formation professionnelle est un outil majeur à la disposition de tous les actifs (demandeurs d'emploi, salariés, indépendants, chefs d'entreprise, agents de la fonction publique).

https://www.monparcourshandicap.gouv.fr

 

5 mai 2020

Comment s'annonce le déconfinement pour les personnes handicapées

 

Comment s'annonce le déconfinement pour les personnes handicapées

Les élèves handicapés seront prioritaires. Les accueils de jour des structures médico-sociales vont rouvrir leurs portes. Les Ésat accueilleront dès cette semaine les travailleurs volontaires. Les salariés à risque ainsi que ceux cohabitant avec une personne à risque continueront à bénéficier du chômage partiel. Pour le plan de déconfinement finalisé, il faudra patienter encore un peu.

https://www.faire-face.fr

 

5 mai 2020

270 personnes handicapées résidant dans les établissements spécialisés sont décédées du Covid-19

 

270 personnes handicapées résidant dans les établissements spécialisés sont décédées du Covid-19

Les résidents adultes des établissements pour personnes handicapées décèdent trois fois plus du Covid-19 que les Français âgés d'au moins 20 ans. Mais la situation n'a rien à voir avec ce qui se passe dans les Ehpad où la mortalité est 30 fois supérieure à celle de l'ensemble des adultes.

https://www.faire-face.fr

 

4 mai 2020

Gouvernement -> Covid-19 - Les grandes lignes du plan de déconfinement pour les personnes en situation de handicap

 

Covid-19 - Les grandes lignes du plan de déconfinement pour les personnes en situation de handicap - Secrétariat d'État auprès du Premier ministre chargé des Personnes handicapées

Les personnes en situation de handicap sont sujets de droits, avant d'être objets de soins. En cela, il n'est pas envisageable de leur imposer des règles de confinement spécifiques. Pour autant, se pose une exigence d'accompagnement renforcé, tenant compte d'une fragilité intrinsèque pour certaines personnes face au Covid-19 et d'une vulnérabilité contextuelle liée au confinement.

https://handicap.gouv.fr

 

3 mai 2020

Les chercheurs sur l'autisme adaptent leurs études à un monde socialement distant

 

Les chercheurs sur l'autisme adaptent leurs études à un monde socialement distant

La pandémie a poussé les chercheurs à collecter des données à distance. Exemple d'un essai sur le Traitement de réponse pivot (PRT) - un programme ABA - avec formation des parents par visioconférence. Enseignements sur les recherches et les interventions futures.

https://blogs.mediapart.fr

 

3 mai 2020

Handicap -> Foire aux Questions - Covid-19 - Site du Gouvernement à jour au 1er mai 2020

 

Foire aux questions - Secrétariat d'État auprès du Premier ministre chargé des Personnes handicapées

ADULTES ET ENFANTS EN SITUATION DE HANDICAP Respectez les mesures de confinement. Respectez les gestes barrières. Pourriez-vous me donner les informations sur l'effectivité de la mise en confinement des personnes salariées fragiles quand le télétravail n'est pas possible. Qui demande et qui délivre l'arrêt de travail ?

https://handicap.gouv.fr

 

29 avril 2020

Le conseil scientifique conseille aux personnes handicapées de respecter un confinement strict et volontaire

 

Le conseil scientifique conseille aux personnes handicapées de " respecter un confinement strict et volontaire "

Que se passera-t-il après le 11 mai pour les personnes handicapées ? Ces dernières restent dans le flou après le discours d'Édouard Philippe. Il leur faudra attendre les annonces de Sophie Cluzel, d'ici la fin de la semaine au mieux. Quant au conseil scientifique Covid-19, il leur conseille de continuer à s'isoler après le déconfinement.

https://www.faire-face.fr

 

29 avril 2020

Epidémie de COVID-19 : protéger et accompagner les publics fragiles

logo HAS

Epidémie de COVID-19 : protéger et accompagner les publics fragiles

Autorité publique indépendante à caractère scientifique, la Haute Autorité de santé (HAS) vise à développer la qualité dans le champ sanitaire, social et médico-social, au bénéfice des personnes.

https://www.has-sante.fr

 

27 avril 2020

Enfants placés : situation explosive, normes assouplies?

 

Enfants placés : situation explosive, normes assouplies?

Pour les 300 000 enfants placés, le gouvernement tente d'apporter des réponses adaptées : interventions auprès du lieu d'accueil de l'enfant, continuité pédagogique à distance, astreinte téléphonique... Parmi eux, 25 % sont en situation de handicap. * Par Handicap.fr / E. Dal'Secco Aide sociale à l'enfance, secteur en souffrance, situation jugée même " explosive " ?

https://informations.handicap.fr

 

26 avril 2020

Sophie Cluzel : - Une personne ne doit pas être assignée à résidence en raison de son handicap

 

Sophie Cluzel : " Une personne ne doit pas être assignée à résidence en raison de son handicap "

Ils se manifestent peu. Pourtant, cette crise à la fois sanitaire, économique et sociale atteint de plein fouet les 10 millions de Français en situation de handicap, dont beaucoup, comme on peut l'imaginer, vivent douloureusement cette période de pandémie et de confinement et se posent beaucoup de questions pour l'après-11 mai.

https://www.lepoint.fr

 

24 avril 2020

Crise sanitaire : AEEH/AAH, aides au logement, prime exceptionnelle, EF, RSA/PCH

 

Crise sanitaire : AEEH/AAH, aides au logement, prime exceptionnelle, EF, RSA/PCH

Nouvelles mesures concernant les prestations suite à l' ordonnance du 22 avril 2020 portant diverses mesures d'ordre social. L'AEEH (Allocation d'Éducation de l'Enfant Handicapé) peut être maintenue au-delà de 20 ans dans l'attente d'une décision concernant l'AAH. La mesure concernant l'AJPP (allocation journalière de présence parentale) permettant la prolongation pendant 3 mois sans certificat médical, connue depuis le 3 avril, est légalisée.

https://blogs.mediapart.fr

 

24 avril 2020

La discrimination silencieuse des soignants, parents d'un enfant en situation de handicap - TOUS MOBILISES !

 

La discrimination silencieuse des soignants, parents d'un enfant en situation de handicap - TOUS MOBILISES !

La discrimination silencieuse des soignants, parents d'un enfant en situation de handicap Depuis des semaines, chaque soir, à 20 heures, les français applaudissent les personnels soignants ou du secteur médico-social, qui sont en première ligne pour combattre l'épidémie et sauver des vies. Parmi eux se trouvent des parents d'enfants en situation de handicap.

https://www.grandir-ensemble.com

 

23 avril 2020

Covid 19 - Tutoriel pour mieux comprendre l'adaptation du processus d'intervention à domicile.

Handéo

451 abonnés

Ce tutoriel vous est proposé par Kariateam et Handéo. A destination des aides à domicile, il décrit de façon simple comment adapter les interventions à domicile pendant la crise sanitaire.

23 avril 2020

Sophie Cluzel : - La crise accélère la transformation de l'offre proposée aux personnes handicapées | La République En Marche !

 

Sophie Cluzel : "La crise accélère la transformation de l'offre proposée aux personnes handicapées" | La République En Marche !

Le confinement est effectivement difficile à vivre pour certaines personnes en situation de handicap car il provoque des troubles de comportement importants ou une altération de la santé mentale, notamment pour les personnes avec autisme, déficience intellectuelle, déficit de l'attention, avec ou sans hyperactivité (TDAH) ou troubles psychiques.

https://en-marche.fr

 

20 avril 2020

Handicapés français vivant en Belgique: Le confinement... et après ?

 

Handicapés français vivant en Belgique: 'Le confinement... et après ?'

La Première ministre Sophie Wilmès a composé un groupe de travail dont la mission est de plancher sur la sortie progressive du confinement. Parmi les experts réunis autour de la table, aucun représentant ou presque du secteur psycho-médico-social... Face à cette absence de concertation, le Guide Social a souhaité donner la parole aux acteurs de terrain.

https://pro.guidesocial.be

 

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