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"Au bonheur d'Elise"
has
21 février 2021

Dr René Tuffreau => Autisme : Repérage dans l’enfance. Signes d’alerte - Conduites à tenir ... Webinaire ARAPI

Extrait du Webinaire ARAPI du 12 décembre 2020

AUTISME

Repérage dans l’enfance
Les signes d’alerte
Les conduites à tenir
L’évaluation fonctionnelle
L’évolution des classifications

Dr René Tuffreau

 

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20 février 2021

Professeur Catherine Barthélémy => Les enjeux du repérage du TSA chez la personne adulte - Webinaire ARAPI

Extrait du Webinaire ARAPI du 12 décembre 2020

Les enjeux du repérage du TSA chez la personne adulte à la lumière des données scientifiques actuelles et de la SNA

Pr Catherine Barthélémy

 

19 février 2021

ARAPI => Le trouble du spectre de l'autisme chez la personne adulte - Webinaire du 12.12.2020

 

Webinaire du 12 décembre éléments à consulter

Tout d'abord un immense merci aux intervenants pour leur engagement et leur disponibilité et merci à nos adhérents d'avoir répondu présent. Consultez ci-dessous les différents éléments de cette journée. Vidéos de l'événement très bientôt disponibles sur notre page dédiée, rubrique "formations"

https://site.arapi-autisme.fr

 

12 février 2021

Made in France => Flaque thérapeutique ou pataugeoire dans la prise en charge psychomotrice de l’enfant !!!

 

L'Institut Médico-éducatif de Villefranche-de-Lauragais construit son nouvel accueil

Installé dans des préfabriqués modulaires sur le parking de l'ancien Super U à l'entrée de Villefranche aux bords de la D813, l'Institut Médico-éducatif, l'Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique, et le Service d'Education Spéciale et de soins à Domicile (IME - Itep - Sessad) "Portes de Garonne" dépendant de l'Association Résilience Occitanie (RESO) vient de mettre les premiers coups de pelleteuse à la construction de son futur bâtiment sur le site baptisé "les Quatre Moulins".

https://www.ladepeche.fr

 

27 décembre 2020

Le terrible constat de Danièle Langloys, présidente d'Autisme France

Danièle Langloys top 4"Puisqu'il faut "cranter", finalement l'idée me va, il est urgent de "cranter" la timide prise de conscience publique de l'incroyable TRAHISON des services de l'Etat qu'ont subie les familles avec des enfants et adultes autistes, et ce, pendant 40 ans.

Dans quel autre pays, en effet, a-t-on livré des centaines de milliers de personnes à une secte de psychanalystes confite dans ses délires et sa haine des familles, sa haine des mères surtout ? Dans quel autre pays a-t-on financé une secte sur fonds publics pendant 40 ans en sacrifiant les protestataires privés de carrière s'ils osent penser autrement ou dénoncés à l'ASE s'ils osent demander un diagnostic digne de ce nom ? Laissé dire et enseigner que l'autisme était la forclusion du nom du père, le non-accès à la jouissance érotique, le fruit de la toute-puissance maternelle, un "trou", en niant le statut de personnes humaines aux personnes concernées ? Valorisé en permanence, dans une perspective machiste, sexiste et misogyne, propre à beaucoup de religions, hélas, le seul père, incarnation de la Loi qui sépare l'enfant de la mère malfaisante, castratrice et fusionnelle ? Obligé les parents, eux-mêmes contribuables, à financer avec leurs impôts leurs bourreaux et ceux qui maltraitent leurs enfants ?

Les services de l'Etat ont trahi et abandonné les personnes autistes, pour ne pas déplaire à un lobby tout-puissant, que personne n'a eu le courage d'affronter.

A part quelques courageuses ministres, quelques députés, que je remercie, des associations qui se sont épuisées dans ces luttes, personne n'a réagi devant la détresse, la destruction de centaines de milliers de personnes jamais aidées à devenir autonomes, à la seule charge de parents souvent maltraités et au bout du rouleau. Les médias ont pendant longtemps (et certains continuent) soutenu cette clique malfaisante qui récite son éternel et inepte catéchisme (ce qui lui permet de justifier sa flemme et son mépris) au motif qu'il y a deux manières de voir les choses et que tout se vaut dans la description de l'autisme. Eh bien non, le débat est clos depuis 1980 à l'OMS et depuis 2010 à la HAS , malgré sa complaisance toujours vive à mettre des psykks partout dans les groupes de travail.
Est-ce trop demander d'avancer ? De donner une impulsion à la petite roue en marche ? Il y a des professionnels dans le sanitaire comme dans le médico-social (en libéral, la révolution est en route depuis plusieurs années) qui ont envie de faire leur métier autrement que dans la terreur de la secte, nous les remercions de tout cœur, et les supplions de relever la tête pour nous aider.
Les dictatures sont toutes mortelles, dès lors qu'on s'organise pour les faire reculer puis disparaître.

Je fais partie de la génération épuisée ; vous, jeunes parents, ne laissez pas s'éteindre la petite prise de conscience, battez-vous et prenez le relais. La secte a tant à perdre qu'elle se battra jusqu'au bout pour conserver son pouvoir et l'argent qui va avec. Mais elle perdra, si vous ne laissez rien passer."

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10 novembre 2020

Enquête sur le suivi des personnes autistes dans les CMP, CMPP, CAMSP et hôpitaux de jour

19 mai 2020

Enfants d'âge préscolaire autistes : seulement quelques heures de thérapies

 

Enfants d'âge préscolaire autistes : seulement quelques heures de thérapies

spectrumnews.org Traduction de " Preschoolers with autism get few hours of evidence-based therapies" Commentaire : cette étude montre le freins que constitue un système d'assurance-maladie qui exclut une partie de la population et livre les décisions de prise en charge à une multitude d'assureurs privés.

https://blogs.mediapart.fr

 

12 mai 2020

Fin du confinement : 5 propositions pour redonner leur place aux usagers

 

Fin du confinement : 5 propositions pour redonner leur place aux usagers

Autorité publique indépendante à caractère scientifique, la Haute Autorité de santé (HAS) vise à développer la qualité dans le champ sanitaire, social et médico-social, au bénéfice des personnes.

https://www.has-sante.fr

 

6 mai 2020

Le CRAIF propose des webinaires gratuits réservés aux professionnels

 

Le CRAIF propose des webinaires gratuits réservés aux professionnels | Craif - Centre de Ressources Autisme Ile-de-France

Le CRAIF propose des webinaires gratuits réservés aux professionnels. Ces webinaires dureront environ 45 min et s'adresseront uniquement à des professionnels, quel que soit leur secteur. L'inscription est obligatoire. Le webinaire " Qu'est-ce que l'autisme ? " sera animé par Anne-Françoise BOURSEUL le 13 mai à 10h30.

https://www.craif.org

 

29 avril 2020

Epidémie de COVID-19 : protéger et accompagner les publics fragiles

logo HAS

Epidémie de COVID-19 : protéger et accompagner les publics fragiles

Autorité publique indépendante à caractère scientifique, la Haute Autorité de santé (HAS) vise à développer la qualité dans le champ sanitaire, social et médico-social, au bénéfice des personnes.

https://www.has-sante.fr

 

3 mars 2020

Communiqué d'Autisme France sur le cahier des charges des CMPP de Nouvelle Aquitaine

18 février 2020

Quand une ARS produit un cahier des charges des CMPP pour leur demander de faire autre chose que de la psychanalyse ...

7 février 2020

PCO TND : mais pourquoi les CMPP ?

 

PCO TND : mais pourquoi les CMPP ?

La fédération des CMPP soutient un colloque au Sénat le 30 mars 2020. Il s'agit d'un rassemblement des opposants aux recommandations de bonnes pratiques professionnelles de la HAS depuis 2005. Voir par exemple Bernard Golse, Jean-Claude Maleval, Pierre Delion : pour les plus gradés, profs émérites (en retraite), opposants aux RBPP.

https://blogs.mediapart.fr

 

24 décembre 2019

Formations autisme non conformes

23 octobre 2019

Pourquoi les psychanalystes doivent être exclus des tribunaux

article publié dans le Nouvel Observateur

TRIBUNE. « Pourquoi les psychanalystes doivent être exclus des tribunaux »

 

nouvel obs

  Extrait du film « Annie Hall » de Woody Allen ((capture d'écran))

Une tribune signée par soixante psychiatres et psychologues appelle à exclure l’approche freudienne des expertises judiciaires et de l’enseignement à l’université.

Il faut bouter la psychanalyse hors des tribunaux : tel est le nouveau combat de Sophie Robert, jeune réalisatrice en lutte contre l’influence de cette discipline depuis plusieurs années, car il y a, dit-elle, urgence. « Il est insupportable d’entendre des experts judiciaires prétendre que les bébés ont des intentions sexuelles, mettre en cause le désir des victimes d’agressions sexuelles, d’inceste ou que des parents d’enfant autistes se voient retirer la garde de leurs enfants au nom de pseudo-expertises ! »

Elle lance aujourd’hui une tribune en ce sens (voir ci-dessous), déjà signée par soixante psychiatres et psychologues. Parmi eux, on trouve, notamment, des responsables de services hospitaliers ou des membres du Conseil national pour les Universités (CNU). « Les familles, les associations, les avocats que je côtoie au quotidien n’en peuvent plus des dégâts, des drames humains provoqués par cette discipline qui prétend être reconnue comme médicale mais ne repose sur aucun fondement scientifique sérieux », assure-t-elle.

Familles révoltées

Auteure du documentaire choc « le Mur » qui, en 2011, dénonçait la vision psychanalytique de l’autisme et ses effets au sein du milieu hospitalier, la jeune femme a fait avancer en France le regard porté sur ce trouble et sa prise en charge. Grâce à elle, la parole des autistes et de leurs familles, révoltées par des pratiques telles que « l’enveloppement » dans des linges glacés, par des théories mettant systématiquement en cause l’environnement familial, ont pu se faire entendre.

L’Inserm met désormais clairement hors de cause les parents et en particulier les prétendues « mères réfrigérateurs » dans la survenance de l’autisme. La France est l’un des rares pays à ne pas s’être aligné sur les classifications internationales des troubles psychiatriques, avec une persistance de l’approche freudienne. Ses tenants réfutent notamment la pertinence de l’évaluation des psychothérapies.

Sophie Robert vient de signer un nouveau documentaire, « le Phallus et le néant », actuellement accessible en VOD après plusieurs mois de tournée dans des salles de cinéma. Elle s’en prend cette fois à la vision des femmes et de la sexualité défendue par les tenants de l’orthodoxie freudo-lacanienne et aux dégâts qu’elle provoque sur les victimes de violences sexuelles, d’inceste.

C’est à cette occasion qu’elle a été confrontée aux effets délétères de certaines expertises lors de procès. La tribune qu’elle lance aujourd’hui demande donc l’éviction des tenants de la psychanalyse à des fins d’expertise judiciaire.

Les signataires appellent également à ce que cesse son enseignement au titre de discipline médicale à l’université. Et met en cause, à cet égard, la responsabilité des présidents d’université, appelant à une pratique de la psychiatrie et de la psychologie fondée sur « les preuves et les données acquises par la science ».

Voici cette tribune :

« Nous affirmons que la psychiatrie est une discipline médicale, fondée, comme la psychologie, sur des connaissances scientifiques, devant s’exercer dans le respect du patient et la recherche de son mieux-être, conformément au code de santé publique et au code de déontologie des professionnels de la santé mentale. L’exercice de la psychanalyse à titre privé, pour des requêtes d’ordre existentiel ou philosophique, n’est pas critiquable, sous réserve que cela n’ait pas de conséquences pour la santé physique ou psychique de la personne. Face aux troubles mentaux, cependant, d’autres exigences s’imposent. Notre premier devoir est de proposer un accompagnement adapté, fondé sur les preuves et les données acquises de la science.

Nous refusons que soient utilisés les diplômes de médecine et de psychologie pour diffuser à l’université un enseignement en violation avec la médecine et l’état des connaissances en santé mentale, au profit de dogmes idéologiques, fondés sur des postulats obscurantistes et discriminants sans aucune validation scientifique. Aujourd’hui la psychanalyse a pratiquement disparu dans le monde. En France, des étudiants en psychologie et des internes en médecine reçoivent encore fréquemment à l’université un enseignement psychanalytique livré avec le mépris de la médecine, le rejet de la nosographie internationale des maladies mentales, le refus des traitements adaptés recommandés par la Haute Autorité de Santé, la défiance envers les politiques de santé et le rejet de tout contrôle ou évaluation de leur pratique. Dans certaines universités, les étudiants apprennent à contester le principe même de la démarche scientifique au motif que la science serait une croyance. Ils sont ensuite attirés à l’extérieur pour y recevoir une formation obscurantiste où les pathologies sont réduites au complexe d’Œdipe ou à la mère pathogène, l’ensemble étant masqué sous une rhétorique absconse qui déstabilise ses auditeurs. Nous estimons que ces étudiants sont placés en danger d’emprise sectaire et, plus important, que les patients en psychiatrie paient le prix fort d’une prise en charge digne d’un autre âge.

Contrairement aux patients en soins somatiques, les personnes atteintes de troubles mentaux sont souvent à la merci de la formation de leur clinicien. Le refus de nombre de psychanalystes de poser un diagnostic, l’ignorance volontaire des symptômes, la chosification et la maltraitance des patients et leur famille au nom de dogmes psychosexuels freudo-lacaniens obsolètes sont monnaie courante aujourd’hui. Le traitement de ces personnes comme des patients de “seconde zone” n’est plus tolérable en France.

Dans les tribunaux, les psychanalystes peuvent aujourd’hui utiliser leur diplôme de psychologie ou de médecine (quand ils les ont) pour émettre des expertises qui n’ont aucun fondement médical ni scientifique, en violation complète avec le code de la santé publique. Les conséquences sociales peuvent être dramatiques : diagnostics fantaisistes et non reconnus par les nosographies internationales en vigueur, non prise en compte des besoins des personnes handicapées ou des malades psychiatriques, exclusion scolaire et sociale, culpabilisation des victimes de violences sexuelles et des personnes qui les protègent au nom de l’idéologie psychanalytique selon laquelle la vérité se situe toujours à l’envers de la réalité tangible.

Nous affirmons qu’il existe une santé sexuelle. La sexualité est un don de soi entre adultes consentants – quel que soit leur sexe – dont la pratique harmonieuse participe au bon équilibre psychologique d’une personne. Nous refusons que soient instrumentalisées la psychiatrie et la psychologie pour légitimer des dogmes aussi néfastes que prêter des intentions sexuelles aux bébés, prétendre qu’un enfant puisse être consentant à un inceste ou un rapport sexuel avec un adulte, affirmer que tout rapport sexuel serait du registre de la perversion et du rapport de force, prétendre qu’un crime sexuel n’aurait pas de conséquence grave sur sa victime, et déresponsabiliser les auteurs de violences sexuelles. Ceci n’est pas compatible avec notre rôle de médecins, de psychiatres et de psychologues.

Nous dénonçons également des pratiques de non-confraternité généralisées : des psychiatres et des psychologues sont quotidiennement harcelés dans les établissements où ils travaillent (ainsi qu’en libéral) par des croisés du freudo-lacanisme qui utilisent parfois leur titre pour lutter contre toute démarche thérapeutique fondée sur les preuves ; par des personnes qui s’arrogent l’humanisme et n’hésitent pas à recourir à l’anathème, aux attaques personnelles pour faire taire ceux qui ne pensent pas comme eux.

Nous sommes opposés à ce que la psychiatrie et la psychologie soient instrumentalisées pour servir les intérêts d’une corporation engagée dans une démarche antisociale : pathologisant l’amour maternel, enseignant le mépris des règles et des lois, en opposition idéologique avec toute demande extérieure, fût-elle médicale, familiale, scolaire, ou judiciaire. Nous refusons que les psychanalystes se servent de la psychiatrie et de la psychologie pour investir les universités, les comités d’éthique, les institutions de soin et les prétoires au bénéfice de praticiens opposés à la médecine et la science. Ces actes mettent les patients en danger, ils engagent la responsabilité de l’Etat et des tribunaux. Cela doit cesser.

Les présidents des universités portent une lourde responsabilité dans ces problèmes graves de santé publique en continuant d’accorder des postes de maîtres de conférences et de professeurs aux filières qui affichent une orientation exclusivement psychanalytique. La justice, quant à elle, doit changer la procédure de listage de ses experts pour en exclure tout référentiel psychanalytique dans l’intérêt de l’objectivité. »

Les signataires :

Pr Joël SWENDSEN, directeur de recherche, CNRS DECU, Ecole Pratiques des Hautes Etudes membre senior, Institut universitaire de France
Pr Christine ROLAND-LEVY,professeure de psychologie, université de Reims. Vice-Présidente de la Section 16, Psychologie et Ergonomie, du Conseil national des Universités (CNU 16). Présidente de l’Association internationale de Psychologie appliquée
International Association of Applied Psychology (IAAP)
Pr Franck RAMUS, professeur au laboratoire de Sciences cognitives et Psycholinguistique à l’Ecole normale supérieure
Pr Stacey CALLAHAN, psychologue clinicienne, professeur des universités, université de Toulouse-2
Didier PLEUX, psychologue psychothérapeute, docteur en psychologie, directeur Institut Ellis France
Pr Milena KOSTOVA-DIMITROV, professeure de psychologie à l’université Paris-8, membre du laboratoire Paragraphe (neurosciences cognitives, psychopathologie et psychologie du développement)
Dr Gabriel WAHL, psychiatre de l’enfant et de l’adolescent, essayiste
Pr Abdel Halim BOUDOUKHA, psychologue clinicien et professeur des universités
Pr Marie-Carmen CASTILLO, professeure de psychologie clinique, directrice du laboratoire de psychopathologie et neuropsychologie, université Paris-8
Pr Jacques VAN RILLAER, professeur de psychologie émérite à l’université catholique de Louvain, ancien psychanalyste
Pr Esteve FREIXA I BAQUE, professeur des universités, titulaire de la chaire d’Epistémologie et Sciences du Comportement de l’université de Picardie Jules-Verne
Pr Pierluigi GRAZIANI, professeur des universités en Psychologie clinique et Psychopathologie, université de Nîmes et Aix-Marseille université
Pr Christophe LANÇON, professeur de psychiatrie et d’addictologie à l’APHM
Pr Nouchine HADJIKHANI, professeur en psychiatrie expérimentale de l’enfant et de l’adolescent, professeur associé en radiologie, titulaire de la chaire d’excellence Pierre de Fermat en 2013
Pr Wissam EL HAGE, professeur de psychiatrie, praticien hospitalier au CHRU de Tours
Pr Patrick CHAMBRES, professeur de psychologie cognitive, université Clermont-Auvergne
Pr Yehezkel BEN-ARI, neurobiologiste, directeur émérite Inserm et grand prix Inserm
Nicolas STEFANIAK, maître de conférences en psychologie
Dr Djea SARAVANE, praticien hospitalier, médecin spécialiste de la douleur
Aude FIEVET, docteure en psychologie sociale, université Paris-V René-Descartes
Stuart SCHNEIDERMAN, psychothérapeute, ancien psychanalyste
Pierre BORDABERRY, docteur en psychologie, psychothérapeute
Françoise MARIOTTI, docteure en psychologie et psychologue, Montpellier
Dr Gisèle GEORGE, pédopsychiatre, psychothérapeute et enseignante en psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent
Dr Igor THIRIEZ, psychiatre, praticien hospitalier en psychiatrie adulte
Ludivine BONNEFOY, psychologue clinicienne en développement
Nicolas GAUVRIT, chercheur en sciences cognitives, laboratoire Chart, EPHE, Paris
Sarah THIERRÉE, neuropsychologue
Dr Vincent GIRARD, psychiatre, praticien hospitalier, Marseille
Séverine ROSSET, psychologue-psychothérapeute TCC et EMDR, praticien hospitalier
Dr Ludovic PETIT, psychiatre, ancien praticien hospitalier
Thomas VILLEMONTEIX, psychologue-clinicien, maître de conférences en psychologie clinique à l’université Paris-8
Nathalie GIORGI, psychologue TCC
Dr Alain PERROUD, psychiatre spécialiste des troubles alimentaires
Dr Joachim MÜLLNER, psychiatre, praticien des hôpitaux, Paris
Olivier BOURGUEIL, psychologue BCBA
Jérôme LICHTLE, psychologue, psychothérapeute, doctorant Université Paris
Dr Jean-Pierre LEDRU, psychiatre, ancien psychanalyste
Laure BARREAULT, psychologue praticienne hospitalier en psychiatrie adulte
Dr Coraline HINGRAY, psychiatre praticien hospitalier
Simon DEJARDIN, psychologue BCBA, spécialisé autisme
Dr Charly CUNGI, pédopsychiatre
Nolwenn MARQUIS, psychologue
Audrey HENRY, maître de conférence en psychologie, université de Reims
Dr Karina ALT, anthropologue, analyste du comportement
Julia GUEDES DA ROCHA, docteure en psychologie à l’Université Pontificale Catholique de Sao Paulo, Brésil, psychologue en France depuis 2014
Illel KIESER, psychologue spécialisé en psychotraumatisme
Morgane HUET, psychologue, neuropsychologue
Dr Cécile LAFITTE, psychiatre Bayonne
Stéphanie DUCROT, chargée de recherches CNRS en psychologie cognitive, spécialisée dans les apprentissages scolaires et les troubles neuro-développementaux
Boris GUIMPEL, psychologue et sexologue en libéral
Louise DANELUZZI, psychologue BCBA, spécialisée autisme
Serge CHRISTIN, psychologue
Fabrice GUILLAUME, enseignant-chercheur en psychologie à l’université d’Aix-Marseille
Patricia BOURNIER, psychologue
Edith HOUSPIC, psychologue, praticien hospitalier
Marjorie CAMUS CHARRON, psychologue de l’Education nationale, spécialisée en neuropsychologie
Dr Yann HODE, psychiatre, ancien praticien hospitalier
Christine DESCAMPS, ancienne maître de conférences neurosciences Lille
Nathalie DESSEAUX, psychologue, psychothérapeute TCC, responsable pédagogique du DIU de sexologie de Nantes
Dr Daniel RIGAUD, médecin spécialiste des troubles du comportement alimentaire, membre de la Société française de nutrition et de gastro-entérologie

15 août 2019

Autisme : la société de pédopsychiatres SFPEADA décroche le pompon au Figaro !

 

Autisme : la société de pédopsychiatres SFPEADA décroche le pompon au Figaro !

Sous le titre Autisme : oui, la psychiatrie a un rôle central !, le Figaro a publié le 2 juin une tribune de 4 sociétés de pédopsychiatrie : - European Brain Council (EBC) - European Psychiatric Association (EPA)- European College of Neuropsychopharmacology (ECNP) - Société française de psychiatrie de l'enfant et adolescent et disciplines associées (SFPEADA) Le Figaro nous avait habitués à ne pas suivre les propos réactionnaires sur l'autisme de son confrère Libération.

https://blogs.mediapart.fr

 

7 août 2019

Autisme, TED, TSA ... sur les diagnostics et les classifications

 

Autisme, TED, TSA ... sur les diagnostics et les classifications

Une mise au point sur le site "Comprendre 'lautisme" pour mieux comprendre les termes du diagnostic. Précisions sur les recommandations de bonnes pratiques, le contexte français. Renvois vers des articles de débat sur la CIM11 et le DSM5. Fantasmes et réalités.

https://blogs.mediapart.fr

 

23 juillet 2019

Centre expert autisme fermé: la chasse aux fake-news | Autisme Limousin

logo autisme limousin

Centre expert autisme fermé: la chasse aux fake-news | Autisme Limousin

Nous avons récemment annoncé publiquement notre action juridique pour demander l'intégration des enfants de 4 à 6 ans. A la suite de cette annonce, nous avons été la cible de différentes attaques, l'ARS a publié ce matin-même un communiqué de presse nous accusant de propos diffamatoires.

https://www.autisme-limousin.fr

 

23 juillet 2019

Documentation - Hand-AURA (anciennement Réseau de santé AURA 77)

 

Documentation - Hand-AURA (anciennement Réseau de santé AURA 77)

L'accès aux soins somatiques est un droit pour tous (loi du 11 février 2005) Plan Autisme 2008 - 2010 : la mesure 14 renforce l'accès au soin Plan Autisme 2013 - 2017: la fiche action n°16 " améliorer l'accès aux soins somatiques " Stratégie Nationale 2018 - 2022 pour l'Autisme

https://www.hand-aura.org

 

19 juillet 2019

Rapport d'évaluation sur l’évaluation de la prise en charge de l’autisme - de Daniel Fasquelle & Nathalie Sarles

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