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"Au bonheur d'Elise"
23 mars 2018

Autisme - Pour une société plus inclusive

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22 mars 2018

Les enseignements de la première enquête de coûts dans les établissements et services médico-sociaux pour personnes handicapées

 

Les enseignements de la première enquête de coûts dans les établissements et services médico-sociaux pour personnes handicapées

La première phase du projet SERAFIN-PH concerne la construction des outils de description des activités et des coûts des établissements et services concernés. La présente enquête s'intègre à cette phase, qui prévoit également la conduite d'une deuxième enquête de coûts sur les données 2016 et la réalisation d'une première étude nationale de coûts sur les données 2018.

https://www.cnsa.fr

 

22 mars 2018

Questionnaire accueils de loisirs & handicap pour faire changer la donne ...

information publiée sur le site de la Mission nationale "Accueil de loisirs & handicap"

OpinionWay OpinionWay

Madame, Monsieur,

Bienvenue sur le site de la grande consultation en ligne « Familles & Handicap ».

En répondant à notre questionnaire, nous vous invitons à partager les répercussions du handicap de votre enfant sur votre vie quotidienne, familiale et professionnelle et à nous faire part de votre expérience ou de vos attentes concernant les modes d’accueil en complément de l’école ou de l’établissement.

Vos réponses contribueront aux recommandations qui seront adressées au gouvernement, en décembre 2018, pour faire changer la donne :

  • développer un meilleur accès des enfants en situation de handicap aux accueils de loisirs sans hébergement, comme un droit fondamental
  • contribuer, ainsi, à une meilleure conciliation des temps de vie familiaux et professionnels des parents confrontés au handicap de leur enfant

Nous vous rappelons que l’ensemble des réponses que vous fournirez resteront strictement confidentielles et anonymes.

Nous vous remercions, très sincèrement, pour votre participation.

 

Cliquez sur le lien ci-dessous pour accéder au site et répondre au questionnaire :

https://ow.cawi.fr/cgi-bin/cawi/Q/bj18034/bj18034.pl

 

La Mission Nationale Accueil de Loisirs & Handicap, lancée officiellement le 23 octobre dernier, à l’initiative de la Caisse Nationale d’Allocations Familiales et du Défenseur des droits, a pour but de définir les conditions d’un meilleur accès des enfants en situation de handicap aux accueils de loisirs dans notre pays et d’améliorer, ainsi, la conciliation des temps familiaux et professionnels de leurs parents.
OpinionWay OpinionWay OpinionWay OpinionWay OpinionWay
22 mars 2018

Hier c'était la journée mondiale de la trisomie 21 ... petit film sympa et pédagogique

Dans les yeux de Milo

[ #DifferentCommeVous ]
<3 A PARTAGER SANS MODERATION <3

Le 21 mars est la journée mondiale de la trisomie 21. Il existe beaucoup de stéréotypes sur ce handicap. Par exemple : "ils sont tous pareils".
Camille, Alexis, Rafael, Emilien, Antonin, Milo, Elena, Lorenzo, Atéa, Emma, Marcel, Zoé, Louise, Joséphine sont comme vous, ils sont différents les uns des autres.
Alors, célébrons-les, célébrons-nous : à partager sans modération !

22 mars 2018

Reportage photos inauguration -> JOYEUX Coffee shop Paris Opéra : 23 rue Saint-Augustin, Paris 2°

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21 mars 2018

A Paris, des serveurs trisomiques et autistes vous accueillent au café Joyeux

article publié sur France info

"C’est la première fois que je travaille en cuisine" : à Paris, des serveurs trisomiques et autistes vous accueillent au café Joyeux

Un nouveau commerce de restauration ouvre ses portes cette semaine à Paris dans le 2e arrondissement. Sa particularité : l'équipe en salle et en cuisine est composée de personnes autistes et trisomiques.

Le café \"Joyeux\" où travaillent 20 serveurs et cuisiniers autistes ou trisomiques.Le café "Joyeux" où travaillent 20 serveurs et cuisiniers autistes ou trisomiques. (BRUNO ROUGIER / RADIO FRANCE)

Édité par Aurélien ThirardBruno RougierRadio France

Mis à jour le 20/03/2018 | 10:52
publié le 20/03/2018 | 06:44

 

 

Installé au 23 rue Saint-Augustin, le café Joyeux est une nouvelle adresse de restauration rapide à Paris. C'est surtout un état d'esprit revendiqué par l'équipe, entièrement composée d'une vingtaine de serveurs et de cuisiniers trisomiques ou autistes. Le commerce ouvre cette semaine, et tout le monde est déjà au travail. En salle, Mathilde "prépare les cafés, les sandwichs et on donne aux clients". La jeune femme fait face aux conditions d'un vrai restaurant. "On est fatigués quand il y a beaucoup de monde", reconnaît-elle.  

En cuisine, Charles s'occupe à éplucher des pommes pour préparer une tarte. "Il y a une belle ambiance et c’est magnifique. C’est la première fois que je travaille en cuisine. Je suis content. C’est un métier qui me plaît", assure-t-il.

J'espère une embauche en CDI, ce serait bien pour moiCharles, employé au Joyeuxà franceinfo

Joyeux est fondé par l'entrepreneur breton Yann Bucaille Lanrezac, sur le modèle d'un premier commerce du même type à Rennes. "Cette idée, c’est la rencontre avec un jeune garçon autiste qui m’a demandé du travail, je lui ai dit non, se souvient l'entrepreneur. Depuis ça m’a beaucoup travaillé. Je me suis creusé la tête pour trouver une solution pour proposer du travail à des personnes en situation de handicap mental ou de troubles cognitifs."

Yann Bucaille Lanrezac veut démontrer qu'agir pour changer le regard de la société sur les personnes handicapées peut rimer avec professionnalisme. "J’attends d’eux – et c’est ce qu’ils attendent aussi – de démontrer qu’ils sont des experts dans la restauration. Ils veulent montrer qu’ils sont capables de faire ça", insiste le patron.

 

Au \"Joyeux\", les serveurs préparent les commandes.

Au "Joyeux", les serveurs préparent les commandes. (BRUNO ROUGIER / RADIO FRANCE)

Les produits sont "faits maison" et "cuisinés sur place". Camille fait partie des trois encadrants qui veillent sur l'équipe. "Les premiers clients sont patients, ils ont cette douceur qui est sans doute due au fait qu’ils sont sensibles au projet, ils acceptent d’attendre plus que d’habitude, explique-t-elle. Notre objectif évidemment à terme, c’est de servir aussi bien que les autres, voire mieux. On va y arriver."

voir aussi :

Au café Joyeux, tous les employés ont un handicap mental

Joyeux Opéra est un coffee-shop pas comme les autres, à Paris. On y trouve de délicieuses pâtisseries mais, à la différence d'autres établissements, ici, tous les employés ont un handicap mental ou cognitif. Ouverture le 22 mars 2018. - Infos Emploi formation 2018 (10673) - Handicap.fr

https://emploi.handicap.fr

 

20 mars 2018

Vers un premier traitement contre l'autisme ?

 

Vers un premier traitement contre l'autisme ?

Un premier traitement contre l'autisme va-t-il bientôt voir le jour ? Yehezkel Ben-Ari y croit, et se démène pour y parvenir. A soixante-quatorze ans, ce neurobiologiste spécialiste des courants électriques circulant dans le cerveau, à l'état normal ou pathologique, a gardé l'ardeur de ses jeunes années dans son combat contre ce trouble du développement affectant, sous une forme ou sous une autre, un enfant sur 100.

https://www.lesechos.fr

 

19 mars 2018

Les scientifiques israéliens savent maintenant pourquoi les personnes atteintes d'autisme n'aiment pas être touchées

 

Les scientifiques israéliens savent maintenant pourquoi les personnes atteintes d'autisme n'aiment pas être touchées - © Infos-Israel.News

Ce n'est pas parce qu'ils sont anti-sociaux ou grossiers. Une nouvelle étude dévoile comment l'autisme affecte le cerveau des gens. Tout le monde n'aime pas être touché. Mais pour les personnes atteintes de troubles du spectre autistique (TSA), c'est plus qu'une simple préférence; selon une nouvelle étude, il est plus probable que ce résultat soit ...

https://infos-israel.news

 

19 mars 2018

Des chercheurs de l'ULiège font une intéressante découverte sur l'épilepsie

La découverte liégeoise sur l'épilepsie a été publiée ces jours-ci dans une célèbre revue scientifique anglo-saxonne (illustration).
La découverte liégeoise sur l'épilepsie a été publiée ces jours-ci dans une célèbre revue scientifique anglo-saxonne (illustration). - © AFP
Publié à 08h28

En collaboration avec une équipe universitaire de Californie, ils ont isolé un nouveau gène responsable d'un syndrome de l'épilepsie chez les adolescents. 

L'épilepsie, cette maladie invalidante qui se marque par des secousses musculaires, des absences ou des convulsions. 

Les chercheurs liégeois ont d'abord voulu comprendre un paradoxe: comment se fait-il que les adolescents qui souffrent d'épilepsie ne présentent aucune lésion au cerveau ? 

Leur hypothèse, c'est que cette pathologie se développe lorsque le patient n'est encore qu'un fœtus, un embryon. Des circuits anormaux se forment alors au niveau des neurones.

Les chercheurs ont trouvé un deuxième gène, présent dans certaines familles de patients épileptiques. Celui-ci code une enzyme déjà connue mais son rôle dans le cerveau et l’épilepsie était inconnu jusqu'alors, explique le professeur Thierry Grisar, qui a participé à cette recherche. Cette protéine joue en fait un rôle important dans le contrôle de la migration des cellules nerveuses embryonnaires.

Une erreur dans le processus migratoire peut "déboucher sur des anomalies à l'échelle microscopique suffisantes pour perturber le fonctionnement de ces circuits et produire les symptômes caractéristiques de ces maladies neurologiques 'non lésionnelles", commente-t-il.

Cette découverte liégeoise a été publiée ces jours-ci dans une célèbre revue scientifique anglo-saxonne.

18 mars 2018

Autisme - Question de Danièle Cazarian à l'Assemblée Nationale

Dans le cadre des questions au gouvernement de ce jour, j’ai interrogé aujourd’hui Sophie Cluzel, Secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées sur la prise en charge des troubles autistiques et sur le futur plan autisme du gouvernement

18 mars 2018

C'est ce soir ! Val-de-Marne - création de 520 places - Rencontre au CRAIF le dimanche 18 mars à 18h00


https://www.facebook.com/events/238235326719353/

VAL DE MARNE : Parents, personnes autistes et associations concernés, nous souhaitons nous réunir pour que ce plan ambitieux de 520 places soit réellement profitable à nos enfants/adultes ! Nous voulons de petites structures ouvertes inclusives et bienveillantes, répondant aux recommandations de la HAS.
Nous vous invitons donc à une rencontre au CRAIF le dimanche 18 mars à 18h.
Venez vous joindre à nous pour faire entendre nos voix auprès du conseil départemental qui avance dans la bonne direction :
https://www.valdemarne.fr/…/compte-rendu-de-la-seance-du-5-…
« Le Département du Val-de-Marne souhaite par ailleurs favoriser le développement de structures intermédiaires, entre le « tout domicile » ou le « tout établissement », via des habitats regroupés avec un accompagnement adapté. La dernière en date est la Maison partagée Simon de Cyrène à Rungis, inaugurée le 1er juillet 2017. »

17 mars 2018

Semaine Parisienne de Sensibilisation à l'Autisme

 

Semaine Parisienne de Sensibilisation à l'Autisme

Dans le cadre de la Semaine Parisienne de Sensibilisation à l'Autisme, du 2 au 7 avril 2018, venez découvrir de nombreux spectacles ! Présence d'artistes autistes et non autistes pour des spectacles hors du commun !

https://quefaire.paris.fr

 

17 mars 2018

Enseignement supérieur : les handicapés, oubliés de Parcoursup

article publié dans Le Parisien

Christel Brigaudeau| 17 mars 2018, 7h43 |0
Les élèves handicapés se retrouvent noyés parmi les autres bacheliers. (Illustration.) LP/Arnaud Journois

Les élèves de terminale en situation de handicap ne seront plus affectés selon une procédure spécifique. Les familles dénoncent une «régression».

Les lycéens handicapés ont déjà des raisons de regretter APB, l’ancienne plate-forme d’admission post-bac remplacée cette année par Parcoursup. Leur situation particulière semble avoir été « oubliée » lors de la refonte du système d’orientation des étudiants dans le monde de l’enseignement supérieur, menée à marche forcée cette année.

Jusqu’ici, plusieurs académies, notamment en Île-de-France, organisaient des commissions dans lesquelles étaient examinés les souhaits d’orientation des élèves handicapés. Ils bénéficiaient ainsi d’un traitement personnalisé.

Désormais, ces lycéens se retrouvent noyés parmi les autres bacheliers, sans aucune « case » spécifique où préciser leur situation. Ceux qui se retrouveront sans proposition de formation, après leur bac, verront toutefois leur cas examiné par les recteurs, a posteriori.

Gros couac

« Il n’y aura pas d’étudiant handicapé sur le carreau », fait valoir le ministère de l’Enseignement supérieur. Reste que les associations s’inquiètent de ce changement vécu comme une véritable « régression ». Des responsables syndicaux aux parents, on attribue ce gros couac à « la précipitation dans laquelle a été conduite la réforme », résume Hervé Christofol, porte-parole du syndicat des enseignants du supérieur, le Snesup.

 

« Certains ont fait leur lycée en quatre ou cinq ans, ou n’ont pas eu de notes pendant des mois à cause d’hospitalisations multiples : comment cela va-t-il être analysé, s’ils ne peuvent pas l’expliquer ? » s’interroge Bénédicte Kail, conseillère nationale éducation à l’association des paralysés de France (APF).

La crainte de discriminations cachées

À l’inverse, « pour ceux qui choisissent de préciser qu’ils sont handicapés, comment être sûr que cette mention ne va pas aboutir à des discriminations cachées » ? Et Bénédicte Kail de souffler : « Il est plus facile pour un établissement de prendre un élève valide plutôt qu’un handicapé, surtout si personne ne vient vérifier les raisons du choix. »

L’APF a protesté par des courriers au gouvernement, restés jusqu’ici sans effet. L’association des étudiants Fage devrait également remettre le sujet sur le tapis dans les prochains jours. Il n’est pas tout à fait trop tard : même si Parcoursup est déjà entré dans la vie de quelque 800 000 élèves, les décrets d’application qui encadrent son fonctionnement ne sont, pour la plupart, pas encore parus.

17 mars 2018

Les Français toujours divisés sur le handicap

article publié sur Faire-face

Les Français toujours divisés sur le handicap
Le handicap est une des dix thématiques du baromètre annuel de la Drees dont l'objectif est d'appréhender l'opinion des Français. © Pixabay

Publié le 15 mars 2018

Intégration dans la société, accessibilité, scolarité en milieu ordinaire et aides financières… Sur ces questions relatives au handicap, les Français restent partagés. Comme le montre le baromètre d’opinion de la Drees. Chaque année, il scrute les perceptions sur la santé, la protection sociale et les inégalités.

Est-ce une question de sensibilisation ? Les années passent mais sur le handicap, l’opinion des Français évolue lentement et demeure contrastée. C’est ce que laissent penser les résultats du baromètre 2017 de la Drees, rendus publics mercredi 14 mars.

Ainsi, à la question « À votre avis, la société actuelle se donne-t-elle les moyens d’intégrer les personnes handicapées ? », 54 % des personnes interrogées répondent « non ». Elles étaient 56 % en 2015. Mais si une légère amélioration semble aussi perçue par les Français concernés – ceux qui touchent des prestations liées au handicap, à l’invalidité et à la dépendance –, leur opinion est plus critique. Ils sont en effet 63 % à estimer que la société ne se donne pas les moyens de l’intégration contre 67 % en 2015.

L’école ? Oui, mais en fonction du handicap

De même sur l’accessibilité des lieux publics, chacun voit les choses à la hauteur de sa situation. Les Français dans leur ensemble pensent à 58 % que l’accessibilité a progressé. Tandis que le public touché par le handicap ne le perçoit qu’à 48 %.

La question de la scolarisation des enfants handicapés à l’école de quartier amène, elle aussi, des réponses différenciées. À 95 %, les Français y sont favorables pour les enfants en fauteuil roulant, à 70 % pour les enfants trisomiques mais à 66 % pour les jeunes autistes. Preuve que la notion d’école inclusive a encore du chemin à faire et que la loi de 2005 est toujours mal connue. Puisque la scolarité en milieu ordinaire s’avère aujourd’hui la règle.

Barometre-Drees2-600x448

 

Des aides au handicap encore mal comprises

Sur la question des aides financières, les Français n’ont toujours pas saisi le principe de la PCH. Comme le notait en 2015 faire-face.fr. À 50 %, ils pensent qu’une aide doit être accordée « à toutes les personnes se trouvant dans cette situation quel que soit leur niveau de revenus ». À 50 % « uniquement aux personnes disposant de faibles revenus ».

Une grande majorité (83 %) juge néanmoins qu’il est normal que l’AAH soit supérieure au RSA. Contre 16 % pour qui « les minima sociaux devraient être les mêmes que la personne soit handicapée ou non ».

Les aidants ni aidés ni considérés

Le baromètre 2017 s’intéresse aussi à la dépendance et à la question des aidants. 22 % des Français se déclarent en effet aidant d’une personne âgée dépendante. Des personnes qui, aux trois quarts, ont « le sentiment de ne pas être aidées et considérées comme aidants par les pouvoirs publics ».

Dans les actions à mener en priorité pour améliorer leur situation, ils citent des accueils de jour, une aide financière, un aménagement du temps de travail et de la formation. Logiquement, les bénéficiaires de l’AAH, l’Apa, la PCH se prononcent en priorité pour une aide financière (35 % contre 25 % pour l’ensemble des interrogés).

Des allocations et prestations trop peu sollicitées

Sur la cohésion sociale, un chiffre retient particulièrement l’attention. 80 % des Français adhèrent en effet à l’idée que « beaucoup de personnes ne bénéficient pas des droits ou allocations auxquels elles peuvent prétendre ».

Dans les raisons invoquées, la moitié avance « un manque d’information sur les aides ou sur les organismes à qui s’adresser ». Bien avant la complexité et la longueur des démarches. Un recul de l’accès aux droits noté par le Défenseur des droits dans son rapport 2016. Corinne Manoury

17 mars 2018

Autisme : Emotion et attachement - Laurent Mottron

Ajoutée le 9 mars 2018

Différents mais pas indifférents, les jeunes atteints d’autisme n’expriment pas leurs émotions et leur affection de la même façon que les autres. Pourtant leur attachement à leurs parents est très intense. Leur intérêt accru pour les aspects non sociaux de la relation les distrait de la relation à l’autre et les empêche d’exprimer clairement leurs émotions. Certaines thérapies, notamment le modèle de Denver, les incite à identifier leurs ressentis et à les traduire en mots. Laurent Mottron, professeur de psychiatrie à l’Université de Montréal et titulaire de la chaire en neurosciences cognitives. Un épisode du webdocumentaire "Le monde de l'autisme"

16 mars 2018

Autisme France - Journée mondiale de l'autisme 2018 - La France en Bleu

Dossier de presse publié sur le site d'Autisme France

(Cliquez sur le lien pour accéder au site où vous trouverez bien d'autres informations)

 

 

 

Affiche_AF-JMA_2018

16 mars 2018

Services. Ces éducateurs spécialisés exercent en libéral

article publié dans Ouest-France

Les éducateurs libéraux du cabinet Agirens : Patricia Treton, Nathalie Barbot, avec Emmanuel Thual, étudiant à l'école d'éducateurs, en stage d'immersion chez Agirens, et Vincent Cariou (à droite).
Les éducateurs libéraux du cabinet Agirens : Patricia Treton, Nathalie Barbot, avec Emmanuel Thual, étudiant à l'école d'éducateurs, en stage d'immersion chez Agirens, et Vincent Cariou (à droite). | Ouest-France

 

Faute de moyens suffisants, les institutions en charge des familles en difficulté sont parfois débordées, là où il faudrait agir vite. C'est ce qui a conduit des éducateurs à s'installer en libéral.

Un ado qui tourne mal, des parents qui se déchirent, un foyer où l'on ne se parle plus... « Les familles en difficulté sont nombreuses, les situations diverses et, bien souvent, il faut agir vite, pour éviter que ça ne s'envenime », explique Nathalie Barbot, administratrice du cabinet Agirens.

Lancé en octobre 2017, il compte quatre éducateurs spécialisés exerçant en libéral. Tous affichent vingt ou trente ans d'expérience au sein d'institutions publiques d'aide à l'enfance et de protection de familles en difficulté.

Tous partagent ce sentiment de ras-le-bol et d'impuissance face aux dossiers qui s'empilent. « Quand on vous confie 35 à 40 situations à suivre en même temps, vous avez le sentiment de ne plus faire votre métier. »

 

« Écoute attentive »

Alors ces travailleurs sociaux ont décidé de quitter leur statut de salariés pour exercer à leur propre compte. « Nous proposons aux familles en difficulté des consultations éducatives, un accompagnement éducatif et social, pour les aider à résoudre une situation conflictuelle par une écoute attentive », explique Nathalie Barbot.

Attention, ces éducateurs libéraux ne sont pas des psychologues, encore moins des médecins. « Nous ne sommes pas dans une approche clinique. Nos outils sont d'ordre strictement éducatifs ! »

En créant leur cabinet libéral, en privatisant l'accompagnement social des familles, les membres d'Agirens ont conscience de donner un coup de pied dans la fourmilière. « Notre initiative a suscité des critiques virulentes, mais l'idée fait son chemin. Les structures se rendent compte que l'on peut être utile pour empêcher que certaines situations ne s'aggravent, quand aujourd'hui les délais de réponse prennent entre quatre et six mois. »

Retrouvez notre rubrique Investissement

36 € la consultation

Les membres d'Agirens (comme « agir ensemble ») interviennent « en complémentarité des services publics en charge de la prévention, pour éviter que les situations de conflits intrafamiliaux n'explosent ».

Encore faut-il avoir les moyens de s'offrir une consultation chez Agirens (36 € au cabinet, 45 € au domicile). « C'est vrai, mais les difficultés touchent tous les milieux sociaux, pas seulement les plus modestes, et les frais peuvent, parfois, être couverts par un fonds de remboursement spécifique », argumente Vincent Cariou, membre d'Agirens.

Il est aussi cofondateur d'Humacitia, entreprise sociale et solidaire, qui accompagne la création de cabinets Agirens à travers la France. « Avec Yann Schraauwers, lui aussi éducateur, nous avons créé Humacitia pour encourager l'entrepreneuriat social indépendant, face à des modèles économiques dominants qui ont montré leurs limites. »

Agirens, 81, mail François-Mitterrand ; tél. 02 22 06 81 53 ; www.agirens.fr ; le cabinet propose aussi des formations aux professionnels (entreprises, associations, avocats) intervenant dans la protection de l'enfance et des familles.

16 mars 2018

Rappel - Un Conseil Départemental condamné à verser plus de 7000 € de RSA à une mère d’enfants handicapés

logo toupi carréarticle publié sur le site de TOUPI

Nadia, mère de deux enfants handicapés, s’était vu réclamer un indu de RSA en janvier 2016 et avait été privée de RSA depuis. La CAF et le Conseil Départemental de Haute-Savoie prétendaient qu’elle n’avait pas droit au RSA parce qu’elle percevait la Prestation de Compensation du Handicap pour ses enfants.

Le tribunal administratif de Grenoble vient de condamner le Conseil Départemental de Haute-Savoie à verser à Nadia le RSA dû depuis janvier 2016, soit plus de 7000 €. En effet, comme nous l’expliquions ici, la Prestation de Compensation du Handicap (PCH) n’a pas lieu d’être intégrée dans les ressources qui servent à calculer le RSA, lorsque cette PCH est versée à l’aidant d’un enfant de moins de 20 ans.

La décision du tribunal a été prise en moins de trois semaines, en référé, car il a reconnu l’urgence de la situation.

 

Dans au moins 15 départements, les Conseils Départementaux privent illégalement des parents d’enfants handicapés de RSA : Aveyron (12), Bouches du Rhône (13), Côtes d’Armor (22), Lozère (48), Manche (50), Mayenne (53), Nord (59), Oise (60), Hautes-Pyrénées (65), Sarthe (72), Haute-Savoie (74), Seine Maritime (76), Somme (80), Vaucluse (84), La Réunion (97).

TouPI continue à accompagner les familles concernées pour que leurs droits au RSA soient rétablis. Nous regrettons néanmoins qu’il faille en passer par la justice pour que les familles obtiennent simplement le juste versement des prestations auxquelles elles ont droit. Ne s’indignerait-on pas de devoir aller devant le tribunal pour recevoir le versement de prestations familiales ? Pourquoi en va-t-il autrement pour les familles ayant des enfants handicapés ? Pourtant, malgré nos alertes auprès de la CNAF (Caisse Nationale d’Allocations Familiales) et du Secrétariat d’Etat aux Personnes Handicapées, rares sont les familles qui, jusqu’à présent, ont obtenu la régularisation de ses droits autrement qu’en s’adressant à la justice. La CNAF refuse toujours de modifier sa circulaire erronée.

 

Nous remercions Maître David Taron qui nous a accompagnés.

L’ordonnance du tribunal administratif de Grenoble est consultable ici.

 

Mise  à jour : 31/01/18

16 mars 2018

Journal d'un enfant autiste : Une école à sa mesure

 

Journal d'un enfant autiste : Une école à sa mesure

Comment apprendre à un enfant qui ne sait pas jouer ? Qui ne sait plus parler ? Qui ne sait plus communiquer ? Comment envisager un programme alors que rien ne semble acquis, alors qu'on est face à une telle souffrance ?

https://blogs.mediapart.fr

 

15 mars 2018

L'autisme est une psychose : la bourde de la psychologue Caroline Weill sur France 2 ?

 

L'autisme est une psychose : la bourde de la psychologue Caroline Weill sur France 2 ?

Dans l'émission " Je t'aime etc " présenté par Daphnée Bürki sur France 2 à 15H, le thème de ce jeudi 15 Mars était " Vivre avec une femme qui a une différence invisible " ... La love story a été débattu ensuite par la brochette habituelle de chroniqueurs, médecins, psy...

https://blog.francetvinfo.fr

 

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