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"Au bonheur d'Elise"
9 octobre 2012

article publié dans le monde le 8 octobre 2012

John Gurdon, Nobel de médecine : celui que l'on jugeait inapte aux sciences

Le Monde.fr | 08.10.2012 à 15h43 • Mis à jour le 08.10.2012 à 18h08


Le Britannique John B. Gurdon a reçu le prix Nobel de médecine pour ses travaux sur la réversibilité des cellules souches.

Le Britannique John B. Gurdon, co-lauréat avec le Japonais Shinya Yamanaka du Nobel de médecine pour des découvertes "révolutionnaires" sur les cellules souches, est arrivé à la biologie presque par hasard. Le généticien de 79 ans, né en 1933 dans un petit village du sud de l'Angleterre, est fasciné depuis toujours par les sciences naturelles. A l'école, déjà, il élevait des centaines de chenilles pour faire naître des papillons. Son père envisageait pour lui une carrière dans l'armée ou la finance, mais "grâce au ciel", il a été jugé inapte au service par le médecin de famille. La suite du parcours de ce chercheur d'exception, fait chevalier par la reine, ressemble à une succession d'"accidents" heureux.

Il garde d'ailleurs dans son bureau une copie du rapport écrit sur lui par son professeur de biologie quand il avait 15 ans qui le juge à nouveau inapte, mais cette fois aux sciences. L'enseignant assurait que se lancer dans cette discipline serait pour lui "une totale perte de temps" et qu'il fallait absolument l'en dissuader. Quand étudiant John Gurdon passe un examen d'entrée à Oxford en section lettres classiques, l'université l'accepte à condition qu'il change de matière.

UN PASSIONNÉ D'INSECTES

Un peu plus tard, toujours passionné par les insectes, il demande à faire un doctorat dans le département d'entomologie, mais sa demande est refusée au prétexte qu'il n'a pas le niveau suffisant. "Cela a été une chance pour moi parce qu'un merveilleux professeur m'a alors offert une place en biologie. Et c'est ainsi que les choses ont commencé", a expliqué un jour le chercheur dans une revue scientifique. En 1960, son doctorat en poche, il rejoint le très réputé California Institute of Technology aux Etats-Unis, qui a vu passer dans ses murs de nombreux scientifiques de renom.

A à peine 30 ans, John Gurdon réalise en 1962 une percée en découvrant que le code ADN dans une cellule de grenouille adulte contenait toutes les informations nécessaires pour transformer cette cellule en toutes sortes de cellules. En 1972, il retourne à Cambridge où il enseigne la biologie cellulaire et et où il fera une grande partie de sa carrière. En 1989, il lance le Wellcome/CRC Institute for Cell Biology and Cancer, un centre de recherche à Cambridge.

Ses travaux, ainsi que ceux du Japonais Shinya Yamanaka, sur la réversibilité des cellules souches, qui permet de créer tous types de tissu du corps humain, ont reçu lundi la consécration du Nobel. "Le travail de John a changé la façon dont nous comprenons la manière dont les cellules du corps se spécialisent, ouvrant la voie à des développements importants dans le diagnostic et le traitement de la maladie", a souligné la Royal Society, qui promeut le développement des sciences au Royaume-Uni. Le biologiste s'est dit "surpris et immensément reconnaissant qu'un travail accompli il y a si longtemps soit récompensé".

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4 octobre 2012

article publié dans Santé magazine le 4 octobre 2012

Jean-Claude Ameisen à la tête du Comité d'éthique

Auteur: 
Sylvie Dellus

Jean-Claude Ameisen va présider le Comité consultatif national d’éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE). Sa nomination a été approuvé hier, 3 octobre, par les parlementaires.

Le Dr Ameisen, un immunologiste de 60 ans, est membre du Comité d’éthique depuis 2005. Il anime, par ailleurs, une émission de vulgarisation scientifique sur France Inter. Il succède à la présidence du CCNE au Pr Alain Grimfeld et a, d’ores et déjà, annoncé son intention d’ouvrir le comité aux économistes.

Le CCNE donne des avis sur des questions délicates comme la recherche sur l’embryon, la procréation médicalement assistée ou la fin de vie.

Jean-Claude Ameisen est d’ailleurs membre de la mission Sicard chargée de faire des propositions sur l’euthanasie, le suicide assisté et les soins palliatifs. Son rapport devrait être remis fin décembre.

3 octobre 2012

J'ai assisté au Rencontres Régionales de l'Autisme à Paris le 27 septembre 2012

Un plateau très riche de personnalités scientifiques, politiques, administratives et des représentants des associations et de gestionnaires d'établissements voir le programme ICI

grande_cause_2012

ensemble_pour_autisme

Un titre évocateur "L'autisme, une priorité de santé publique : comprendre et repérer, pour mieux accompagner" et des interventions parfois de haut niveau mais accessibles.

Un contenu riche bien entendu qu'il m'est impossible de traduire ici.

Mais, et c'est relativement nouveau, tous les intervenants s'accordaient pour la mise en oeuvre des recommandations de la HAS (Haute Autorité de Santé) tout en pointant les difficultés : formation, moyens etc.

Très clairement la volonté d'être efficace s'est dégagée tout au long de cette journée :

  • repérage le plus tôt possible en impliquant tous les acteurs (PMI, crèches, médecins etc.)
  • diagnostic dans un délai très court
  • mise en place d'un accompagnement de qualité avec des méthodes "fondées sur une approche éducative, comportementale et développementale qu’il y ait ou non retard mental associé".
    (exit la psychanalyse)

Et cela commence par l'information et sa diffusion tout en faisant les efforts nécessaires de formation.

J'ai trouvé le message particulièrement clair => reste à surmonter les difficultés de mise en oeuvre sur le terrain.

Peu de place pour les question mais j'ai réussi à en placer une suite à l'exposé de Nadia Chabane ayant mis en évidence le manque fréquent de mélatonine chez les personnes autistes (cf article Inserm) :
- Pourquoi les médecins ou psychiatres ne prescrivent-ils pas en première intention la Mélatonine ou le Circadin (mélatonine à effet prolongé et encore recommandé seulement pour les personnes âgées !) ?
- Par manque d'information, c'est relativement récent a répondu Nadia Chabane.

De fait la question m'intéresse car ma fille Elise prend un somnifère chaque soir ...

Semaine particulièrement riche pour nous, car Esther, mon épouse, a assisté samedi 29 septembre au colloque sur la recherche pour les familles et les "aidants", organisé par la Fondation Orange à l'Institut Pasteur, avec un programme tout aussi alléchant voir ICI

Nous pouvons donc être optimistes, le cap est donné, même s'il ne faut pas se voiler la face, les difficultés à surmonter pour la mise en oeuvre sont nombreuses et les résistances des personnels souvent formés à des prises en charge sur un mode différent ne sont pas à exclure. Difficile de remettre sa pratique en question.

De fait "La connaissance s'élabore contre une connaissance antérieure. [Gaston Bachelard]

Jean-Jacques Dupuis

20 septembre 2012

Ouverture d'un Centre de Ressources Handicap et Sexualité (CeRHeS)

Objet et missions

DÉVELOPPER, SOUTENIR ET ACCOMPAGNER LES RÉFLEXIONS ET ACTIONS FAVORISANT LA PRISE EN COMPTE, L’ÉPANOUISSEMENT ET LE RESPECT DE LA VIE INTIME, AFFECTIVE ET SEXUELLE

Unique initiative de ce genre en France, la démarche du CeRHeS s’inscrit clairement dans le champ de la promotion de la santé, et plus spécifiquement celui de la santé sexuelle (éducation à la sexualité, conseil, orientation, etc.), ainsi que dans celui de la réduction des risques et des dommages des Infections Sexuellement Transmissibles (IST), des violences et abus sexuels et des grossesses non désirées.

Accéder au site http://www.cerhes.org/

 


Avec notamment :

 

FORMATION : Animation de groupes d'expression autour de l'intimité et de la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap

 

Destiné aux professionnels de l’accompagnement et du soin auprès d’enfants, d’adolescents ou d’adultes en situation de handicap, ce module propose une formation théorique et pratique aux techniques d’animation de groupes d’expression centré sur l’intimité et la vie affective et sexuelle.

2 sessions de 3 jours espacées d’un mois

  • les 13, 14, 15 février & 20,21, 22 mars 2013 à Lyon/Villeurbanne
  • les 7, 8, 9 octobre & 4, 5, 6 novembre à Paris

 Télécharger le flyer de présentation

En savoir plus : http://www.cerhes.org/archive/2012/08/23/formation-animation-de-groupes-d-expression-autour-de-l-inti.html

 

20 septembre 2012

information publiée sur le site du CRAIF le 17 septembre 2012

"Yes they can", Autisme(s) et apprentissages

17/09/2012
 Journée d'étude organisée par le Centre de Ressources Autisme Ile-de-France, le 16  novembre 2012 à Paris (Espace Reuilly, 75012), destinée aux personnes avec autisme, à leur famille, amis et aux professionnels.

L'observation des enfants avec autisme montre qu’ils sont confrontés quotidiennement à des difficultés dans nombre de leurs apprentissages, quelle que soit la nature de ceux-ci.
Ces difficultés sont-elles dues à une altération des processus cognitifs nécessaires à leur réalisation ou bien sont-elles liées à des particularités de ces processus nécessitant des techniques ou des procédures d’apprentissage spécifiques ?

ACCÈS GRATUIT réservé aux personnes préalablement inscrites.

 Télécharger le pré-programme


Inscription sur le site du CRAIF =>ICI

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15 septembre 2012

article publié dans le blog Autisme Information Science le 15 septembre 2012

Disorder of Neuronal Circuits in Autism Is Reversible, New Study Suggests

Traduction: G.M.

Une nouvelle étude suggère que le désordre des circuits neuronaux dans l'autisme est réversible 

ScienceDaily (14 septembre 2012)  
Les personnes atteintes d'autisme souffrent d'un trouble envahissant du développement du cerveau qui se manifeste dans la petite enfance. Peter Kaspar Scheiffele et Vogt, professeurs au Biozentrum de l'Université de Bâle, ont identifié un dysfonctionnement spécifique dans les circuits neuronaux qui sont causés par l'autisme. Dans la revue Science, les scientifiques ont également rapporté leur réussite dans l'inversion de ces modifications neuronales. Ces résultats constituent une étape importante dans le développement de médicaments pour le traitement de l'autisme.
Selon les estimations actuelles, environ un pour cent de tous les enfants développe un trouble du spectre autistique. Les personnes autistes peuvent présenter des troubles de comportement social, des modes rigides de comportement et le développement d'un langage limité. L'autisme est un trouble héréditaire du développement du cerveau. Un facteur de risque central pour le développement de l'autisme sont les nombreuses mutations dans plus de 300 gènes qui ont été identifiés, y compris le gène neuroligine-3, qui est impliqué dans la formation des synapses, la jonction de contact entre les cellules nerveuses.
Perte de neuroligine-3 interfère avec la transmission du signal neuronal

Les conséquences de la perte neuroligine-3 peuvent être étudiées dans des modèles animaux. Les souris dépourvues du gène de la neuroligine-3 développent des comportements qui reflètent des aspects importants observés dans l'autisme. En collaboration avec Roche les groupes de recherche de l'Biozentrum de l'Université de Bâle ont identifié un défaut dans la transmission du signal synaptique qui interfère avec la fonction et la plasticité des circuits neuronaux. Ces effets négatifs sont associés à une production accrue d'un récepteur de glutamate neuronal spécifique, qui module la transmission de signaux entre les neurones. Un excès de ces récepteurs inhibe l'adaptation de la transmission du signal synaptique au cours du processus d'apprentissage, ce qui perturbe le développement et la fonction du cerveau à long terme.
La conclusion est d'une importance majeure puisque l'altération du développement du circuit neuronal dans le cerveau est réversible. 
Lorsque les scientifiques ont réactivé la production de neuroligine-3 chez les souris, les cellules nerveuses ont réduit la production des récepteurs du glutamate à un niveau normal et les défauts structurels dans le cerveau typique de l'autisme ont disparu. 
Par conséquent, ces récepteurs du glutamate pourraient être une cible pharmacologique approprié afin d'arrêter l'autisme trouble du développement ou même l'inverser.

Vision pour l'avenir: Médicaments pour l'autisme

L'autisme ne peut actuellement pas être guéri. À l'heure actuelle, seuls les symptômes de la maladie peuvent être atténués grâce à la thérapie comportementale et d'autres traitements. 
Une nouvelle approche pour le traitement, cependant, a été découvert à travers les résultats de cette étude. Dans l'un des projets de l'Union européenne en charge, l'UE-AIMS, les groupes de recherche de l'Biozentrum travaillent en collaboration avec Roche et d'autres partenaires de l'industrie sur l'application des antagonistes des récepteurs de glutamate dans le traitement de l'autisme et dans l'espoir que, dans l'avenir, ce trouble peut être traité avec succès chez les enfants et les adultes.
11 septembre 2012

information publiée sur le site de l'ANESM

 

L’Anesm a inscrit à son programme de travail 2012 /2013 une recommandation « Besoins en santé des personnes handicapées ». Cette recommandation a pour objectif de mettre en évidence les conditions qui facilitent la prise en compte des besoins en matière de santé globale des personnes accompagnées et d’encourager le développement de pratiques et d’organisations au sein des établissements et services médico-sociaux susceptibles d’améliorer les réponses apportées.

 

Cliquez ici pour accèder à la page dédiée à la recommandation en cours "Besoins en santé des personnes handicapées" et consulter la lettre de cadrage.

 

Cet appel à contributions s’adresse aux établissements et services médico-sociaux qui accompagnent les personnes en situation de handicap (enfants, adolescents et adultes). Il vise à recueillir leur avis et leur expérience sur les thématiques suivantes :

  • les besoins de santé des publics que vous accompagnez ;
  • les difficultés éventuelles que vous rencontrez dans la prévention, l’accès aux soins et le suivi de leur santé ;
  • les stratégies d’intervention que vous avez développées (pratiques professionnelles existantes ou en projet, difficultés, pistes de réflexion et réalisations des établissements et services en matière d’accès aux soins et d’éducation à la santé) ;
  • le bilan que vous en tirez sur les moyens mobilisés en interne et les partenariats développés ou à développer.

 

La finalité de cet appel à contributions n’est, en aucun cas, de réaliser un état des lieux exhaustif. Il s’agit d’effectuer un recueil des pratiques destiné à venir alimenter, sur la base du volontariat, l’équipe projet et le groupe de travail dans l’élaboration des recommandations.

L’analyse de vos retours viendra ainsi enrichir la production de ces recommandations de bonnes pratiques professionnelles. Quel que soit le stade d’avancée de votre structure, votre contribution nous intéresse. Elle nous permettra de repérer, tant les obstacles et les difficultés que les réponses possibles et les dispositifs innovants permettant pour concrétiser l’accès aux soins des personnes en situation de handicap.

 

Pour accéder au questionnaire merci de bien vouloir renseigner votre adresse mail dans le champ en bas de page. Un lien vers le questionnaire vous sera envoyé. Pour information, ce questionnaire étant enregistré automatiquement, vous avez la possibilité de le renseigner en plusieurs étapes.

 

Nous vous demandons de bien vouloir le renseigner au plus tard le 19 octobre 2012. Merci de votre contribution.

Accès à la publication de l'ANESM : ICI

Contacts  :

 

Pour tout complément d’information, Pour tout complément d’information, vous pouvez joindre :

  • Anne VEBER, responsable de projet : anne.veber@sante.gouv.fr / 01.48.13.91.18
  • Emilie COLE, chef de projet : emilie.cole@sante.gouv.fr / 01.48.13.91.23
  • Mahel BAZIN, chargé d’études : mahel.bazin@sante.gouv.fr / 01.48.13.91.14
  • Nicolas BOUTIN, chargé d’études : nicolas.boutin@sante.gouv.fr / 01.48.13.91.26
16 août 2012

Banque de pictogrammes gratuits

cliquez sur le lien :

http://www.picto.qc.ca/

24 juillet 2012

Pipoye a du talent ... je vous invite à le découvrir

pipoye 2

"Pipoye fait partie de ces artistes de talent, qui investissent leurs capacités perceptives et leur pensée logique spécifiques dans un art, auquel ils apportent une contribution originale et unique." Pascale Pernot
PIPOYEMANIA.

https://www.facebook.com/media/set/?set=a.354410967911811.88654.354308601255381&type=1

Voir aussi un article précédent =>http://dupuiselise.canalblog.com/archives/2012/02/17/23541567.html

8 juillet 2012

fondation orange : invitation le samedi 29 septembre à l'institut Pasteur !

colloque sur la recherche pour les familles et les "aidants"

Depuis 1991, la Fondation Orange s'est engagée pour soutenir la cause de l'autisme. Dès le début, elle a voulu aider la recherche pour une meilleure compréhension de cet handicap, permettant ainsi l'amélioration des conditions de vies des personnes autistes.

Le samedi 29 septembre, à l'institut Pasteur (Paris), la Fondation Orange invite les familles et les "aidants" concernés par l'autisme pour un colloque réunissant des chercheurs de haut niveau afin de leur permettre d'avoir un panorama de la recherche actuelle et future.

 

le programme prévisionnel

8h45 : Accueil

9h20 : Introduction : Fondation Orange - Pasteur - Ensemble pour l’autisme.

9h45 : Thomas Bourgeron, Directeur du Laboratoire de Génétique Humaine et Fonctions Cognitives de l’Institut Pasteur « La génétique de l'autisme » ; Richard Delorme, Docteur, Pédopsychiatre à l'Hôpital Robert Debré : « La clinique des autismes » ; Guillaume Huguet, Doctorant en Neurogénétique « Les approches globales du génome de l'autisme » ; Elodie Ey, Post-doctorante : « Les modèles animaux dans l'autisme »

10h30 : Monica Zilbovicius, Psychiatre et Directeur de recherche INSERM, à l’Hôpital Necker Enfants Malades et Ana Saitovitch, Doctorante en Neurosciences, « Cerveau social et Autisme »

11h00 : Amaria Baghdadli, Professeur, Centre Hospitalier Régional Universitaire de Montpellier « Évolution des troubles autistiques tout au long de la vie » et Myriam Soussana, Doctorante en Psychologie « L’anxiété chez les adolescents avec un TED sans déficience intellectuelle »

11h30 : Bernadette Rogé, Professeur en Psychopathologie Développementale et Quentin Guillon, Doctorant en Psychologie de Université de Toulouse Le Mirail, Laboratoire Octogone « Nouvelles approches du diagnostic précoce du trouble du spectre autistique »

12h00 : Déjeuner

14h00 : Docteur Eric-Nicolas Bory, Odontologiste et Épidémiologiste Clinicien, Responsable du Service d’Odontologie du Centre Hospitalier le Vinatier et Docteur Sandra Miranda, Chirurgien Dentiste et Juriste Manager en Santé, Responsable du Programme Autisme & Santé Orale (PASO) « Comment accompagner une personne avec autisme dans le domaine de la santé bucco-dentaire : l’exemple du Programme Autisme & Santé Orale »

14h30 : Nadia Chabane, Pédopsychiatre à l'hôpital Robert Debré : « Prise en charge précoce »

15h00 : Docteur Jacqueline Nadel, Directeur de recherche CNRS, Centre émotion, Hôpital La Pitié Salpêtrière : « Que peut faire l’imitation pour l’autisme ? »

15h30 : Professeur Frédérique Bonnet Brilhault, CHU Bretonneau, Tours : « Comment les avancées de la recherche éclairent la pratique ? »

16h30 : Conclusion

le lieu

Auditorium de l'Institut Pasteur
28 rue du Docteur Roux, 75015 Paris
Plan d'accès

inscription individuelle en ligne indispensable sur le site de la fondation orange

(cliquez sur le lien ci-dessus)

25 mai 2012

Revoir "Enquête de santé" - émission du 22 mai 2012

Un psy pour quoi faire ?

http://www.pluzz.fr/enquete-de-sante-2012-05-22-20h35.html

Intéressant pour se faire son opinion et décrypter (jjdupuis)

21 mai 2012

communiqué de l'association vaincre l'autisme

   
Bonjour à tous,
 
Les 26 et 27 mai prochains, VAINCRE L’AUTISME lance la 3ème édition du Village de l’Autisme au Jardin du Luxembourg.

En cette Année de l’Autisme, Le Village de l’Autisme 2012 s’annonce comme le rendez-vous convivial de l’année, unique de par son espace de rencontres et d’échanges. Voué à devenir le salon de la philanthropie pour l'autisme, le Village de l’Autisme mêle animations ludiques, interventions et information pour sensibiliser le grand public à la réalité de l’autisme et à son quotidien.
 
Vous trouverez toutes les infos sur : www.vaincrelautisme.org
 
A cette occasion, VAINCRE L’AUTISME organise le 1er Forum de l’Emploi pour l’Autisme les samedi 26 et dimanche 27 mai, de 10h à 13h, consacré à l’insertion professionnelle des personnes autistes. Au programme de ce Forum de l’Emploi pour l’Autisme : débats sur l’insertion professionnelle, ateliers de création de CV, job dating, etc. VAINCRE L’AUTISME invite les personnes intéressées à s’inscrire, en précisant le domaine d’activité qui leur correspondrait, à l’adresse suivante : info@vaincrelautisme.org
 
A très bientôt !
 
VAINCRE L’AUTISME
 
VAINCRE L'AUTISME
51 rue Léon Frot 75011 Paris
Tél: 01 47 00 47 83 - Fax: 01 43 73 64 49
19 mai 2012

Le vrai héros des Intouchables interpelle les français

"Tous intouchables". C'est le titre du nouveau livre que signe Philippe Pozzo di Borgo, l'inspirateur du film, avec deux acteurs associatifs du monde de l'handicap, Jean Vanier et Laurent de Cherisey. Déjà en mars dernier, celui-ci répondait à nos questions sur la place donnée aux handicapés, aux personnes âgées et sur les revendications d'un droit à interrompre ses souffrances.
Le vrai héros des Intouchables interpelle les... par notretemps

15 mai 2012

Rencontres Norm'handicaps 2011/2012 avec l'association Meuphine - Nous y étions

P1050705Un succès considérable !


Nadine Vallet, la présidente de l'association Meuphine m'avait fait parvenir une invitation :


"L'association Meuphine  a le plaisir de vous convier à la remise officielle des fresques Rencontres Norm'handicaps 2011/2012 qui se déroulera le Dimanche 13 mai à partir de 13h30 à la salle Santarelli à Tournan en brie.

Cette 3ème édition, "Le Handicap dans le Monde", est nul doute l'édition la plus universelle.... et aussi celle qui résonne le plus dans tous les coeurs.   Le handicap est partout, il s'immisce, comme ça,  à l'improviste,  dans toutes les vies mais .... il n'est pas géré de la même façon aux quatre coins du monde."

http://dupuiselise.canalblog.com/archives/2012/05/10/24226957.html

Et bien entendu Elise était partante ... je l'ai donc accompagné.P1050702

Et bien je dois le dire que nous avons été emballé.

L'un comme l'autre nous avons passé un après-midi exceptionnel.

Tous les bénévoles de l'association étaient très impliqués dans cette manifestation qui a fait salle comble et s'est déroulée dans un climat festif grâce à toute l'équipe nombreuse du Mécénat de DISNEYLAND PARIS ... Musique, chorégraphie sur un rythme soutenu faisant participer tout le public.

Magique !

Des entreprises étaient là pour encourager les talents .... les toiles seront exposées et voyageront ...

P1050730Elise s'est dans un premier temps assise sagement se trouvant une copine en la personne d'une Maman très sympathique (pour cela elle a du flair) et après que l'y ai poussé elle s'est toute entière immergée dans l'ambiance chantant, dansant etc. ... pour un peu elle en oubliait le buffet de gâteaux délicieux qui clôturait l'après-midi.

Un petit passage à l'atelier maquillage ... et hop retour à la maison d'une Lisou comblée de médailles, badges et bonbons. Merci Disney pour nos enfants !P1050736

J'ai adressé un petit mot à Nadine pour la remercier et finalement je pense que le mieux est que je le publie ... Je pense que ces mots là sont à partager et illustre bien mon ressenti :

"Je voudrais encore te redire comment j'ai été emballé par la fête d'hier ... car c'est à mon sens l'esprit festif qu'il faut retenir avec tout ce que cela permet comme retombées positives !

"On attrape pas les mouches avec du vinaigre" ... c'est basique mais valable Ô combien pour le handicap y compris et surtout auprès des jeunes.

La fête rassemble tout le monde et avec de la pédagogie et de la mise en valeur des réalisations absolument magnifiques qui ont été réalisées ... toutes les équipes récompensées ... Super !

Nul doute qu'on en parlera dans les familles, dans les écoles, les entreprises etc. ... les cercles vont s'élargissant et on ne sait pas vraiment quelles rives ils touchent.

Chapeau à toute l'équipe de Meuphine"

P1050721

15 mai 2012

le 10ème anniversaire de la structure "ADO" de l'IPPA Maisons Alfort

Comme prévus, nous sommes arrivés en retard mais juste avant M. Michel HERBILLON, député maire de Maisons Alfort ... qu'à peine arrivé je vois s'impatienter derrière la porte que je viens de fermer.

Nous sommes là ... quelqu'un lui a finalement permis d'entrer ... la cérémonie peut commencer.

P1050679C'est tout d'abord M. Jean-François CHOSSY invité d'honneur de la manifestation qui prend la parole pour rappeler combien les mots ont leur importance : accompagnement (au lieu et place de prise en charge synonyme de fardeau par exemple).

Mais c'est surtout quand il sont traduit dans les faits que les mots prennent toute leur importance ... et là malheureusement il nous faut bien constater que d'énormes progrès sont encore à faire notamment pour les adultes ... Beaucoup n'ont d'autres solution que de s'exiler en Belgique dans des établissements payés par la sécurité sociale ... Mais même les Belges commencent à protester.

- Rappelons qu'une personne française rapporte plus qu'une belge  ... et certaines structures belges privées se sont naturellement spécialisées sur ce créneau porteur sans aucun contrôle ni de l'Etat français ni de l'Etat Belge ... Un comble ! - (jjdupuis)

Quelques mots du député maire rappelant combien il soutenait les actions de ce type et parlant du projet d'implantation bien avancé pour personnes handicapées vieillissantes sur les bords de Marne à Maisons Alfort.

P1050687

Un mot du représentant de SESAME AUTISME ... les remerciements de Marie-Christine VIEIRA, très entourée ...

Et l'ouverture du buffet !

L'occasion de retrouver les anciens de la structure et de découvrir les "petits nouveaux" accompagnés par un trompettiste de talent.P1050696

Je citerai Sylvie ROUSSEL, qu'Elise a retrouvé avec beaucoup de joie. M. SAMSON, ancien directeur de la structure, qui ne pouvait pas ne pas être là (sic) ... le Dr LELANDAIS, médecin psychiatre de la structure depuis sa création ... mais aussi tous les autres.

Repas champêtre très réussi et une ambiance assurément sympathique ... et des échanges informels mais très intéressants.

Nostalgie et info : l'article du Parisien relatant l'ouverture de la structure

P1050698Merci à Marie-Christine & toute l'équipe. Nous revenons quand vous voulez !

 

15 mai 2012

Tellement évident !

un autiste ça peut être traité

13 mai 2012

Le jugement hâtif

11 mai 2012

article publié sur le site psychologies.com - avril 2012

Comment les autistes nous voient

À l’heure où la psychanalyse est à nouveau remise en cause dans la prise en charge de l’autisme, nous avons voulu nous éloigner de la polémique pour nous rapprocher des personnes touchées. Que ressentent-elles ? Comment perçoivent-elles le monde qui les entoure ? Voyage dans une autre dimension.

Christine Baudry

Ce sont d’étranges bébés. Comme leurs yeux nous fuient, nous nous demandons s’ils nous voient ; parce qu’ils battent des bras frénétiquement, ils sont souvent pris pour des « débiles ». Et le nom du trouble dont ils sont affectés devient une injure ricanante, « espèce d’autiste », qui poigne le cœur de centaines de milliers de parents. En France, cinq mille à huit mille enfants naissent chaque année avec un trouble envahissant du développement, autisme ou apparenté. Ils montreront, quelques mois plus tard, une autre façon d’être au monde, l’autisme se caractérisant par son extrême diversité. Certains enfants parleront ; d’autres, non. Certains souffriront d’un handicap mental ; d’autres, non. Tous ont en eux la capacité de s’ouvrir à notre monde si nous les aidons à se sentir mieux parmi nous.

Ils ne distinguent pas la voix humaine des autres sons

La singularité de la personne atteinte d’autisme commence par une façon différente de voir, d’entendre et de ressentir la réalité. « Pour des raisons génétiques, le cerveau du bébé ne parvient pas à traiter correctement les données sensorielles qui lui sont transmises par les yeux, l’ouïe, le toucher, expose Monica Zilbovicius, psychiatre, directrice de recherche à l’Inserm. Les recherches en neurosciences ont mis en évidence des connexions synaptiques altérées et des flux sanguins diminués dans les régions concernées, les lobes temporaux supérieurs. » Il s’ensuit un trouble des perceptions qui peut amener l’enfant à confondre par exemple un doigt levé et un crayon. Au niveau auditif, la voix humaine ne se distingue pas des autres sons : ainsi le bébé ne réagit pas à son nom et on est tenté de le croire malentendant alors qu’il sursaute au passage d’une voiture dans la rue. Cette confusion sensorielle se rencontre aussi au niveau tactile : « Lilou, 2 ans, fuyait les matières douces comme le velours qui semblait la brûler, raconte sa maman, alors qu’elle aimait caresser l’éponge grattante pour la vaisselle. »

Leurs sensations se superposent comme des briques

Anne-Yvonne Lenfant, pédopsychiatre, responsable de l’hôpital de jour Mosaïques à Lille et auteure avec Catherine Leroy-Depiere d’Autisme,l’accès aux apprentissages (Dunod, 2011), explique que l’enfant atteint d’autisme se trouve relié au monde par une juxtaposition de données sensorielles, superposées comme les briques d’un mur, mais sans mortier pour les tenir. Que survienne une sensation inattendue – une forte envie d’aller aux toilettes qui prend la forme d’une douleur incompréhensible, un claquement de porte, une sonnerie… – et l’empilement fragile des « briques de sensations » se disloque. Yannis, 9 ans, qui suit une scolarité aménagée en CE1, reste incapable de supporter les applaudissements. Ce son le panique, il perd tous ses moyens. D’où des cris inexplicables lorsqu’ils sont bébés. Mais aussi la quête d’une sensation qui apaisera leur maelström intérieur : fixer un jouet qui tourne, se mordre ou se balancer. Certains mouvements stéréotypés sont typiques de l’autisme, particulièrement ces battements rapides des avant-bras que les spécialistes appellent flapping, mais que les parents décrivent comme des ailes de petit oiseau affolé ou de papillon. Des gestes qui les rassurent et les sécurisent.

Ils ne captent pas les émotions sur un visage

« C’est le lien précoce avec les parents qui amène le bébé à sortir de ses sensations innommables pour passer aux perceptions : par une relation entre ses émotions internes et le monde extérieur, il peut mettre en forme des pensées, puis une compréhension du monde, observe Marie-Dominique Amy, psychologue psychanalyste, auteure de Comment aider l’enfant autiste (Dunod, 2009) et précurseur dans la prise en charge des enfants autistes en France. Pour s’identifier soi-même, il faut passer par le regard de l’autre. » Regard qui échappe au bébé malade. Monica Zilbovicius a montré avec la méthode de l’eye tracking, ou « captation du regard », que son cerveau ne reçoit qu’une photographie partielle de ceux qui s’adressent à lui : la bouche et les joues par exemple, mais pas les yeux. Il ne peut donc pas capter les mimiques de joie, de colère, de chagrin, etc., qui fondent la communication non verbale.

Tous ces éléments concourent sans doute à entraver le développement de ce l’on appelle la « théorie de l’esprit ». Cette aptitude, qui apparaît vers l’âge de 3 ans, est la capacité à attribuer des états mentaux à autrui. L’enfant perçoit peu à peu que les personnes qui l’entourent ont des pensées, des croyances et des désirs différents des siens propres. Il va ainsi vers la communication, l’échange, puis la socialisation. Il cesse de jouer seul à l’école maternelle pour partager des activités avec des copains. Désormais en mesure de comprendre des comportements et des désirs différents des siens, il y trouve du plaisir.

Leur pensée est concrète, sans métaphore

Ce n’est pas le cas pour l’enfant souffrant d’autisme. Même lorsqu’il utilise correctement le langage, même lorsqu’il n’a pas de déficit intellectuel, les autres restent pour lui déroutants, effrayants parfois, incompréhensibles trop souvent. À 14 ans, Eléa, autiste dite de haut niveau (elle n’a pas de retard mental) est capable de suivre une scolarité normale au collège. Mais elle se trouve dans les plus grandes difficultés face aux moque ries de ses camarades. « Dès que nous nous exprimons, nous utilisons des métaphores, des images mentales, nous nous appuyons sur des intonations, développe Frédéric Delahaye, orthophoniste spécialisé dans l’autisme et enseignant à l’université de Lille. Tout cela échappe à l’enfant atteint d’autisme. Pour lui, un mot n’est qu’un mot. Car la pensée autistique est une pensée concrète. » Eléa voit ainsi que l’on rit de ce qu’elle peut dire, mais elle est incapable de comprendre pourquoi. « Les métaphores dépassent ces enfants-là, elles ne sont pas compréhensibles par eux “spontanément”, ajoute le spécialiste. Quand l’un entend que sa mère “dévore les livres”, il la voit littéralement en train de manger les pages. Il lui est difficile d’accéder à l’implicite, aux sous- entendus et, surtout, ce qui complique les apprentissages scolaires, à l’abstraction. Mais cela peut se travailler en orthophonie. »

Ils doivent apprendre par coeur la vie en société

Les tonalités et les émotions qui habillent nos phrases restant des énigmes pour lui, l’enfant est en difficulté pour se faire comprendre au niveau émotionnel. Il peut parler d’une voix monocorde, dire « merci bien ! » sur un ton de colère qu’il ne ressent pas, ou faire des remarques impropres. Ainsi Eléa a-t-elle lancé à sa professeure de maths qu’elle avait « un gros nez ». Sans intention blessante, son incapacité à percevoir les émotions des autres lui vaut bien des inimitiés.

Pour les personnes autistes, la vie sociale est une jungle, souligne le docteur en sciences sociales belge Peter Vermeulen, auteur de Comprendre les personnes autistes de haut niveau (Dunod, 2009). Celles dites « de haut niveau » – notamment qui effectuent des études universitaires, travaillent et vivent avec ceux qu’ils appellent « les neurotypiques » (les personnes non autistes) – racontent que leur handicap les fait vivre en état d’insécurité permanente. « J’ai dû apprendre par cœur comment il fallait se comporter dans chaque circonstance donnée », raconte l’Américaine Temple Grandin, professeure d’université, qui livre son témoignage dans Ma vie d’autiste (Odile Jacob, 2010).

Ils dépensent une énergie folle pour vivre parmi nous

On peut aussi évoquer cette jeune ingénieure parisienne, incapable de regarder ses interlocuteurs dans les yeux : « Mais personne ne s’en aperçoit, car je me suis entraînée à fixer entre les sourcils quand je parle aux gens. »

Toujours sur le qui-vive, les personnes autistes dépensent ainsi, dès leur plus jeune âge, une énergie folle à vivre parmi nous, à s’adapter aux bruits et aux images et, enfin, à comprendre les choses étranges que nous disons. « Parce qu’ils montrent un déficit d’empathie, il ne faut pas en conclure qu’ils sont incapables de ressentir des émotions », avertit Marie-Dominique Amy. Et elle conclut dans un sourire : « Comme tous les enfants, ils sont remplis de pensées et d’émotions. Mais c’est à nous d’aller à leur rencontre, de donner à chacun les clés dont il a besoin. De ne pas nous montrer nous-mêmes autistes à leur égard. »

Avril 2012

http://www.psychologies.com/Moi/Problemes-psy/Troubles-Maladies-psy/Articles-et-Dossiers/L-autisme-cause-nationale-et-polemique/Comment-les-autistes-nous-voient

25 avril 2012

La nuit de l'accessibilité le 8 juin 2012 à la Gaîté lyrique

la Nuit de l’accessibilité, deuxième édition !

Après le succès de l’édition 2011, Jaccede.com et la Mairie de Paris vous donnent rendez-vous pour la deuxième Nuit de l’accessibilité le vendredi 8 juin à la Gaîté lyrique.

Un événement solidaire et festif :

- Recensez des nouveaux lieux de sortie accessibles aux personnes à mobilité réduite
- Sensibilisez les acteurs de la vie nocturne parisienne aux bienfaits de l’accessibilité pour tous
- Partagez des moments forts, dans une ambiance conviviale et festive.

Parlez-en autour de vous : plus nous serons nombreux, plus la nuit deviendra accessible à tous.

Un concert gratuit est organisé après l’action afin de prolonger la fête !

inscrivez-vous dès maintenant.

Visionnez le film de la Nuit de l'accessibilité 2011 : http://www.jaccede.com/sites/nuit-de-laccessibilite-2012/nda2012.html

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22 avril 2012

le nouveau site de Laurent Savard "Le bal des Pompiers"

LeBalDesPompiersDejazet

 

Après avoir été déjà vu par plus de 10000 spectateurs en France, Suisse, etc., Le Bal des Pompiers est donc programmé du 2 au 19 mai 2012 à Paris au Déjazet – du mardi au samedi à 20h30 – lieu mythique où furent tournés « Les enfants du Paradis » et où jouèrent Coluche, Gad Elmaleh et tant d’autres.

Le Bal des Pompiers, un spectacle tout public sur un sujet sensible. Certains verront dans ce spectacle un humour résolument neuf voire une performance d’acteur, d’autres une nouvelle façon d’aborder le rire vis à vis du handicap, et plus largement face à toute différence.

Dans tous les cas, Le Bal des Pompiers « met le feu aux préjugés! » (Le Parisien)

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