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"Au bonheur d'Elise"
association
29 novembre 2017

Autisme -> Le mythe du retour des dinosaures ... un grand cru de Bourgogne !

Pourquoi l'accompagnement des personnes avec autisme est toujours en retard en France ? Petit exemple ordinaire ... (Jean-Jacques Dupuis)

Toujours plus d'UN pour accompagner un autiste ! * Centre Ressources Autismes Bourgogne

Journée régionale CIPPA Samedi 31 mars 2018 - Cinéma Olympia - DIJON (21) Toujours plus d'UN pour accompagner un autiste ! Plaidoyer pour des interventions plurielles et complémentaires. Avec la participation de Bernard GOLSE, Marie-Dominique AMY, Marie-Christine LAZNIK, Fabien JOLY, Chantal LHEUREUX-DAVIDSE, Anne-Sophie PELLOUX, Thierry VIGNERON, Louise VILLETARD, L'équipe de L'Ombrelle C.G.I.

http://www.crabourgogne.org

 Merveilleux film en complément pour ceux qui veulent en savoir davantage sur le dessous des cartes

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28 novembre 2017

Dr Karina ALT - Formation autisme - actualisation des connaissances à Paris le 8.1.2018

28 novembre 2017

Dans le Gard, l’association Sésame Autisme aide à l’insertion professionnelle des autistes

article publié sur France info

Cinq travailleurs de l'ESAT sont employées au restaurant de ce camping de Vauvert. / © FR3 OccitanieCinq travailleurs de l'ESAT sont employées au restaurant de ce camping de Vauvert. / © FR3 Occitanie

Par RDPublié le 25/11/2017 à 07:54

Une belle récompense pour son action. Il y a deux jours, l’association des maires de France (AMF) a remis son prix  "coup de cœur" de l’année à l’association Sésame Autisme Languedoc Roussillon.

Celle-ci offre l’opportunité aux travailleurs autistes de l’ESAT du Mas Templé, à Vauvert dans le Gard, de travailler au restaurant du camping Monte Cristo, que gère l’association.

Le reportage de Pascale Barbès et Pierre Trouillet :


Dans le Gard, l’association Sésame Autisme aide à l’insertion professionnelle des autistes

Dans le Gard, l’association Sésame Autisme aide à l’insertion professionnelle des autistes
Avec : Mélaine Houlier, monitrice de l'atelier cuisine ; Maxime, travailleur handicapé ; Roxane Auguste, monitrice de l'atelier service en salle ; Olivier Colas, établissement et Service d'Aide par le Travail (ESAT) - France 3 Occitanie - Reportage : Pascale Barbès et Pierre Trouillet

Passerelle

Maxime fait partie des personnes atteintes de troubles autistiques bénéficiant du programme. Pour lui, servir au restaurant est un défi, mais un défi excitant :

"J’aime être près du client, être disponible pour lui, veiller à ce qu’il ne manque de rien", explique-t-il.
Pour lui comme pour les autres, pas d’obligation de rendement. C’est avant tout une question d’épanouissement personnel, une façon de sortir de l’isolement.

Ce travail, qui complété aux allocations permet de toucher le SMIC, est un premier pas vers l’indépendance :

"Pour certains ce sera une passerelle qui leur permettra d’accéder au monde du travail ordinaire", note Olivier Colas, de l’ESAT.

28 novembre 2017

Exode des français handicapés en Belgique : la loterie infernale

 

 

26 novembre 2017

Comprendre le handicap pour mieux accompagner : Les enfants et adolescents autistes

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26 novembre 2017

Le programme du congrès d'Autisme France - 9 décembre 2017 au Palais des Congrès à PARIS

26 novembre 2017

Les chevaux, nouvelle thérapie de Mathieu Le Bray

L’association Tous avec Mathieu a été créé en 2010 pour soutenir Mathieu Le Bray, victime d’un accident domestique en 2005. Objectif : aider le jeune homme à trouver des fonds pour financer interventions chirurgicales ou thérapies.

Jeudi 23 novembre, dans la salle des fêtes d’Ovillers-La-Boisselle, les adhérents de l’association ont assisté à l’assemblée générale. Le président Julien Le Bray, le frère de Mathieu, a ouvert la séance en dressant un bilan plus que positif sur les activités de l’année 2016-2017. «  La vente de ballotins de chocolats est en augmentation constante. La soirée-concert en mars à Fricourt a rassemblé 140 personnes et la 8e  marche en mai a été couronnée de succès. Pour cette édition, la nouveauté a été l’organisation d’une color run qui a attiré plus de 350 personnes. »

Toutes ces animations seront reconduites en 2018. La vente de ballotins de chocolats a d’ailleurs commencé. Les commandes peuvent être passées via la page Facebook de l’association ou en contactant le président. La récolte de bouchons pour l’association RGA se poursuit tout au long de l’année (cette année, 2 tonnes de bouchons ont été récoltées). Mathieu a reçu un chèque de 150 € de la part de RGA. Chantal Gobain participe ainsi à sa manière en confectionnant et vendant des mitaines depuis maintenant six ans.

« En juillet, j’ai pu faire une balade en extérieur. J’étais obligé de lâcher prise, c’est un peu difficile mais je suis plus motivé que jamais »

Mathieu Le Bray

«  Pour que la réunion soit moins rébarbative  », le bureau a présenté trois petites vidéos aux adhérents lors de la réunion. Une sur la neurologie et les deux autres sur les thérapies que Mathieu a suivi et va suivre en 2018. L’une d’elles consiste en de l’équithérapie, la nouveauté cette année. Le centre Equiphoria de La Canourgue en Lozère est un institut de soins pour les personnes en situations de handicap. Il propose de la thérapie avec le cheval comme support. Mathieu y a fait trois séjours de quinze jours. «  Ça m’aide vraiment beaucoup, confie Mathieu. Mon équilibre et ma posture se sont améliorés. Le contact avec les chevaux m’a fait faire d’énormes progrès. Le feeling avec Hélène, l’animatrice, est bien passé. Elle me donne des bons conseils et les séances sont agréables. Je n’ai plus l’impression de faire de la rééducation mais de pratiquer une activité pour mon plaisir. En juillet, j’ai pu faire une balade en extérieur. J’étais obligé de lâcher prise, c’est un peu difficile mais je suis plus motivé que jamais. » Le jeune homme attend avec impatience le prochain séjour en avril.

Mais avant ça, une opération chirurgicale est programmée le 7 décembre. Mathieu Le Bray va à Madrid pour une intervention sur l’enveloppe des muscles, ce qui lui permettra d’avoir une plus grande amplitude de mouvement pour la rééducation. Mais les progrès sont déjà là : Mathieu peut rester debout dix minutes tout seul. «  En 2018, la rééducation sera dans la continuité avec bien entendu la thérapie avec le cheval et de la sophrologie qui aide Mathieu à s’évader et à gérer ses frustrations  », évoque le père du jeune homme.

Contact : Julien Le Bray au 06 22 20 20 62.

24 novembre 2017

Interview de Christine Meignen lors de l'inauguration du Train de la Petite Enfance et de la Parentalité

logo sésame autisme FFSA

Publication sur la page Facebook de Sésame Autisme

Madame Christine Meignien à l'occasion de l'inauguration du Train de la Petite Enfance et de la Parentalité, dont la FFSA est partenaire.

23 novembre 2017

Dans le Val-de-Marne 94 -> Autisme : la MDPH propose un accueil personnalisé avec Autisme 3D

23 novembre 2017

Association Les enfants d’Hélène : le partage au-delà des différences

Fabienne Desmons est mère d'un enfant autiste et bénévole. Avec son association Les enfants d'Hélène, elle combat l'isolement des familles touchées par le handicap. La méthode ? Organiser des activités "mixtes" entre enfants handicapés et non handicapés pour des moments de partage au-delà des différences. 




"Je suis maman de trois enfants de 17, 14 et 11 ans, dont un atteint d'autisme sévère, mon fils de 14 ans. Le manque de prise en charge adaptée m’a amenée à cesser mon activité professionnelle alors qu’il avait 6 ans, et à devenir son chauffeur, éducatrice, enseignante, orthophoniste… activités regroupées depuis quelques temps sous le terme « d’aidant familial ». Le tout sans oublier les besoins de ses frère et sœur et en tâchant de ne pas oublier non plus mon couple, ma vie sociale et moi-même.

J’ai pris en 2011 la présidence d’une association, Les enfants d’Hélène, dans le département de l’Hérault. Elle agit pour la mixité des publics avec et sans handicap. Son action s'articule autour de trois axes. D’abord l’accueil d’enfants et adolescents, handicapés ou non, dans des centre de loisirs. Trois fois par an, ils peuvent aussi partir ensemble en mini camp – il s’agit souvent de la première expérience loin des parents pour les enfants en situation de handicap ! Ensuite, l’organisation de séances de cinéma mensuelles, « mixtes » également. Enfin la formation et l’information : nous participons à des colloques, intervenons dans des lieux de formations et auprès de professionnels de l’animation. Parce que la pédagogie est aussi une façon d'éveiller les consciences et de faire tomber les préjugés !"
23 novembre 2017

Syndrome de Rett : des papas se mettent à nu face au handicap

article publié dans Le Parisien

Vincent Burgat| 20 novembre 2017, 13h00 |2

Un collectif de papas membres de l'Association française du syndrome de Rett ont posé pour un calendrier qui illustre leur quotidien face au handicap. 

BERTRAND VALLE

Ils ont tous une fille atteinte de cette maladie génétique rare. Et pour parler de leur quotidien face au handicap, ils sont mis à nu en posant pour un calendrier qui défendra leur cause. 

Se mettre à nu. C'est ce qu'a fait, au sens propre du terme, un collectif de papas membres de l'Association française du syndrome de Rett. Leur point commun ? Ils sont tous pères de petites filles atteintes par cette maladie génétique rare (lire ci-dessous). «Nous avons choisi une approche très décalée pour faire parler de notre cause», explique Daniel Monteiro, le papa de Noémie, 12 ans. Ces modèles d'un jour ont posé pour un calendrier qui illustre leur quotidien face au handicap : le matériel médical, les dossiers administratifs, les activités à adapter... Bref, toutes les difficultés liées à cette maladie.

«On peut vite s'enfermer sur soi-même lorsque vient le moment d'affronter le regard des autres. L'idée est de montrer que l'on n'est pas seul face à cette maladie, mais aussi de revaloriser le rôle de papa dans la cellule familiale», confie Daniel Monteiro, à l'origine de l'initiative. L'association, reconnue d'utilité publique, réunit 900 familles et organise plusieurs fois par an des activités pédagogiques et des colloques exposant les avancées de la lutte contre le syndrome de Rett. «J'ai la chance d'être dans un état d'esprit positif. Mon rôle est de le transmettre à ces familles un peu perdues.»

VIDEO. Le calendrier «Hors Normes»

Calendrier «Hors Normes» 2018. En vente sur www.afsr.fr, 15 €. Les fonds seront reversés à l'Association française du syndrome de Rett.

 

Qu'est ce que le syndrome de Rett?

D'origine génétique, le syndrome de Rett est un désordre neurologique grave touchant essentiellement les filles. La maladie se révèle entre six à dix-huit mois après la naissance, suivie d'une période de régression des acquis comprenant : handicap mental, infirmité motrice sévère, troubles comportementaux, épilepsie... La maladie conduit à un polyhandicap rendant les personnes atteintes dépendantes à vie. Il n'existe aujourd'hui aucun traitement.

Pour en savoir + https://afsr.fr/2014/08/21/definition-et-criteres-de-diagnostic/

23 novembre 2017

Quand les animaux apaisent les troubles autistiques

article publié dans 20 MINUTES

SOIGNER Grâce à la zoothérapie, les enfants atteints d’autisme sortent de leur bulle…

Christine Ludwig

Publié le 15/11/17 à 07h05 — Mis à jour le 15/11/17 à 07h05

Plusieurs animaux sont mobilisés par l'association, comme des lapins, des chiens ou des chevaux.

Plusieurs animaux sont mobilisés par l'association, comme des lapins, des chiens ou des chevaux. — UMANIMA

Des babines humides, un poil doux ou une odeur spécifique… Des détails parfois anodins qui ont le pouvoir d’apaiser les enfants autistes. En plus de leurs soins habituels, certaines associations proposent de mettre en place des séances de zoothérapie. C’est le cas d’Umanima, à Saint-Gilles, dans la périphérie de Rennes. Chiens, chevaux et lapins sont les alliés des soignants, qui suivent de jeunes patients au long cours.

«En ce moment, je suis par exemple une enfant de quatre ans. Elle avait de grosses difficultés pour établir des relations avec d’autres personnes. Elle ne supportait pas le contact physique et n’accrochait pas le regard des autres. Nous avons commencé à travailler avec des chevaux. Au bout de deux ans de suivi, nous avons remarqué une nette amélioration. Aujourd’hui, la petite fille peut monter sur le cheval, adossée à sa maman. C’est un progrès énorme», explique Marine Béchu, éducatrice spécialisée et formée par l’association à la zoothérapie. Le but ultime étant d’accepter le contact physique sans la médiation du cheval et de pouvoir reproduire ces nouvelles habitudes à la maison avec ses parents.

Appréhender le monde en douceur

L’enjeu de la zoothérapie pour les enfants autistes est de réussir à les sortir de leur isolement, qui peut parfois être néfaste pour eux. «Nos patients présentent souvent des stéréotypies. Ils se balancent d’avant en arrière ou ne détachent jamais leurs mains. C’est une façon pour eux de s’apaiser. Mais ça les coupe du monde et ça peut même parfois mener à de l’auto-mutilation. Nous sommes là pour les faire lâcher prise», explique Marjolaine Duval, assistante sociale et formée à la médiation par l’animal.

L’éveil au monde extérieur se fait progressivement. «Au bout de plusieurs séances, les enfants commencent à percevoir l’animal comme un être vivant. Ensuite, ils vont assimiler que nous sommes des intervenants présents pour les aider. Et enfin, ils se mettent à pouvoir échanger petit à petit avec leurs parents», explique Marjolaine. L’association adapte chaque séance à ses petits patients, avec des séances individuelles ou en groupe, dans leurs locaux ou dans les institutions qui prennent en charge les malades. Un moyen de s’adapter aux problématiques de chacun.

20 novembre 2017

Une crèche où les enfants autistes sont chez eux

Résumé : 20 novembre 2017, journée internationale des droits de l'enfant. A cette occasion, Sophie Cluzel visite une crèche où l'inclusion des enfants autistes est la règle. Une initiative "exemplaire" qui ne demande qu'à essaimer...

Par , le 20-11-2017

Quoi mieux qu'une crèche pour expérimenter la participation et la citoyenneté partagée ? Et, ce, dès le plus jeune âge. C'est le credo de la crèche multi-accueil Ernest May, située à Paris, dans le 17ème arrondissement. Gérée par la Croix rouge française, elle propose 12 places réservées à des enfants (domiciliés à Paris) avec des troubles du spectre de l'autisme. Sophie Cluzel, secrétaire d'Etat en charge des Personnes handicapées, a choisi le 20 novembre 2017, Journée internationale des droits de l'Enfant, pour se rendre dans cette structure qualifiée « d'exemplaire » parmi les 60 établissements Croix-Rouge française dédiés aux jeunes enfants.

Collaboration spécifique

Ce multi-accueil a pour objectif d'offrir une expérience de collectivité en milieu ordinaire à l'enfant tout en s'assurant de la prise en compte de ses besoins spécifiques. Il ne pourrait fonctionner sans une collaboration étroite avec les acteurs intervenant dans le champ de la petite enfance : les services de la Protection maternelle et infantile (PMI), les Centres d'action médico-social précoce (CAMSP), les Centres médico-psycho-pédagogique (CMPP), les Services d'éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD), etc. A cet effet, la Croix-Rouge française a développé un service mobile d'interventions précoces spécialisé sur les troubles du spectre de l'autisme qui pourra intervenir auprès de l'enfant au sein même de la crèche. Une formation a par ailleurs été déployée afin de sensibiliser les professionnels, élaborée avec les parents, des professionnels et des experts à partir des besoins exprimés par les professionnels des crèches. Elle est en cours de déploiement dans les autres établissements de l'association.

Une opportunité méconnue

La possibilité d'accéder à une place en Etablissements d'accueil des jeunes enfants (EAJE) est bien souvent méconnue par les familles ou peut sembler irréalisable. De même, elles ignorent que ces établissements peuvent proposer un accueil à temps partiel, d'une demi-journée à plusieurs jours par semaine, adapté à chaque situation. Selon le communiqué de la Croix rouge française, « les enfants ne s'y trouvent pas soumis à des recherches de performances ou de pré requis. (…) Il revient aux professionnels de la structure de compenser ce qui rend l'enfant vulnérable en adaptant l'environnement ou l'activité. A la crèche, ce ne sera pas à l'enfant de s'adapter mais bien à ce lieu de le faire. » Des méthodes et une pédagogie sont ainsi développées pour prendre en compte la diversité des rythmes singuliers de développement de tous les enfants accueillis.

Focus sur une équipe mobile de soins précoces

La Croix-Rouge française a par ailleurs développé, en lien avec des directeurs de crèches, un projet d'unité de soins précoces mobile rattaché à l'hôpital de jour pour enfants « l'Etincelle » situé dans le 18ème arrondissement de Paris. Il a pour objectif d'apporter un soutien spécialisé à des tout-petits repérés, ou pour lesquels un diagnostic de trouble autistique vient d'être posé. En effet, la difficulté est criante, pour les professionnels des centres diagnostiques, d'orienter rapidement et efficacement les enfants dépistés très jeunes. La détection doit être faite très tôt, à un âge où les effets des interventions se font rapidement ressentir, notamment grâce à l'importante plasticité du cerveau avant l'âge de 6 ans. Mais les structures de soins spécialisées manquent, et les familles se trouvent trop souvent démunies dans la recherche d'un accompagnement adapté pour leur enfant.

Prises en charge précoces

C'est donc avec cette volonté de répondre rapidement aux besoins des enfants de moins de 4 ans que la création de cet EMSP a été menée. Ce dispositif doit proposer des prises en charge précoces individualisées et délocalisées (dans les lieux fréquentés par le jeune enfant entre 1 et 4 ans), en intégrant d'emblée de nouveaux partenaires du réseau (PMI, lieux d'accueil petite enfance). Le personnel de l'unité interviendra en tant que cellule ressource auprès des autres crèches Croix-Rouge française en lien étroit avec la PMI. La pluridisciplinarité du personnel de l'unité de soins précoces (psychiatres, psychologues, psychomotriciens, orthophoniste) constitue une ressource précieuse pour soutenir parents et professionnels des crèches.

 

Handicap.fr vous suggère les liens suivants :

Sur Handicap.fr

20 novembre 2017

Des milliers d’enfants handicapés toujours en attente de scolarisation

article publié dans 20 Minutes

Scolarité Plus de 5.000 enfants handicapés ne peuvent toujours pas aller à l'école. En cause: le manque de formation et d'AVS...

Lise Garnier

Publié le 16/11/17 à 07h05 — Mis à jour le 16/11/17 à 07h05

Le statut précaire des AVS rend difficile l'accompagnement des enfants handicapés dans leur scolarité.

Le statut précaire des AVS rend difficile l'accompagnement des enfants handicapés dans leur scolarité. — F. Durand/SIPA

Ils étaient 3 500 en septembre en attente d’un Auxiliaire de vie scolaire (AVS), selon le Collectif citoyen handicap (CCH). Un chiffre confirmé par le gouvernement. Quelques semaines plus tard, les chiffres augmentent et «près de 5 200 enfants en situation de handicap ne peuvent toujours pas aller à l’école», annonce Jean-Luc Duval, président du CCH. La raison ? Le manque d’Auxiliaires de vie scolaire (AVS) mais pas que…

Un statut précaire

Le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, a créé 8.000 emplois d’AVS à temps plein cette année. Une action insuffisante pour Mathieu Brabant, syndicaliste CGT en charge des AVS, «car l’emploi précaire conduit à un mauvais suivi des enfants». Contractuels de l’Education nationale, certains AVS sont d’abord en contrat aidé pendant 24 mois avant de pouvoir prétendre à un CDD pour une durée maximum de 6 ans.

Le manque de perspective «et le salaire de 683 euros par mois en contrat aidé à temps partiel n’aident pas les candidats à l’emploi à emprunter cette voie», remarque Jean-Luc Duval. Et pour conséquence: «A Paris, un enfant handicapé sur deux n’a pas d’auxiliaire de vie scolaire», déclare-t-il. Pour Mathieu Brabant, dans cette histoire tout le monde souffre: «L’enfant et ses parents qui se sentent rejetés et les enseignants qui ne peuvent pas gérer les élèves sans la présence d’un AVS.» Ainsi, certains directeurs refusent les enfants handicapés sans accompagnateur.co

Et un problème de formation

Face à ce constat, la CGT appelle l’Etat «à investir pour titulariser les AVS et à embaucher du personnel mieux formé plutôt que de faire du bricolage». En réponse, le gouvernement d’Edouard Philippe a prévu de diminuer le nombre de contrats aidés d’ici 2018. Les associations craignent que ces emplois soient remplacés par des services civiques d’une durée de 9 mois.

«Le statut des AVS n’est pas le seul problème» pour Jean-Louis Garcia, président de l’Association pour adultes et jeunes handicapés (APAJH). Selon lui, il faut élargir le problème: «Les professeurs ne sont pas formés pour encadrer les enfants et le handicap est encore stigmatisé aujourd’hui.» Si le chemin reste long, le nombre d’enfants handicapés scolarisés dans les écoles ordinaires augmente chaque année.

20 novembre 2017

Elise & Kalina, Chloé, Virginie et les autres ...

P1030047Premier contact avec Elise pour Chloé, la nouvelle bénévole de l'association Trott'Autrement ... Séance très fun sous la direction de Virginie Govoroff-Regnault.

Notez au passage la superbe position des mains pour conduire son cheval ... fruit d'un travail de longe haleine comme dirai un ami écrivain.

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20 novembre 2017

Guer. Avoir un autre regard sur l’autisme avec l’art

Ce samedi, au centre culturel Le Belvédère à Guer avait lieu le vernissage de l’exposition Ap’art qui met en avant des œuvres d’art de personnes autistes.
Ce samedi, au centre culturel Le Belvédère à Guer avait lieu le vernissage de l’exposition Ap’art qui met en avant des œuvres d’art de personnes autistes. | Mélanie Becognee

C’est en musique qu’a démarré, samedi, le vernissage d’Ap’art au centre culturel Le Belvédère à Guer. Le groupe folklorique La Mazurka a guidé les visiteurs du centre-ville jusqu’au lieu d’exposition.

Cet événement s’inscrit dans le cycle des animations proposées jusqu’au 15 décembre par l’association Parlons en ! Autisme.

Gravures, dessins, empreintes… De nombreuses œuvres y mettent en avant le travail d’enfants et personnes à troubles autistiques en lien avec des artistes, collectifs, associations et art-thérapeute. « Toutes ces manifestations valorisent l’expression de l’art chez les personnes handicapées, a rappelé le maire de Guer, Jean-Luc Bléher. Il n’y a aucune structure spécifique pour les adultes autistes. Les autres sont souvent complètes et non adaptées à leur prise en charge. L’hôpital psychiatrique n’est pas la solution. »

Ce samedi, au centre culturel Le Belvédère à Guer avait lieu le vernissage de l’exposition Ap’art qui met en avant des œuvres d’art de personnes autistes.
Ce samedi, au centre culturel Le Belvédère à Guer avait lieu le vernissage de l’exposition Ap’art qui met en avant des œuvres d’art de personnes autistes. | Mélanie Becognee

 

Ce samedi, au centre culturel Le Belvédère à Guer avait lieu le vernissage de l’exposition Ap’art qui met en avant des œuvres d’art de personnes autistes.
Ce samedi, au centre culturel Le Belvédère à Guer avait lieu le vernissage de l’exposition Ap’art qui met en avant des œuvres d’art de personnes autistes. | Mélanie Becognee

 

Ce samedi, au centre culturel Le Belvédère à Guer avait lieu le vernissage de l’exposition Ap’art qui met en avant des œuvres d’art de personnes autistes.
Ce samedi, au centre culturel Le Belvédère à Guer avait lieu le vernissage de l’exposition Ap’art qui met en avant des œuvres d’art de personnes autistes. | Mélanie Becognee

Une façon claire de rappeler le combat de l’association Parlons en ! Autisme qui se bat depuis six ans pour l’ouverture d’un foyer d’accueil médicalisé.il a rappelé le « soutien indéfectible » de la commune.

Tout comme la conseillère départementale Marie-Hélène Herry qui a précisé que « qu’on ne voit pas les choses évoluer malgré une succession de plan autisme […] Le département est prêt à mettre les moyens mais il faut que l’Agence régionale de santé ouvre de places. »

Ce samedi, au centre culturel Le Belvédère à Guer avait lieu le vernissage de l’exposition Ap’art qui met en avant des œuvres d’art de personnes autistes.
Ce samedi, au centre culturel Le Belvédère à Guer avait lieu le vernissage de l’exposition Ap’art qui met en avant des œuvres d’art de personnes autistes. | Mélanie Becognee

Prochain rendez-vous Ap'art :

Ce samedi 18 novembre, ciné-débat au Quai 56 à 20 h 30 avec la projection du filmDernières nouvelles du cosmos de Julie Bertuccelli. Entrée : 5 €

Conférence d'Eric Lemonnier, pédopsychiatre et spécialiste de l'autisme le 25 novembre à 20 h 30 au Quai 56. Gratuit.

19 novembre 2017

Handicap : des militantes interpellent l'Etat... en haut des grues

article publié dans Le Point

Quatre personnes étaient juchées sur des grues de la porte d'Italie à Paris, samedi en fin de journée, pour alerter le président sur le handicap.

Source AFP

Publié le 18/11/2017 à 20:12 | Le Point.fr
L'action a été menée pour rappeler à Emmanuel Macron les promesses faites aux personnes handicapées durant la campagne présidentielle.

L'action a été menée pour rappeler à Emmanuel Macron les promesses faites aux personnes handicapées durant la campagne présidentielle. © AFP/ MARTIN BUREAU

L'initiative vient du collectif citoyen handicap. Pour se faire entendre, quatre militantes étaient toujours perchées sur des grues de la porte d'Italie à Paris, ce samedi en fin de journée, pour réclamer au président Macron davantage de moyens pour les personnes en situation de handicap, a appris l'Agence France Presse. Sur les huit personnes ayant initié l'action, dès 4H30 samedi, quatre étaient encore retranchées à 18H00 dans deux grues différentes, des mères qui "refusent de descendre pour l'instant", a expliqué au téléphone Estelle Ast, membre du collectif.

L'une d'elles "menace de sauter de la grue si elle n'obtient pas un écrit pour son fils", a-t-elle ajouté. L'action a été menée pour rappeler à Emmanuel Macron les promesses faites aux personnes handicapées durant la campagne présidentielle. "Un premier contact a été établi avec un conseiller" de l'Élysée, mais sans avancée notable pour l'heure, a précisé Mme Ast. Des banderoles ont été déployées sur chacune des grues: "une prise en charge adaptée pour tous", "handicap: 17 suicides connus depuis 2008", "handicap: discrimination, exclusion, maltraitance" et "handicapés au chômage= 21 %".

"Un véritable parcours du combattant"

Malgré des lois successives, dont l'instauration en 1987 de l'obligation d'emploi de 6 % de personnes en situation de handicap pour les entreprises de plus de 20 salariés, le taux de chômage des personnes handicapées reste très élevé, 19 %, deux fois supérieur à la moyenne nationale. "Monsieur Macron veut faire du handicap sa priorité mais aujourd'hui on se rend compte que toutes les directives qui sont prises ne vont pas du tout dans ce sens-là", a affirmé Estelle Ast qui, en mars 2014, avait entrepris une action similaire à Toulouse.

"On veut vraiment que les moyens soient mis pour que les personnes handicapées soient totalement incluses dans notre société, à tous les niveaux : à l'école, au travail... Que tout ne soit plus un véritable parcours du combattant", a-t-elle encore dit à l'Agence France Presse. Plusieurs associations ont regretté, à l'occasion de la Semaine pour l'emploi des personnes handicapées (13-19 novembre), la politique du gouvernement en la matière, notamment en raison de la baisse des contrats aidés.

18 novembre 2017

Guer. Ils se battent pour les adultes autistes

Nadège, 19 ans, est entourée de Corentin, 24 ans, et ses parents, Sylvie et Patrick Costard, de Monteneuf ; ses grands-parents, Jacques et Monique Ediar, Andrée

Nadège, 19 ans, est entourée de Corentin, 24 ans, et ses parents, Sylvie et Patrick Costard, de Monteneuf ; ses grands-parents, Jacques et Monique Ediar, Andrée | Ouest-France

Tous les centres susceptibles d’accueillir des adultes autistes sont pleins. Depuis six ans, l’association Parlons-en ! Autisme milite pour la création d’un foyer d’accueil médicalisé à Guer.

L'association Parlons-en ! Autisme se bat depuis six ans pour la création d’un foyer d’accueil médicalisé pour les adultes autistes à Guer. 

« Il n’y a aucune structure spécifique aux adultes autistes, avec internat et externat, dans le département », regrette Isabelle François, mère d'une jeune autiste de 19 ans, Nadège, qui va, une fois par semaine, à l’Institut médico-éducatif (IME) de Bréhan, à 57 km de Saint-Malo-de-Beignon. Mais Nadège bénéficie de l’amendement Creton. En renouvelant sa demande chaque année, elle peut garder cette place jusqu’à ses 25 ans.

Futur bâtiment financé

Les autres peuvent prendre leur mal en patience. Tous les centres morbihannais susceptibles d’accueillir des adultes autistes sont pleins. 

Le terrain d'un foyer d'accueil à Guer est pourtant déjà choisi et le futur bâtiment financé. L'association n'attend plus que le feu vert de l’Agence régionale de santé (ARS) et du Département. « Nous sommes soutenus par la mairie de Guer qui nous cède le terrain, détaille Jacques Ediar, vice-président de Parlons-en ! Autisme. L’Association française de gestion de services et établissements pour personnes autistes prendrait en charge la construction du centre. »

4e Plan autisme

Le sujet sera à l’ordre du jour de la session du conseil départemental de décembre. « Mais un terrain cédé et un bâtiment financé ne sont pas suffisants. Les budgets de fonctionnement pour de telles structures sont très importants. Nous travaillons en étroite collaboration avec l’Agence régionale de santé sur ce sujet », précise Jean-Remy Kerravec, vice-président délégué aux personnes handicapées, au conseil départemental.

 « Le dossier présenté par l’association doit s’intégrer dans la politique régionale, indique l’ARS dans un communiqué, tout en rappelant qu’elle a rencontré l’association. Aujourd’hui, l’Agence finalise la synthèse de la concertation, conduite en vue de la construction du 4e Plan autisme. Ce dernier devrait être publié fin février. »

15 novembre 2017

Ciné-ma différence samedi 25 novembre 16h : La Famille Addams au Kosmos - Fontenay-sous-Bois

Fontenay-sous-Bois Info
La séance sera suivi d’un goûter

Samedi 25 novembre 2017 à 16h00

Synopsis : Rififi chez les Addams, célèbre famille macabre qui vit dans un manoir hanté, lorsque débarque l’oncle Fétide, sosie d’un des membres de la famille disparu vingt-cinq ans plus tôt… Ne serait-il pas un usurpateur qui cherche à les doubler pour faire main basse sur leur trésor caché ?

Cinéma Le Kosmos

243 ter avenue de la République - 94120 Fontenay-sous-Bois


Salle NON accessible pour l’instant aux personnes à mobilité réduite (escalier). Boucle magnétique.

Tarif : de 2.5 €

Contact : Marie-Françoise LIPP

Téléphone : 06 82 01 27 97

Courriel : fontenaysousbois@cinemadifference.com

Grâce au :


 

Ciné-ma différence : des séances de cinéma TOUS PUBLICS, adaptées pour les personnes dont le handicap peut entraîner des troubles du comportement.
Présence de bénévoles / Information de l’ensemble du public / Son modéré / Lumière éteinte doucement / Absence de publicité et de bandes annonces.

15 novembre 2017

Rencontre mardi 21 novembre à 18h30 au CRAIF : Adultes autistes, quelle qualité de vie ?

Urgence Adultes autistes 

Bonjour, 

Le Centre de Ressources Autisme Ile de France (CRAIF) avec le groupe Plaidoyer adultes autistes, collectif de parents, vous invite à une rencontre « Adultes autistes, quelle qualité de vie ? ».  Une animation est proposée pour produire collectivement des idées, exprimer les attentes dans leur diversité.

Nous attendons les adultes autistes, les familles d’adultes autistes, leurs aidants,  leurs tuteurs, pour partager, échanger sur les thèmes de l’enquête en cours. (https://www.plaidoyeradultesautistes.fr/).

Rendez-vous le mardi 21 novembre à 18h30
au CRAIF, 6 cour Saint Eloi 75012 PARIS

 
Pour qui ?  Pour les adultes autistes, familles d’adultes autistes, tuteurs …

Quand ?  Le mardi 21 novembre de 18h30 à 21h

Quoi ?  World Café : Animation de groupe pour échanger sur les différentes thématiques de l’enquête sur la qualité de vie des adultes autistes.

Comment ? Vous pouvez vous inscrire en complétant le lien suivant : https://goo.gl/forms/foBo2Q6HzvHCSvn12

Où ?  Centre de Ressources Autisme Ile de France (CRAIF) 6 cour St Eloi  75012 PARIS (Au fond de l’impasse)

Nous remercions vivement les 600 personnes qui ont déjà répondu à l’enquête en ligne.

Dans un second temps, les résultats de l’enquête et de la rencontre seront présentés aux instances organisatrices du 4ème plan et aux élus locaux. Le manque de données statistiques sur la population des adultes autistes ne nous permet pas d’affirmer que les résultats représenteront l’ensemble de la population. Il s'agit de donner la parole à ceux qui ne l'ont pas toujours directement et de donner des tendances sur les réponses attendues par ceux qui vivent l’autisme.

Pour toutes informations, vous pouvez nous écrire à l’adresse : groupe@plaidoyeradultesautistes.fr

Bien cordialement,
 

Pour le collectif, Béatrice Albertat, Marie-Françoise Lipp, Françoise Vedel
Pour le CRAIF, Thomas Bouquet, Pascaline Rétif
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