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"Au bonheur d'Elise"

24 octobre 2018

L'Observatoire national des aides humaines | Handéo

 

L'Observatoire national des aides humaines | Handéo

Cette méthode favorise la structuration et le développement de recommandations adaptées à partir d'une réflexion collective associant une pluralité de points de vue sur les actions à développer et à valoriser au regard des contraintes et des enjeux, parfois en tension, entre aides humaines, domicile et handicap.

http://www.handeo.fr

 

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24 octobre 2018

Les droits des personnes handicapées au menu de CIH prévu le 25 octobre 2018

 

Résumé : Sophie Cluzel promet de "changer la donne" pour les familles touchées par le handicap. Des annonces sont prévues le 25 octobre 2018 lors du Comité interministériel du handicap, portant notamment sur la simplification des droits.

Par , le 23-10-2018

Le gouvernement tiendra le 25 octobre 2018 à Matignon le deuxième Comité interministériel du handicap (CIH) du quinquennat, devant aboutir à des annonces sur la "simplification" des droits pour les personnes handicapées. Initialement prévu le 9 octobre, ce rendez-vous annuel qui réunit tous les ministres pour aborder la politique en matière de handicap avait été annulé en raison du remaniement ministériel. Selon la secrétaire d'État en charge des Personnes handicapées, Sophie Cluzel, "l'angle prioritaire" de cette réunion présidée par le Premier ministre Édouard Philippe sera "la simplification et l'amélioration de la vie des personnes" handicapées.

Changer la donne

En lançant le 22 octobre 2018 une concertation relative à "l'école inclusive" (article en lien ci-dessous), Mme Cluzel a précisé à quelques médias, dont l'AFP, que des actions pour "améliorer" les démarches en matière d'attribution d'un accompagnant scolaire (AESH) et pour "désengorger" les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH), par lesquelles passent toutes les demandes d'aide ou de prestation, devraient par exemple être annoncées. Déjà début octobre, dans un discours prononcé devant la Fondation paralysie cérébrale, Mme Cluzel avait déclaré qu'il y aurait "au CIH, des mesures importantes pour changer la donne pour les familles". Disant avoir "entendu les témoignages sur la complexité administrative, sur la nécessité en permanence de devoir prouver son handicap pour avoir droit à une compensation", elle avait précisé que le gouvernement se dirigeait également vers "l'attribution de droits à vie pour des handicaps avérés".

Inspiré du rapport « Plus simple la vie »

Les mesures devraient être très largement inspirées d'un rapport du député LREM Adrien Taquet et du membre du Conseil économique, social et environnemental (Cese) Jean-François Serres, remis à Édouard Philippe en mai (article en lien ci-dessous). Ce rapport fleuve de 113 propositions, intitulé "Plus simple la vie", prônait notamment une "simplification du système d'aides" pour éviter aux personnes handicapées "des démarches répétitives et complexes et mieux accompagner pour éviter les ruptures de parcours et de droits". Il préconise notamment de conférer l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH) et l'allocation adulte handicapé (AAH) "sans limitation de durée" aux personnes dont le handicap n'évoluera pas positivement. Pour les bénéficiaires de l'AAH "à vie", la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé (RQTH) et la Carte mobilité seraient également attribuées "automatiquement et sans limite de durée". Le Premier ministre avait à l'époque estimé que certaines mesures pourraient être "mises en oeuvre rapidement".

Fin août, le gouvernement a nommé une nouvelle secrétaire générale du comité interministériel du handicap, Céline Poulet, dont le rôle est de "coordonner l'ensemble des actions menées en faveur des personnes handicapées" (article en lien ci-dessous).


 

Handicap.fr vous suggère les liens suivants :

Sur Handicap.fr

23 octobre 2018

Ce qui différencie le GCSMS AF des autres associations gestionnaires.

Pour information : Le transfert de gestion de la MAS ENVOL MARNE LA VALLEE (l'établissement d'Elise) est effectif depuis le 1er juillet 2018.

La structure a fait l'objet d'un transfert d'autorisation au profit du GCSMS AUTISME FRANCE tout comme le SESSAD de Noisy-le-Grand.

L'association ENVOL MARNE LA VALLEE qui avait créée les deux structures passe donc la main mais conservera un lien étroit défini par convention.

Voir  recueil des actes administratifs spécial N°IDF -005-2018-06 publié le 5 juin 2018 : page 4 pour la MAS & page 8 pour le SESSAD

Jean-Jacques Dupuis
 

Groupement de Coopération Social
et Médico-Social d’Autisme France

BP 20 à 86580

Vouneuil sous Biard

SIRET : 512 674 235 00019

agréé par la préfecture de la Vienne
le 11 janvier 2008

 Groupement constitué par Autisme France et des associations partenaires gestionnaires d’établissements, le GCSMS AF applique les orientations d’Autisme France et inscrit son engagement et ses actions dans le respect de sa charte. 

Les caractéristiques qui différentient le GCSMS AF des autres associations gestionnaires en résultent, notamment :

  • l’ambition de n’exclure personne, et de démontrer qu’il est possible de construire un projet de vie pour toute personne autiste, enfant, adolescent ou adulte, en s’appuyant sur des méthodes adaptées conformes aux recommandations de bonnes pratiques de l’ANESM et de la HAS ; la mutualisation des moyens doit permettre au groupement de développer des solutions d’accueil innovantes pour pouvoir progressivement faire face aux situations individuelles les plus complexes ;
  • la volonté de mettre en œuvre des projets de vie complets, valorisant, favorisant le développement, l’inclusion sociale et le bien-être de la personne accueillie ; le GCSMS AF doit favoriser la recherche permanente de pratiques et activités innovantes dans chaque établissement, mais aussi le partage d’expériences (réussies ou non) et la constitution d’une documentation de fiches opérationnelles permettant de capitaliser le savoir-faire des équipes et d’en assurer la diffusion au sein des établissements ;
  • la résolution de recourir à des personnels spécifiquement formés à l’autisme, quelle que soit leur fonction, et de développer et faciliter le maintien de leurs compétences par une politique active de formation, d’échanges entre professionnels et de développement de parcours professionnels valorisant au sein des établissements gérés par le GCSMS AF ;
  • le choix de considérer la famille comme partie prenante au projet de vie de la personne accueillie et de l’associer en conséquence à sa mise en œuvre, parce que la personne autiste, qui manque souvent de repères, a plus que d’autres un besoin crucial de cohérence dans son cadre de vie ; il est fondamental d’instituer un lien fort entre la famille et la communauté professionnelle, qui doivent agir en partenaires au profit de la personne accueillie ; il est nécessaire de permettre aux familles « d’entrer » dans le quotidien du cadre de vie, de l’environnement et des activités de la personne accueillie, tout en respectant strictement le cadre de travail et les conditions d’intervention des professionnels ; il est nécessaire aussi de permettre aux professionnels de bénéficier du soutien des familles, qui s’engagent à leur apporter les contributions utiles, dans le respect de leur capacité à le faire.

Ces exigences sont formalisées dans le règlement de fonctionnement des établissements gérés par le GCSMS AF.

22 octobre 2018

A Toulouse, un cabinet dentaire adapté redonne le sourire

article publié sur Handicap.fr

Résumé : Les cabinets dentaires sont rarement accessibles. Pour mettre fin à cette galère, l'université et le CHU de Toulouse ont aménagé un espace adapté à la fois pour les patients et le praticien en situation de handicap. Une première en Europe ?

Par , le 20-10-2018

« C'est une première en Europe ! », affirme le CHU de Toulouse. Un cabinet dentaire entièrement adapté aux personnes handicapées. A l'origine de cette initiative, un constat : en odontologie, les postes de soin ne sont pas accessibles aux étudiants handicapés, a fortiori lorsqu'ils sont en fauteuil roulant. Pour conjurer le sort, l'université Toulouse III – Paul Sabatier et le Centre hospitalier de la ville ont décidé d'adapter leurs locaux. Le premier à en profiter ? Charles-Adrien Godet, un étudiant paraplégique.

Toujours croire en ses rêves

2013. Cette date, il ne l'oubliera jamais. Un accident le prive de l'usage de ses membres. Le verdict tombe : tétraplégie, avec récupération des bras. Mais le jeune homme ne se laisse pas abattre. « Je gardais en tête mon désir de devenir chirurgien-dentiste un jour », se souvient-il. A force de persévérance, il obtient, quelques années plus tard, le concours PACES (première année commune aux études de santé). « J'ai commencé mon cursus en m'adaptant lorsque mon handicap était source de gêne », ajoute-t-il. Il bénéficie pour cela d'aménagements mis en place par la mission handicap.

Des établissements mobilisés

Un cabinet sur-mesure, ça coûte cher ! Alors, pour une accessibilité optimale, plusieurs établissements ont posé leur pierre à l'édifice. L'aménagement des locaux a été financé par le pôle Clinique des voies respiratoires du CHU de Toulouse. La faculté de chirurgie dentaire et la convention Atouts pour tous ont, quant à eux, financé un fauteuil de travail adapté avec commandes manuelles. Grâce à cette mobilisation, Charles peut achever ses études. Il est actuellement en 4ème année et externe au sein du service d'odontologie du CHU de Toulouse. « Pour me permettre d'exercer dans les meilleures conditions et recevoir, comme il se doit, les patients, y compris en fauteuil roulant, un box et un fauteuil dentaire adapté ont été mis en place sous la supervision de mon chef de service », explique Charles-Adrien Godet.

Des freins encore nombreux

Une fois la formation du jeune homme achevée, l'espace sera consacré à la prise en charge de patients à mobilité réduite avec, pour ceux en brancard et en fauteuil, une salle d'attente dédiée. Le fauteuil sera également utilisé par d'autres spécialistes dans le cadre de leur activité. Une initiative qui redonne un peu d'espoir aux 500 000 personnes handicapées qui n'ont pas accès aux soins bucco-dentaires (article en lien ci-dessous). Des cabinets non adaptés, des prestations hors de prix, des soignants peu mobilisés… Les freins sont, en effet, encore nombreux.

© DR

 

Handicap.fr vous suggère les liens suivants :

Sur Handicap.fr

22 octobre 2018

Le transport de son fils handicapé n'est plus remboursé : "J'ai cru à une blague"

15h43, le 18 octobre 2018, modifié à 15h43, le 18 octobre 2018

La réforme du remboursement des transports médicaux, en vigueur depuis début octobre, passe mal auprès des familles de patients hospitalisés, en rééducation ou handicapés.

TÉMOIGNAGE EUROPE 1

Depuis le 1er octobre, les établissements de santé doivent prendre en charge un certain nombre de transports médicaux, dont le coût a explosé ces dernières années. De cette réforme, la Sécurité sociale espère tirer 320 millions d'euros d'économies l'an prochain. Mais cette austérité forcée passe mal auprès des familles. Faute de moyens du côté des établissements, les transports ne sont en effet plus nécessairement remboursés pour les patients hospitalisés pour de très longues durées ou pour les malades en rééducation, par exemple. Ainsi, Nassira doit désormais payer pour que son fils Joakim, âgé de 19 ans et lourdement handicapé, puisse rentrer à la maison le week-end. Sur Europe 1, elle avoue avoir d'abord "cru à une blague".

"Financièrement, je ne peux pas me le permettre". "Ça a été un choc. J'avais préparé sa chambre en me disant qu'il allait rentrer le lendemain… Et là on me dit qu'il faut payer 150 euros l'aller-retour pour emmener mon enfant. Financièrement, en travaillant à mi-temps, je ne peux pas me le permettre. Du coup, j'ai tout laissé tomber…", témoigne cette mère de famille résidant à Draguignan, dans le Var.

Pourquoi ces frais ne sont pas nécessairement remboursés. Auparavant, pour que ce transport soit pris en charge, les médecins facturaient une "sortie thérapeutique" à l'Assurance Maladie. Désormais, ces frais étant à la charge de leur propre établissement, certains sont beaucoup plus regardants et ne le font plus, considérant ces sorties de fin de semaine comme des "convenances personnelles".

Entendu sur Europe 1
"Les trois jours pendant lesquels je prenais Joakim étaient très très importants
pour son bien-être"

"Pour moi, c'est très très dur". Résultat pour Nassira : cela fait deux semaines que son fils n'est pas rentré à la maison. "Pour moi, c'est très très dur", confie-t-elle. À la croire, la situation pèse aussi sur le moral du jeune homme, à la fois handicapé mental et moteur.

"J'ai l'impression qu'on me l'a changé". "Les trois jours pendant lesquels je prenais Joakim étaient très très importants pour son bien-être. S'il ne voit plus sa maman, son frère ou sa sœur, il se laisse aller. Quand il vient à la maison, on le voit, il a une joie pas possible. Dès qu'il rentre dans le couloir, c'est les sourires, les éclats de rire, c'est un truc de fou. Et à l'heure actuelle, quand je dois aller le voir au centre, il n'a plus ce sourire. J'ai l'impression qu'on me l'a changé", regrette-t-elle.

Une pétition en ligne. Face à cette situation, les familles concernées ont déjà lancé une pétition en ligne, signée par un peu plus de 3.300 personnes jeudi après-midi.

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22 octobre 2018

Au début, les amis éclatent en sanglots dans vos bras : le témoignage bouleversant de Sophie Cluzel sur sa fille trisomique

 

" Au début, les amis éclatent en sanglots dans vos bras " : le témoignage bouleversant de Sophie Cluzel sur sa fille trisomique - Elle

La ministre se contemple une dernière fois devant la glace, enlève sa veste, sourit devant la photographe. Sa fille la regarde se donner du mal d'un air amusé, légèrement narquois. Elle la prend par la taille : " Allez, maman, ça va, tu es très belle comme ça !

http://www.elle.fr

 

22 octobre 2018

Il est encore possible de s'inscrire au Congrès d'Autisme France -> 17 novembre 2018 à NICE

Pour celles et ceux qui ne seraient pas encore inscrits,

des places sont encore disponibles !

 

Journée Nationale Autisme France 2018

 

 

Cette année le congrès se déroulera sur Nice le 17 novembre prochain.

 

En France, la loi met au cœur du système de santé comme de l’accompagnement médico-social l’usager, depuis les deux lois de 2002. Malheureusement la place de l’usager reste encore marginale, même si la situation s’améliore, et que les compétences des patients (dans le sanitaire) et des personnes en situation de handicap (et de leurs familles) commencent à être prises en compte.

 

Le partenariat étroit entre les personnes autistes, leurs familles et les professionnels qui peuvent les aider est pourtant une évidence : sans le partage de savoirs et de compétences, il est impossible d’aider vraiment et de manière durable une personne autiste. Aussi avons-nous construit notre congrès sur la réflexion autour de cette alliance.

On peut la décliner autour de multiples thématiques : mieux comprendre les différentes pistes de la recherche scientifique, pour savoir comment l’usager peut y prendre sa place, s’informer sur les nouveaux modèles d’interventions, et nous insistons à ce congrès sur la manière d’aider les adultes, à la suite de la sortie des recommandations de bonnes pratiques qui leur sont dédiées.

 

Nous sommes attentifs aussi aux nouveaux modèles de services plus inclusifs qu’il est possible de mettre en œuvre, de manière pionnière : les pôles de compétences externalisées que notre groupement de coopération s’attache à mettre en œuvre, les services à domicile qui peuvent constituer le fer de lance d’une coordination tant souhaitée entre des acteurs différents, le modèle des entreprises adaptées au service des personnes avec TSA.

Aucune de ces mobilisations ne trouvera de place reconnue et pérenne si les financeurs ne se lancent pas dans une courageuse reconnaissance de la qualité attendue en autisme : nous défendons le projet de certification construit avec l’aide et l’expertise d’Handéo, pour se doter des outils nécessaires.

 

Merci à ceux qui assureront le fil rouge de cette journée en nous ramenant à leurs expériences vécues : le Dr Saravane, membre de notre comité scientifique, qui va assurer la modération de la journée, Laurent Savard qui décrit si bien avec un humour décapant, l’amour que nous portons à nos enfants les plus vulnérables, et Josef Schovanec, qui milite, comme nous tous, avec un humour corrosif aussi, pour que les personnes autistes ne soient plus les exclus des exclus.

 

Programme détaillé

Renseignements complémentaires

 

Pour s'inscrire :

Paiement en ligne sécurisé par Carte Bancaire

Bulletin d'inscription à télécharger pour un paiement par chèque ou virement, à nous retourner accompagné de son règlement à Autisme France - 1175 avenue de la République - 06550 LA ROQUETTE-SUR-SIAGNE.

 

  

Renseignements : Tél. 04 93 46 01 77 -  email :  autisme.france@wanadoo.fr


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Site internet / Website : Autisme France
22 octobre 2018

Handicap : la démarche "Une réponse accompagnée pour tous" questionne les pratiques - Gazette Santé Social

 

Handicap : la démarche "Une réponse accompagnée pour tous" questionne les pratiques - Gazette Santé Social

48635 © Denys_Kuvaiev-AdobeStock Effective depuis le 1er janvier 2018, la démarche " Une réponse accompagnée pour tous " se déploie progressivement sur l'ensemble du territoire national. Elle doit notamment permettre la conception de plans d'accompagnement globaux pour les bénéficiaires d'une orientation de la MDPH confrontés à une réponse indisponible ou insatisfaisante, et par conséquent, la mise en œuvre effective du " zéro sans solution " préconisé dès 2014 par le rapport Piveteau.

http://www.gazette-sante-social.fr

 

21 octobre 2018

L'équitation adaptée c'est reparti pour Elise avec Trott'Autrement naturellement ...

FP1090506racture de la clavicule oblige (début mars 2018 à la montagne) et une rémission lente compte tenu du profil de la miss plutôt hyperactive au quotidien etc.

Toujours est-il qu'en ce 21 octobre 2018, Lisou signe son retour au Centre équestre municipal de Neuilly-sur-Marne ... les travaux sont toujours en cours ... voir l'article du Parisien ... Mais le petit manège est une véritable merveille maintenant ... et les séances de Trott'Autrement sont super sympa ... à un point tel que l'on a cru à un moment qu'Elise allait se décider à remonter (c'est une cavalière émérite ...).

Mais non ! Arrivée en haut des marches et malgré toutes nos sollicitations (coca, Macdo ...) elle a mûrement réfléchi et est redescendue pour faire une ballade en compagnie de NAXOS une monture expérimentée qui clairement ne s'est pas laissée impressionnée par cette cavalière atypique.

Super ambiance ... avec Claire BROUDO, intervenante en devenir de l'association pour l'instant en "stage terrain" ... voir la page Fb pour la découvrir

Séance naturellement sous la direction de virginie GOVOROFF-REGNAULT omniprésente et en rose aujourd'hui

P1090493 (2)

 

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Jean-Jacques Dupuis

21 octobre 2018

Le gouvernement lance la concertation sur l'école inclusive

article publié sur Handicap.fr

Résumé : Le gouvernement lance la concertation sur l'école inclusive le 22 octobre 2018. Trois objectifs majeurs sur lesquels devra plancher le CNCPH : la qualité de scolarisation, le métier d'accompagnant et les pôles inclusifs d'accompagnement localisés.

Par , le 19-10-2018

Promise en juillet 2018, la grande concertation « Ensemble pour une école inclusive » est lancée par Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation nationale, et Sophie Cluzel, secrétaire d'État au handicap. Elle est annoncée le lendemain de l'ouverture du grand séminaire international qui a réuni, les 18 et 19 octobre 2018, quatorze pays à la Cité des sciences de Paris autour de modèles de systèmes scolaires inclusifs et lors duquel les deux ministres ont pris la parole (article en lien ci-dessous).

Trois objectifs

L'enjeu de cette concertation est d'envisager les moyens afin d'opérer un « saut qualitatif majeur » en matière de scolarisation des enfants en situation de handicap. Elle sera réunie au ministère de la Santé le 22 octobre au matin et s'articulera autour de trois axes majeurs : l'amélioration de la qualité de la scolarisation des élèves en situation de handicap, l'évolution des conditions d'exercice du métier d'accompagnant, les perspectives offertes par les expérimentations des pôles inclusifs d'accompagnement localisés.

Devant le CNCPH

A cette occasion, 116 membres titulaires et suppléants du CNCPH (Conseil national consultatif des personnes handicapées) seront présents : représentants des associations des personnes handicapées, parents d'enfants handicapés, organisations syndicales, collectivités territoriales (Assemblée des départements de France, Association des maires de France, Association des régions de France) et des parlementaires.

Ce premier rendez-vous prévoit de présenter les grandes lignes de cette concertation et ses thématiques, de définir les groupes de travail et de fixer le calendrier général.

Handicap.fr vous suggère les liens suivants :

Sur Handicap.fr

21 octobre 2018

À Abbeville, comprendre son copain autiste à l'école

article publié sur France 3 Hauts-de-France

"Comment comprendre mon copain autiste" est un guide pour lutter contre les stéréotypes. / © France 3 Picardie"Comment comprendre mon copain autiste" est un guide pour lutter contre les stéréotypes. / © France 3 Picardie

Par RI avec Thierry BontéPublié le 19/10/2018 à 15:48Mis à jour le 19/10/2018 à 17:53

"Comment comprendre son copain autiste ?" Voilà à la fois une question que certains enfants peuvent se poser, et le titre du dernier livre de l'auteur dessinateur Peter Patfwal. À Abbeville, l'école primaire Sainte-Marie propose d'intégrer les enfants autistes dans ses classes. 
 

Briser les stéréotypes


Peter Patfawl est venu à la rencontre d'une classe de CM2 qui compte deux élèves autistes. Pour lui, ces classes inclusives sont un exemple à suivre et à généraliser. "Vous avez déjà appris à vivre avec la différence, et ça c'est formidable, on voudrait que toutes les classes soient comme ça", explique-t-il aux élèves en présentant son guide illustré, qui a pour objectif de lutter contre les stéréotypes. 
 

S'épanouir à l'école


Lou, 10 ans, a trouvé un nouveau souffle dans cette classe. Dans son ancien établissement, elle ne se sentait pas à sa place. "J'ai beaucoup souffert, j'en pouvais plus, parfois j'avais envie d'arrêter l'école.", raconte-t-elle. "Depuis que je suis à Sainte-Marie, ça va beaucoup mieux, je me suis fait beaucoup plus d'amis."

Et pour Paul, 12 ans, cette classe a été salvatrice. Sa maman en est convaincu : "Je ne sais pas quel sera l'avenir pour Paul, mais il était préconisé de le placer en hôpital de jour à 4 ans. Aujourd'hui, il est toujours à l'école parmi les autres, il est très heureux, et c'est sa place."
 

Retrouvez plus d'informations sur l'autisme sur le blog Les Baobabs, coanimé par Peter Patfawl et Jennifer Alberts.

20 octobre 2018

Repenser le financement du handicap pour accompagner la société inclusive - Sénat

 

Repenser le financement du handicap pour accompagner la société inclusive - Sénat

Repenser le financement du handicap pour accompagner la société inclusive

http://www.senat.fr

 

19 octobre 2018

Superbe spectacle Fa Si-la Différence ce soir à Fontenay-sous-Bois -> Driftwood cirque contemporain Australien

article publié sur le site d'Envol Loisirs suivi d'une petite vidéo du spectacle

Salle comble et public enthousiaste pour un spectacle époustouflant ! (jjdupuis)

 

Vous connaissez et appréciez les séances de cinéma adaptées Cine-ma différence. Envol Loisirs poursuit son partenariat avec l'association Ciné-ma différence et Fontenay-en-Scènes et met en place une adaptation du spectacle vivant et musical avec Fa Si-La Différence.

Notre 1er spectacle sera Driftwood, un spectacle de cirque contemporain multi-primé qui nous vient d'Australie.

Vendredi 19 Octobre - Driftwood - 20h30

logo envol loisirs

Tel le bois flotté, nous dérivons le long du courant de la vie.

Après Knee Deep accueilli il y a deux ans, les cinq artistes australiens s’emparent joyeusement dans cette nouvelle création des histoires et rencontres qui façonnent la vie des gens. Driftwood est un spectacle qui a l’intimité d’un cabaret de curiosité. Un lieu unique, la fumée d’un cigare, une petite lumière diffuse et des corps qui racontent avec poésie la rencontre acrobatique à fleur de peau entre des hommes et des femmes. Il faut jouer, partager, risquer ensemble. Et comme toujours, la forme unique des acrobaties signe un voyage pétillant de rencontres, de regards cachés et de découvertes humoristiques.

Les personnes en situation de handicap et leurs accompagnants bénéficient d'un tarif réduit à 8 € par personne. Pour en bénéficier, il faut s'enregistrer sur le formulaire ci-dessous jusqu'au 12 octobre inclus.

Le lieu : Salle Jacques Brel - 164 bd de Gallieni - 94120 Fontenay sous bois. Entrée de plain-pied. Placement en bas des gradins devant la scène pour les personnes en fauteuil.

19 octobre 2018

Tutelle et curatelle : plainte contre la hausse des frais

article publié sur Handicap.fr

Résumé : Trois associations déposent un recours judiciaire contre une hausse des frais de protection juridique des personnes sous tutelle et curatelle. 60 euros par an en moins. Une réforme jugée injuste pour les plus vulnérables.

Par , le 19-10-2018

Elles dénoncent une réforme "injuste" pour les bénéficiaires de minima sociaux qui "cumulent souvent d'innombrables difficultés liées au handicap, à la vieillesse et à la perte d'autonomie" : trois associations ont déposé le 19 octobre 2018 un recours judiciaire pour faire annuler un récent décret (n°2018-767 du 31 août 2018, en lien ci-dessous) qui a augmenté la participation demandée aux personnes placées sous tutelle ou curatelle pour financer leur protection juridique (article en lien ci-dessous).

Devant le Conseil d'Etat

"Il est profondément injuste de frapper le porte-monnaie des personnes qui sont aux minima sociaux et cumulent souvent d'innombrables difficultés liées au handicap, à la vieillesse et à la perte d'autonomie", écrivent dans un communiqué la Fédération nationale des associations tutélaires (Fnat), l'Union nationale des associations familiales (Unaf) et l'Union nationale des associations de parents de personnes handicapées mentales et de leurs amis (Unapei). Le recours, déposé devant le Conseil d'État, vise un décret qui a réformé le calcul des montants versés par les adultes placés sous protection juridique aux associations ou à leurs proches chargés de leur suivi.

Pour un euro de plus

Le gouvernement a décidé dans le budget 2018 d'augmenter cette participation : il a supprimé la franchise qui s'appliquait en dessous d'un seuil correspondant au montant de l'allocation pour adulte handicapé (AAH). Désormais, ceux qui perçoivent plus que cette allocation (819 euros par mois pour une personne seule, portés à 860 euros à partir de novembre) sont ponctionnés sur l'intégralité de leurs revenus, et non plus sur la partie qui dépasse ce montant. Ainsi, par exemple, une personne qui vit aujourd'hui avec 820 euros mensuels, soit seulement un euro de plus que l'AAH à taux plein, se voit désormais prélever 60 euros par an alors qu'elle n'acquittait rien auparavant.

5 ou 6 euros par mois en moins

"On met à contribution les plus démunis parmi les plus vulnérables. Ceux qui touchent l'AAH plus quelques centimes, par exemple parce qu'ils ont perçu des intérêts sur leur livret A, vont payer une contribution calculée sur l'ensemble de leurs revenus, alors qu'en principe l'AAH c'est un minimum social, insaisissable", a dit à l'AFP Hadeel Chamson, délégué général de la Fnat. Pour les personnes concernées, les montants en jeu sont de l'ordre de "5 ou 6 euros par mois", selon lui. "Pour ces personnes, c'est loin d'être négligeable. C'est comme lorsque l'allocation logement a été amputée de 5 euros ! Au moment où le président annonce un plan pauvreté, c'est un très mauvais signal", a-t-il ajouté. "Cette décision va à l'encontre de la politique ambitieuse de lutte contre la pauvreté annoncée. Une économie est réalisée, là où les besoins sont considérables", conclut le communiqué commun.

 

Handicap.fr vous suggère les liens suivants :

Sur Handicap.fr

19 octobre 2018

Flora Thiébaut réconcilie les autistes et les entreprises. Et ça marche!

 

Flora Thiébaut réconcilie les autistes et les entreprises. Et ça marche!

Le plus gros QI d'un autiste qu'elle ait testé était de 154. Pourtant le même ne savait pas nouer ses lacets ni se déplacer dans les transports en commun s'il n'avait pas appris le trajet par...

http://snip.ly

 

19 octobre 2018

Regard international sur l'éducation inclusive - Secrétariat d'État auprès du Premier ministre chargé des Personnes handicapées

 

Regard international sur l'éducation inclusive - Secrétariat d'État auprès du Premier ministre chargé des Personnes handicapées

Le 18 octobre 2018, Sophie Cluzel, secrétaire d'Etat chargée des personnes handicapées et Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Education nationale et de la jeunesse, ont prononcé un discours d'ouverture au colloque international " Ensemble ! Regard international sur l'éducation inclusive " organisé par le Ministère de l'Education nationale et de la Jeunesse à la cité des sciences de Paris.

https://handicap.gouv.fr

 

19 octobre 2018

Mieux intégrer les personnes autistes

article publié sur le portail du Gouvernement Suisse

 

Berne, 17.10.2018 - Les personnes présentant un trouble du spectre de l’autisme doivent pouvoir fréquenter l’école et apprendre un métier. Lors de sa séance du 17 octobre 2018, le Conseil fédéral a adopté un rapport qui prévoit diverses mesures à cette fin. Elles sont axées sur un accompagnement continu et la réalisation rapide d’un diagnostic correct. Un renforcement de la coordination doit en outre permettre une utilisation plus efficace des moyens financiers à disposition.

Le Conseil fédéral entend encourager les personnes présentant des troubles du spectre de l’autisme (TSA) de manière à ce qu’elles puissent participer aussi pleinement que possible à la vie sociale. Il a fixé dans ce but trois axes d’intervention prioritaires : le dépistage précoce et la pose de diagnostic, le conseil et la coordination, ainsi que l’intervention précoce.

Un diagnostic précoce et correct posé par des spécialistes permet de prendre des mesures d’encouragement appropriées. En évitant la pose de diagnostics erronés, on prévient aussi des traitements inadéquats. Une fois le diagnostic posé, les familles concernées doivent obtenir conseil et accompagnement. Les divers traitements et les autres offres doivent être coordonnés. Surtout pour les transitions difficiles, par exemple d’un degré scolaire à l’autre, entre l’école et la formation professionnelle ou pour l’entrée dans la vie active, il importe que les personnes présentant un TSA soient soutenues autant que possible par la même personne, afin d’assurer une continuité et d’éviter des échecs dans le monde du travail ou des pertes d’emploi.

Des recherches récentes indiquent qu’un traitement précoce intensif est le plus prometteur dans le cas des enfants en bas âge atteints d’autisme. Des comparaisons avec l’étranger montrent qu’une thérapie intensive à un âge précoce permet non seulement une meilleure intégration, mais réduit aussi les charges pour les pouvoirs publics.

Définir clairement les compétences

Pour atteindre les objectifs visés, il importe de tenir compte des multiples manifestations possibles de la maladie. Il faut aussi prendre en considération la situation que la Suisse connaît actuellement avec de nombreux acteurs différents au niveau des cantons et des communes, une densité médicale variant selon les régions, une diversité de structures et un manque général d’offres appropriées.
Le rapport du Conseil fédéral indique dans quels domaines la Confédération, les cantons et les prestataires sont compétents au premier chef, et quelles mesures ils devraient mettre en œuvre. Il invite les cantons, les communes et tous les acteurs concernés à dresser un inventaire de la situation actuelle et à encourager la mise en œuvre de mesures concrètes sur la base du présent rapport.

Dans le même temps, le Conseil fédéral charge le Département fédéral de l’intérieur (DFI) de prendre contact avec les cantons et d’entamer la mise en œuvre des mesures qui relèvent de la compétence de la Confédération. L’accent est mis, d’une part, sur un financement commun des interventions précoces intensives par les cantons et par l’AI. Le Conseil fédéral s’appuie pour cela sur le rapport de recherche « Evaluation de l’efficacité des méthodes d’intervention précoce intensive pour le traitement de l’autisme infantile », qui est publié en même temps que le présent rapport. Un projet pilote de l’OFAS, « Intervention précoce intensive auprès des enfants atteints d’autisme infantile », devra en outre approfondir les enseignements recueillis dans ce rapport et résoudre les questions en suspens. D’autre part, il faut favoriser la formation professionnelle des personnes concernées et leur intégration sur le marché du travail. Cette approche est également encouragée dans le contexte de la réforme « Développement continu de l’AI ».

Le présent rapport se fonde sur une première étude, « Autisme et trouble envahissant du développement. Vue d’ensemble, bilan et perspectives », réalisée en réponse au postulat 12.3672 du conseiller aux États Claude Hêche, et concrétise les recommandations qui y sont formulées.

Trouble du spectre de l’autisme

Les personnes souffrant d’un trouble du spectre de l’autisme (TSA) perçoivent leur environnement de manière différente que la plupart des gens. Elles ont beaucoup de difficultés à ressentir les émotions d’autres personnes et à entrer en communication de manière adéquate avec elles. Elles ont également du mal à reconnaître l’humeur de leur interlocuteur à partir de l’expression faciale. Elles tendent à éviter les contacts et à se passionner pour un domaine en particulier. C’est pourquoi il leur est très difficile de comprendre leur environnement comme un ensemble doté de sens, de nouer des contacts sociaux et d’apprendre avec succès.
Les TSA sont des troubles envahissants du développement qui se manifestent souvent dès la petite enfance et qui persistent toute la vie (par ex. autisme infantile, syndrome d’Asperger ou autisme atypique). La maladie peut se manifester sous des formes très diverses et à différents degrés. Certains autistes peuvent communiquer verbalement et mener une vie plus ou moins autonome ; pour d’autres, la vie est rendue plus difficile par une arriération mentale, des comportements très stéréotypés ou encore des maladies telles que l’épilepsie, le TDAH ou des troubles du comportement.


Adresse pour l'envoi de questions

Stefan Honegger
Secteur Prestations en nature et en espèces AI
Office fédéral des assurances sociales

Tél. +41 58 462 47 09
stefan.honegger@bsv.admin.ch


 

Auteur

Département fédéral de l'intérieur
http://www.edi.admin.ch

Conseil fédéral
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil.html

Office fédéral des assurances sociales
http://www.ofas.admin.ch

19 octobre 2018

''Mères à boutte'' et si votre enfant était autiste vous auriez un autre discours!

 

''Mères à boutte'' et si votre enfant était autiste vous auriez un autre discours!

Partager sur Facebook "Tous les détails à l'intérieur..." ''Mères à boutte'' et si votre enfant était autiste vous auriez un autre discours! "Elle est à boutte des ''Mères à boutte...'' Ce texte remet les choses en perspective, vous ne trouvez-pas?"

https://letapisrouge.net

 

18 octobre 2018

Autisme : s’intégrer par l’habitat, le travail et les loisirs

article publié sur le site de la Fondation Orange

Partout en France, nous favorisons des initiatives autour de l’emploi, de l’habitat ou des loisirs pour faciliter l’inclusion de personnes avec autisme dans la société. Cette année nous finançons 23 nouveaux projets pour un budget de 414 441 euros dans ces domaines pour montrer que c’est possible de mieux vivre ensemble.

Par l’habitat

A Toulouse, la collaboration entre quatre associations actrices de l’habitat et de l’autisme ont le projet de réhabiliter un immeuble en centre-ville. "Résidence Inclusive" pour 6 jeunes adultes autistes Asperger, chacun aura son appartement autonome et bénéficiera des espaces-services collaboratifs. "Autisme 31" et "InPACTS" réalisent un suivi et des animations dans ce lieu innovant qui garantit à la fois autonomie et accompagnement.

Dans la région de Chartres, "A Tire d’Aile" propose un projet de vie plus ouvert avec 3 dispositifs d’habitat pour personnes avec autisme : en habitat partagé, en Maison d’aide spécialisée (MAS) hors les murs ainsi qu’au sein des familles. Autant d’alternatives à une vie entière en établissement, qui peut convenir à certains mais pas à d’autres.

 


La Maison du parc à Auneau accueille des salariés avec autisme depuis 2017.

 

Une inclusion professionnelle adaptée au potentiel de chacun

Nous investissons plus de 200.000 euros dans la formation et l’emploi des personnes avec autisme :

A Nice, Avencod est une entreprise adaptée qui met en relation les personnes avec autisme et les entreprises pour des prestations de développement informatique et de tests fonctionnels d’applications. Nous la soutenons pour monter une structure identique à Marseille en lien avec les professionnels de l’autisme.

 

 

L’association "Le Mouton à 5 pattes" et "Paris 3-La Sorbonne" créent cette année un Master « Communication et Système d’Informations » ouvert à des autistes Asperger. Les étudiants bénéficieront à la rentrée 2019 d’une initiation à la programmation, aux sciences sociales ou au droit éthique et numérique. Une formation à distance qui réserve tout de même 107 heures d’accompagnements durant la formation ainsi que de nombreux moments de rencontres entre étudiants, familles et experts.

Facteur d’indépendance et de socialisation, l’emploi est, à fortiori pour les personnes avec autisme, une réelle opportunité d’insertion dans notre société.

Le loisir : vecteur d’émancipation…

C’est également par le jeu, des sorties, des moments de répit que nous pouvons réduire la fracture entre les personnes avec autisme et les neuro-typiques. La ville de Lannion a décidé de créer un accueil sur mesure pour les enfants avec autisme sur les temps périscolaires et extrascolaires. Les équipes d’animation et les responsables de structures seront formés et les familles impliquées pour un projet collectif pérenne.

Depuis 1991, nous sommes engagés dans la cause de l’autisme. Cette année encore nous soutenons de nombreux projets qui vont faciliter l’insertion sociale : par les apprentissages numériques bien-sûr, mais aussi par les nouvelles formes d’habitat, et des solutions sur-mesure dans le domaine du travail des adultes et des loisirs des plus jeunes.

17 octobre 2018

20h Médias : polémique autour du coup de gueule de François Ruffin

Vidéo publiée sur My TF1

François ruffinA l’Assemblée nationale, le député France Insoumise François Ruffin a poussé un virulent coup de gueule contre les députés de la majorité qui s’apprêtent à voter le rejet préalable d’un projet de loi visant à améliorer l’accompagnement des élèves handicapés. Depuis, les LREM l’accuse de faire de la « politique spectacle », « sur le dos des enfants handicapés ».

En savoir plus : Yann Barthes
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