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"Au bonheur d'Elise"
28 décembre 2016

Pour rappel : la séance d'aujourd'hui avec ENVOL Loisirs -> VAIANA : Ciné-ma différence

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Bonnes fêtes de fin d'année avec Vaiana
 
Envol loisirs vous propose une séance ciné-ma différence Mercredi 28 Décembre à 14h30 (début du film, ouverture des portes à 14:00) avec le film de Wald Disney, Vaïana la légende du bout du monde. Les séances ciné-ma différence sont organisées pour accueillir tout le monde, notamment ceux qui n'ont pas accès au cinéma parce que leur comportement perturbateur fait qu'ils ne peuvent pas rester à une séance ordinaire. Faites plaisir à tous vos enfants. Venez en famille. Vous serez bien accueillis même si votre enfant/jeune/adulte se manifeste bruyamment pendant la séance. Ici c'est permis.
 
 
Joyeux Noel et bonne année à tous.
 
 
Plus d'information
 

 

vaiana

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27 décembre 2016

Prise en charge de personnes handicapées françaises dans des établissements situés en dehors du territoire national

logo sénat

Note de synthèse

 

 

 

 

 

 

27 décembre 2016

C'est les vacances et il fait beau !

Ce matin, petite ballade du côté de Neuilly-sur-Marne : le port de plaisance avec toujours une pensée en passant et le centre équestre municipal ... sous le soleil exactement !

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24 décembre 2016

Vaïana la légende du bout du monde - Mercredi 28 décembre au Kosmos ciné-ma différence Fontenay-sous-Bois

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Bonnes fêtes de fin d'année avec Vaiana
 
Envol loisirs vous propose une séance ciné-ma différence Mercredi 28 Décembre à 14h30 (début du film, ouverture des portes à 14:00) avec le film de Wald Disney, Vaïana la légende du bout du monde. Les séances ciné-ma différence sont organisées pour accueillir tout le monde, notamment ceux qui n'ont pas accès au cinéma parce que leur comportement perturbateur fait qu'ils ne peuvent pas rester à une séance ordinaire. Faites plaisir à tous vos enfants. Venez en famille. Vous serez bien accueillis même si votre enfant/jeune/adulte se manifeste bruyamment pendant la séance. Ici c'est permis.
 
 
Joyeux Noel et bonne année à tous.
 
 
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vaiana

23 décembre 2016

40 propositions du Sénat pour les Français en situation de handicap à l'étranger et en France.

vendredi 23 décembre 2016

Le rapport attendu sur les Français en situation de handicap à l’étranger, (dont la plupart réside en Belgique), pour la commission des affaires sociales du Sénat est enfin paru.
J’avais été auditionnée au cours de la visite des 3 jours en Belgique qu’avaient effectuée les sénateurs français.
J’ai pu constater que nombre de nos demandes ont été reprises par les sénateurs.
  • Le rapport dans son intégralité peut être consulté ICI.
  • La synthèse du rapport peut être consultée ICI.
Un article de handicap.fr à ce sujet ICI.
Même si certains peuvent penser qu’il ne va pas assez loin, il y a beaucoup de recommandations qui vont dans notre sens. Notamment sur l’autisme, les Bonnes Pratiques, l’inclusion scolaire, la désinstitutionalisation, la sortie du sanitaire, le projet de vie de la personne, les signalements abusifs…

senat

Le bémol, c’est que ce n’est qu’un rapport, et nous ne savons pas ce que le gouvernement en fera… L’avenir nous le dira.
Je tiens à remercier chaleureusement les sénateurs pour leur implication, leur écoute et leur formidable travail. En ces temps troublés où l’on entend sans cesse la rengaine du « tous pourris », il y a des responsables politiques humains, compétents et consciencieux. On doit le souligner.

Publié par à 17:59:00

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23 décembre 2016

Décret no 2016-1813 du 21.12.2016 relatif à l'obligation de signalement des structures sociales et médico-sociales

Décret no 2016-1813 du 21 décembre 2016 relatif à l’obligation de signalement des structures sociales et médico-sociales : Obligation de déclaration des dysfonctionnements graves et événements prévus à l’article L. 331-8-1

 

22 décembre 2016

FAMILLE D'EXCEPTION le 3 février 2017 par La Drôle compagnie au théâtre Eurydice à Plaisir 78

Cliquez sur l'affiche pour en savoir davantage

affiche famille d'exception plaisir

22 décembre 2016

BUZZ -> La jeune autiste bouleverse internet avec sa reprise de Hallelujah

article publié sur l'avenir.net

 

Kaylee Rodgers

En droite ligne d’Irlande du Nord, la voix pure de Kaylee Rodgers touche des milliers d’Internautes.

 

Visionnée à plus de 190 000 reprises, la vidéo fait sensation sur Facebook.

En vedette: Kaylee Rodgers, une élève de la Killard House School à Donaghadee, en Irlande du Nord.

À 10 ans, la jeune fille autiste et atteinte d’un trouble du déficit de l’attention assure avec la chorale de son école une reprise bouleversante de Hallelujah, de Leonard Cohen.

La pureté de sa voix fait mouche. Les commentaires sont élogieux. La séquence se répand comme une traînée de bonheur aux quatre coins du monde.

«Pour une enfant qui est arrivée chez nous en ne parlant quasiment pas, en ne lisant quasiment pas à haute voix en classe, monter sur scène et chanter devant un public est incroyable», se réjouit le directeur de l’école, Colin Millar. «Ça demande beaucoup d’efforts à Kaylee.»

Kaylee est une habituée du concert de Noël de la First Presbyterian Church, à Newtownards.

Hélas ce dimanche 18 décembre, malade, elle n’a pas été en mesure de s’y rendre après avoir perdu sa voix.

Qu’à cela ne tienne. La vidéo enregistrée voici quelques semaines lors d’une répétition a été diffusée dans l’église.

Avec un succès au-delà de toutes les espérances, plusieurs paroissiens étant incapables de retenir leurs larmes.

 

 

21 décembre 2016

Aide humaine : le guide de la CNSA qui limite les droits des personnes handicapées

article publié dans FAIRE FACE

Aide humaine : le guide de la CNSA qui limite les droits des personnes handicapées
« La CNSA et les MDPH imposent un minutage ahurissant » des temps d'aide nécessaires, s'indigne la Coordination handicap et autonomie.
Publié le 19 décembre 2016

La CNSA a édité un guide d’aide à l’évaluation des besoins en aide humaine pour les MDPH. Il propose des temps de référence, très restrictifs, pour chacune des activités : dix minutes pour le petit-déjeuner, par exemple. Ce minutage aboutit à une réduction de la prestation de compensation du handicap.

Presque quatre fois moins d’heures d’aide humaine, du jour au lendemain. La vie de Sarah Salmona a basculé en septembre 2015 lorsque la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) des Yvelines a drastiquement revu à la baisse sa prestation de compensation du handicap (PCH). Elle avait jusqu’alors droit à huit heures d’aide humaine ; elle doit désormais se contenter de 2h22. Pourtant, les capacités de cette trentenaire, atteinte d’une myopathie, ne se sont pas améliorées. Au contraire, elles se sont même dégradées. « Mes parents sont obligés de m’aider au quotidien, pour compenser, et de financer des heures d’aide humaine », regrette-t-elle.

Prestation rabotée lors du renouvellement

L’histoire de Sarah Salmona n’a malheureusement rien d’exceptionnel. De nombreux autres allocataires voient leur prestation rabotée lors du renouvellement. Sans doute faut-il y voir un lien avec le déploiement du Guide PCH aide humaine, édité par la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) fin 2013. « Les textes réglementaires relatifs à la PCH laissent une grande marge de manœuvre aux équipes pluridisciplinaires des MDPH, écrit la CNSA, en introduction. (…) Ce qui peut conduire à une certaine disparité des pratiques d’un département à l’autre. » Ce guide a donc pour vocation de les harmoniser.

La Cnsa propose 15 mn pour manger lors du déjeuner, pas plus...

La CNSA propose 15 minutes pour manger lors du déjeuner, pas plus…

Deux shampoings par semaine

Comment ? Notamment en fournissant aux équipes un « outil d’appui à la détermination des temps d’aide pour les actes essentiels ». Ce tableau excel propose des temps moyens. Exemples : 2 minutes et 30 secondes pour le lavage des dents, 22 minutes pour le déjeuner, 10 minutes pour le petit déjeuner, etc. Il indique également des fréquences. Se brosser les dents ? C’est deux fois par jour. Se laver les cheveux ? Deux fois par semaine.

« L’handicapé comme objet »

« La CNSA et les MDPH imposent un minutage ahurissant, s’indigne la Coordination handicap et autonomie. Elles vont réaliser le tour de force de transposer à domicile ce pourquoi les personnes en situation de handicap fuient les institutions : la déshumanisation. On passe de la personne handicapée considérée comme sujet à l’handicapé comme objet. »

Les temps proposés : des standards

« Le principe n’est pas d’imposer un temps standard et une fréquence moyenne obligatoire mais plutôt de donner des éléments de référence, répond la CNSA, interrogée par Faire Face. Ces temps sont à pondérer et adapter en fonction de la situation de la personne et des facteurs pouvant expliquer un besoin de temps plus important ou une fréquence de réalisation plus importante. » Le problème est que « les MDPH qui commencent à utiliser ce guide appliquent uniquement les temps moyens », constate la CHA, qui a lancé, début décembre, une pétition demandant le retrait du guide.

Le guide divise les activités en sous-activités.

Le guide divise les activités en sous-activités.

Un découpage trop détaillé

Plus retors encore, chaque activité est, elle-même, divisée en sous-activités. Pour le petit-déjeuner, le guide prévoit 3 minutes pour installer et servir, 2 pour couper les aliments et ouvrir les bouteilles et 5 pour manger ! Pour la toilette, il distingue le haut du corps (10 minutes, une fois par jour), le bas du corps (10, trois fois par jour), l’installation (10, une fois par jour.), etc.

La CNSA va donc bien plus loin que l’annexe 2-5 du Code de l’action sociale et des familles qui servait jusqu’alors de principal outil d’application de la loi. Celle-ci stipule simplement que « le temps quotidien d’aide pour la toilette (…) peut atteindre 70 minutes ». « Le découpage proposé par le guide est trop détaillé par rapport à ce qu’a prévu le législateur », analyse le service juridique de l’APF. Cette scission des tâches risque d’aboutir à minimiser le temps d’aide.

couverture-guide-cnsa-pchUne version test référence

Selon la CNSA, le guide dévoilé fin 2013 n’est qu’une version test. Il a été transmis aux MDPH pour qu’elles puissent « faire un retour de leur avis ». Une étude a d’ailleurs été menée dans dix départements tests, de mi-2015 à mi-2016. Objectif : « Bénéficier d’un retour objectif sur les (…) modifications à envisager avant de les diffuser plus largement. » Mais le guide, disponible en ligne, n’est visiblement pas utilisé que dans ces départements tests, ni comme un simple outil d’aide à l’évaluation.

Des allocataires confirment que des équipes pluridisciplinaires suivent d’ores et déjà ses préceptes. « Un chef de service m’a confirmé que le nombre d’heure à baissé parce qu’ils ont « de nouvelles règles à appliquer »», témoigne l’un d’entre eux sur la page Facebook animée par Yves Mallet, administrateur de la Coordination Handicap Autonomie (CHA). Combien de MDPH l’ont-elles déjà adopté ? « Le recensement concernant son utilisation n’a pas été réalisé »,nous a répondu la CNSA.

Un projet de guide révisé, en janvier

« Ce guide a été réalisé sans concertation, regrette Malika Boubekeur, la conseillère nationale compensation de l’APF. Ce n’est qu’avec l’arrivée d’un nouveau directeur de la compensation à la CNSA qu’un groupe de travail a été mis en place, cet automne. Les associations ont enfin pu faire part de leurs observations et contributions pour réviser ce guide. » Au cœur des débats : l’individualisation de l’évaluation des besoins versus la standardisation de temps trop restrictifs. La CNSA doit présenter un projet de guide révisé, début janvier. Pas sûr que la nouvelle version satisfasse les revendications des associations.

Conseils départementaux en difficulté

Puisque l’encadrement de l’évaluation des heures d’aide humaine répond à la demande des conseils départementaux (CD), l’un des bailleurs de la PCH avec la CNSA. Beaucoup d’entre eux étant en grande difficulté financière, ils cherchent à raboter les dépenses. Notamment celles en faveur des personnes handicapées. Elles ont quasiment doublé de 2004 à 2013, selon une récente étude de la Drees, sous l’effet de la forte augmentation du nombre de personnes aidées. Dans le même temps, la dépense moyenne par tête à diminué. La généralisation de ce guide ne pourra que conforter cette tendance. Franck Seuret

Les aidants familiaux sous pression

Le guide de la CNSA encourage les équipes pluridisciplinaires des MDPH à minorer les temps des aidants familiaux. Pour l’assistance de nuit, par exemple, « si l’aidant habite sur place (en général un aidant familial), seul le temps de l’intervention proprement dite sera pris en compte », précise le guide. Autrement dit, seules les minutes passées à retourner la personne, lui donner à boire ou pratiquer une aspiration endotrachéale seront comptabilisées.

Cette interprétation est légalement contestable. Mais elle pousse les évaluateurs à marchander le temps passé. « Le médecin évaluateur nous a demandé combien de fois nous intervenions la nuit et combien de temps à chaque fois, rapportent les parents de Carole Chevillard, une jeune femme polyhandicapée. Quatre fois 30 minutes, six fois 45 minutes… ? Il me faut des temps ! »

21 décembre 2016

Villeneuve-d'Ascq. Un habitat partagé pour 15 jeunes handicapés

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L’antenne lilloise des Papillons Blancs inaugure ce samedi un foyer d’hébergement à quelques encablures de l’IMPro du chemin vert. Baptisé Clos du chemin vert, la structure accueillera quinze jeunes âgés entre 18 et 25 ans en situation de handicap intellectuel léger. «  Les résidents viennent d’instituts médico-éducatifs (IME). Ils ont un travail, un projet d’autonomie et les capacités pour vivre seuls  », souligne Anne-Claire Debarbieux, chef de service éducatif.

Quatre maisons de lotissement ont été réquisitionnées pour accueillir les résidents qui vivront en colocation. Accompagnés par huit professionnels, ils seront initiés aux tâches quotidiennes (lessives, courses, repassage) ainsi qu’aux règles de vie en société.

Géré sous la forme d’un foyer d’hébergement - ce qui signifie qu’il est financé au moyens d’aides sociales injectées par le conseil départemental -, la structure devrait à terme prendre la forme d’un foyer de logement. «  Ils paieront alors des frais comme vous et moi  », rappelle Luc de Ronne, responsable du pôle habitat de l’association. La durée d’hébergement pour chaque résident sera de deux à trois ans.

20 décembre 2016

Personnes handicapées => Les comportements-problèmes. Recommandations des bonnes pratiques professionnelles

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15 décembre 2016

Le restaurant extra-ordinaire Le Reflet ouvre ses portes

Un restaurant employant des personnels trisomiques : c’était le projet de fin d’études d’une jeune architecte d’intérieur nantaise, c’est aujourd’hui une nouvelle table dans le centre-ville de Nantes !

De grands sourires, de l’émotion, un peu d’appréhension aussi… C’est le menu quotidien de l’équipe du restaurant Le Reflet Lien ouvert dans une nouvelle fenêtre, qui ouvre en cette mi-décembre dans la rue des Trois-Croissants, à Nantes. Une équipe véritablement « extra-ordinaire » : aux côtés du gérant et de la chef de cuisine, l’établissement emploie deux cuisiniers et quatre serveurs trisomiques.

« Mon grand frère est trisomique et de fait, on est confronté au regard des autres, on voit que beaucoup reste à faire, explique Flore Lelièvre, qui a imaginé ce projet dès 2013, pour achever sa formation d’architecte d’intérieur. Mon idée était donc de créer un lieu qui leur permette de s’intégrer dans la société ».

« Banaliser la différence, dans un lieu ordinaire »

Le projet de fin d’études de la jeune Nantaise a soulevé l’enthousiasme. Son professeur à l’école Pivaud, Jérôme Nicot, s’y est associé très tôt. Un réseau de compétences diverses s’est mis en place puis s’est constitué en association, Trinôme. A l’été 2016, elle a conduit une levée de fonds qui a dépassé toutes les espérances en rapportant 400 000 €. Le financement participatif a également été sollicité. « Nous avons ainsi pu acheter plus facilement les murs et le fonds de commerce », explique Flore, qui parle d’une « aventure humaine très forte ».
Recrutés pour leur motivation, les six employés porteurs de trisomie 21 vont donner une visibilité à toute une catégorie de la population. « Il faut banaliser la différence et pour cela, il faut un lieu où se rencontrer. Un lieu ordinaire, comme un restaurant », insiste la jeune femme.

Projet de partenariats avec des chefs locaux

De lourds travaux d’accessibilité ont été réalisés pour transformer l’ancienne Table des Roys, nom de la précédente enseigne. « On leur demande toujours de s’adapter. Ici, c’est le lieu qui s’adapte », souligne Flore. Une gamme d’assiettes a été imaginée et permet une prise en main plus facile. Un système spécifique de prise et de transmission des commandes a été mis au point, tous les employés ne maîtrisant pas l’écrit. Une salle de repos a été aménagée, pour surmonter les coups de fatigue.
Le lieu totalise 36 couverts. Ce qu’on trouve dans les assiettes ? « Une cuisine française et du monde, avec des produits de saison ! » précise Flore, qui imagine à terme des partenariats avec des chefs locaux pour apporter de nouvelles saveurs. A vous de goûter cette cuisine où différence rime avec solidarité !

13 décembre 2016

Maisons partagées, de nouveaux projets dans toute la France

article publié sur Handicap.fr

Résumé : Des maisons partagées, dans lesquelles vivent personnes valides et handicapées, vont ouvrir dans 10 nouvelles villes de France. Cette innovation sociale qui a fait ses preuves est menée depuis 2009 par la fédération Simon de Cyrène.

Par , le 24-04-2015

Solitude et isolement douloureux pour certaines personnes handicapées... Alors, parfois, on leur propose de vivre chez eux, sans pour autant être seuls. La Fédération Simon de Cyrène  a ouvert des « maisons partagées », expérience innovante entre personnes valides et handicapées (trauma crâniens, AVC, lésions cérébrales, handicap psychique, autisme…). Chacun dispose de son propre studio aménagé dans de grands appartements ou maisons. Leur force, c'est le binôme dans l'esprit des communautés de L'Arche de Jean Vanier : un résident et un assistant qui l'accompagne au quotidien (préparation des repas, déplacements, loisirs, vacances...) et agit sous la houlette d'un responsable de foyer. La première communauté a ouvert en 2009 à Vanves (92). Depuis, ces lieux de vie connaissent un bel essaimage. Entre 2015 et 2017, la Fédération ouvrira des maisons partagées dans 10 nouvelles villes de France !

600 logements en projet

Ainsi, la maison d'Angers a ouvert ses portes fin mars 2015. Elle reçoit 12 résidents handicapés, assistants professionnels et jeunes volontaires et 30 adultes handicapés en activités de jour. En avril 2015, la première pierre a été posée pour la construction de cinq nouvelles maisons à Rungis (Val de Marne) ; 70 personnes pourront vivre ensemble dans des appartements répartis sur 5 maisons situées au sein d'une ancienne ferme briarde (2 800 m² d'habitat partagé) au milieu d'un hectare de parc en centre-ville. En 2015, des permis de construire sont déposés dans 4 villes (Dijon, Nantes, Lyon, Ré) et trois autres groupes de compagnons sont créés (Marseille, Lille, Bordeaux). Au total, près de 600 logements et 400 emplois sont en cours de création.

Un vrai projet de société

L'expérience des maisons partagées Simon de Cyrène s'inscrit comme un projet de société fondé sur un « art du vivre ensemble ». Elle témoigne que la fragilité invite à la fraternité et à la confiance et propose une réponse à mi-chemin entre le domicile diffus, souvent désocialisant et l'institution. Selon une étude DDASS 92 de 2006, 95% des personnes veulent en effet quitter leur établissement !

12 décembre 2016

Grenoble - Un dossier de suspicions de viols sur des enfants handicapés classé sans suite

the-autist, publié le 12/12/2016 à 17:15 , mis à jour à 17:16:18

Le parquet de Grenoble classe sans suite un dossier de graves suspicions d’agressions sexuelles et de viols sur des enfants handicapés

Conférence de Presse – 14 décembre 2016, 11h

Cabinet de Me Bertrand SAYN – 119 rue Pierre Corneilles 69003 LYON

 

Communiqué de presse

Au printemps 2015, de nombreuses plaintes étaient déposées pour des faits de viols et d’agressions sexuelles commis sur des enfants handicapés, au sein d’un même Institut Médico-Educatif visant trois éducateurs.

Lors d’une première conférence de presse, les victimes dénonçaient l’immobilisme du Parquet.

Le soir même, Monsieur le Procureur indiquait par voie de presse qu’il classait sans suite. Il adressait ultérieurement un avis de classement évoquant l’absence d’infraction et une enquête « extrêmement complète et fouillée ».

Les familles constituées parties civiles ont eu accès au dossier et ne peuvent qu’être stupéfaites du classement sans suite qui s’avère incompréhensible.

 

Le dossier est extrêmement inquiétant !

  • La parole des enfants est constante

Onze familles dénoncent des faits de même nature : l’ensemble de leurs auditions, dont certaines très explicites, constituent un tout accablant.

 

  • Une des personnes mises en cause a des antécédents très récents, de nature sexuelle et concernant des mineurs

Il présente deux antécédents de viol sur mineur classés sans suite et deux antécédents, en 2014 et 2015, de détention d’images à caractère pédopornographique.

 

Et pourtant les investigations présentent des carences graves.

  • Aucune investigation n’a été réalisée sur les antécédents de l’éducateur sus visé. Ces dossiers concernant les antécédents n’ont pas même été versés au dossier.

Outre leurs inquiétudes quant aux sévices subis par leurs enfants, une nouvelle question obsède les familles : des photos ou des vidéos de leur enfant se trouvent-elles parmi les images détenues par cet individu ?

 

  • Les enfants ont été entendus dans des conditions déplorables

Les auditions ont été effectuées au sein de l’IME, lieu des viols présumés, et toujours en présence d’autres éducateurs qui soutiennent à l’unanimité leurs collègues mis en cause.

 

  • Les enfants n’ont pas été expertisés

Aucune audition de spécialiste de l’enfance handicapée n’a été faite et aucun des enfants n’a été expertisé par un tiers compétent et impartial.

 

La lecture du dossier révèle une enquête particulièrement défaillante.

 

Pourquoi un tel classement sans une enquête complète ? Quelle justice pour ces enfants handicapés et leurs familles ?

 

Me SAYN : bsaynavocat@gmail.com – 06 81 25 34 29

 

En présence des familles et des associations :

Association présidée par Mme Ghislaine LUBART (06 60 72 07 58)

 

 Association présidée par Mme Homayra SELLIER

 

10 décembre 2016

Comité Interministériel du Handicap - CIH 2 décembre 2016

 

Comité Interministériel du Handicap - 2 décembre 2016

La politique du handicap portée par le Gouvernement repose sur une ambition forte : changer durablement de regard et de méthode pour accompagner l'autonomie des personnes concernées en rendant la société plus accueillante et pl...

http://www.gouvernement.fr

 

9 décembre 2016

Saint-Mandé : la belle histoire des décorations de Noël de la mairie et du Val Mandé

article publié dans Le Parisien
 
Corinne Nèves|08 décembre 2016, 18h20|0
Saint-Mandé. La décoratrice Carole Pfeiffer a conçu les illuminations de Noël du hall de la mairie de Saint-Mandé. LP/C.N.

Saint-Mandé va s’illuminer ce vendredi, à 14 heures et 18 heures, pour les fêtes de fin d’année. Le hall de la mairie comme l’entrée de l’Institut le Val Mandé, se parent d’une multitude de petits oiseaux, papillons, plumes, boules translucides, et cristaux lumineux suspendus à de délicats branchages. Ces — presque— 800 jolies suspensions sont le résultat de l’échange entre Carole Pfeiffer, architecte décoratrice, et les pensionnaires de l’Institut le Val Mandé.

« Les ateliers ont débuté début novembre, précise Christine Tasse, secrétaire générale de l’établissement public médico-social destiné à l’accompagnement de personnes en situation de handicap. Ils ont rassemblé en différents ateliers Carole et 250 usagers adultes et animateurs. »

L’émotion est encore palpable chez la décoratrice Carole Pfeiffer évoquant cet échange comme « une vraie aventure humaine ».

Ce vendredi, le Val Mandé allume ses décorations dès 14 heures, tandis que la mairie fait découvrir les siennes à 18 heures dans son hall. « Ce sera le coup d’envoi des animations de Noël tant pour les petits que pour les grands », précise-t-on en mairie. Au programme de ce week-end, dans la salle des fêtes : un conte de Noël Eliot et PopCorn, ce samedi à 10 heures et 15 h 30, suivi d’un concert interactif et joyeux conçu par Denis Cuniot, Carole Pfeiffer et Françoise Degeorges, à 17 heures. Dimanche, à 11 heures, ce sera au tour des professeurs et élèves du conservatoire Robert-Lamoureux de donner le « la », en l’église Notre-Dame de Saint-Mandé. En parallèle, des animations et manèges sont prévus dans les jardins de l’Hôtel de Ville, sans oublier la vedette du jour : le père Noël.

 

Ce vendredi, à 14 heures, à l’Institut le Val Mandé, 7, rue Mongenot et à 18h00, dans le hall de l’hôtel de ville. Accès libre.

  leparisien.fr

5 décembre 2016

Fillon et le handicap : un programme en 11 points !

article publié sur handicap.fr

Résumé : François Fillon, élu des Républicains. Son programme Fillon2017 comporte-t-il des mesures en faveur des citoyens handicapés ? Onze propositions et quelques contradictions...

Par , le 30-11-2016

Chez Les Républicains, ce sera François Fillon. Ainsi en ont décidé 66,5% des électeurs lors du second tour de la primaire le 27 novembre 2016. A quoi faut-il s'attendre en matière de handicap ? Dans son programme en ligne sur le site Fillon2017, à la rubrique « Famille et solidarités », onze mesures sont dédiées aux personnes handicapées. Le candidat aux prochaines présidentielles promet, dans ce domaine, une « politique volontariste » : « Les personnes handicapées doivent avoir toute leur place dans notre pays. Le handicap est un enjeu de solidarité. Notre société doit être inclusive et ouverte à tous. » Lors d'un entretien accordé à handicap.fr, au même titre que tous les autres candidats avant le premier tour de primaires, il disait vouloir faire du handicap un « sujet essentiel » (interview en lien ci-dessous).

Les 11 propositions de François Fillon

1 • Reconnaître aux parents d'une personne handicapée un droit à la formation au moment de la découverte du handicap pour améliorer l'environnement et rendre la vie de la personne handicapée et de sa famille plus facile. Ce droit pourra être intégré dans le Droit à la formation et dans les congés formation.

2 • Favoriser l'accueil des élèves en situation de handicap dans les écoles ordinaires. La formation des auxiliaires de vie scolaire sera renforcée.

3 • Soutenir les aidants familiaux en leur donnant un véritable statut légal et fiscal et un « droit au répit » qui passe par une augmentation du nombre des établissements pouvant accueillir les personne handicapées.

4 • Développer le « baluchonnage » et « l'accueil temporaire » c'est-à-dire l'intervention à domicile d'une personne tierce pour quelques jours ou quelques heures.

5 • Améliorer le fonctionnement des MDPH (maisons départementales des personnes handicapées).

6 • Assurer la mise en œuvre de l'accessibilité fixée par la loi de 2005 à 2015 et qui n'a pas été respectée. Une stratégie de mise en œuvre sera mise en place avec un suivi départemental en privilégiant l'accès au transport en commun pour tous. Tout espace public doit être accessible à une personne handicapée. L'allégement des normes d'habitabilité et d'accessibilité actuelles sur les logements neufs visera à favoriser la modularité des habitats privatifs et faciliter ainsi l'intégration, ou l'inclusion, des personnes handicapées.

7 • Assouplir le contingentement de l'aide au poste dans les entreprises adaptées pour les travailleurs handicapés, compte tenu du taux de chômage très élevé des personnes handicapées, de leur traitement social (droit au RSA, à l'AAH etc.) et des listes d'attentes qui existent.

8 • Favoriser la formation en alternance des personnes handicapées, avec l'accompagnement d'un tuteur, validée par un diplôme.

9 • Développer la prévention contre le suicide et les troubles mentaux pouvant générer un handicap (dépression, addictions…) avec la mise en place d'unités mobiles, afin de renforcer un diagnostic précoce.

10 • Imposer les recommandations de la HAS aux Centres médico-psychologiques (CMP) et aux Centres de Ressources Autisme (CRA) pour la prise en charge de l'autisme.

11 • Adapter la tarification à l'activité des établissements de santé afin de tenir compte de la surcharge de travail, et introduire des tarifs spécifiques pour le handicap, de même que pour la prise en charge par la médecine libérale.

Rêver ou songer ?

Plus d'accompagnant pour les élèves handicapés, plus de moyens pour les personnels de santé, plus d'aide aux postes pour les entreprises du secteur adapté (ne serait-ce pas plutôt du secteur protégé ?) ? Un programme qui fait « rêver » ou plutôt laisse songeur car comment le réaliser avec 500 000 fonctionnaires de moins, la sécurité sociale à la diète et une réduction drastique des dépenses publiques ? Peut-être en déshabillant Pierre pour rhabiller Paul tel qu'évoqué dans son interview à handicap.fr où il promet « une politique qui se donne les moyens de ses ambitions en matière de handicap parce que l'Etat aura su se réformer, faire des économies sur son train de vie délirant et faire repartir véritablement la croissance. »

Contradiction sur l'accessibilité ?

Faut-il par ailleurs rappeler les propos de François Fillon en mars 2016, qui souhaitait simplifier les normes applicables au logement afin de permettre de « l'innovation » (article en lien ci-dessous) ? Il s'attaquait, notamment, aux règles relatives aux personnes handicapées. « Il est absurde de vouloir, par exemple, que tous les logements de notre pays soient accessibles aux handicapés. Pour satisfaire une demande qui n'est pas une demande réelle, puisqu'il n'y a pas dans chaque logement français un handicapé qui va y habiter, on va priver des Français au logement parce qu'il sera trop cher. Voilà un exemple typique d'une affaire sur laquelle il aurait fallu faire preuve d'un peu de bon sens ». A ce sujet, huit mois plus tard, il emploie dans son programme le terme de « modularité ». Mais jusqu'à quel point ?

© Fillon2017 : Hermès Le Court de Béru

3 décembre 2016

Il faut changer notre approche du handicap

 

#CIH2016 : "Il faut changer notre approche du handicap"

" Je pense qu'il faut changer radicalement notre approche du handicap", a déclaré Manuel Valls en ouverture de son allocution, " cesser de voir les handicaps simplement comme des déficits à compenser, cesser de penser uniquement en termes de structures dédiées (...) et agir surtout pour que les personnes handicapées soient accueillies partout."

http://www.gouvernement.fr

 

28 novembre 2016

Jean Dujardin a trouvé le rôle de sa vie dans la campagne de sensibilisation au handicap de Perce-Neige

article publié dans le Huffington Post

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Plusieurs acteurs français s'engagent auprès des personnes handicapées.


27/11/2016 14:49 CET | Actualisé 27/11/2016 14:55 CET

Rédaction du HuffPost

 

 

 

PEOPLE - La fondation Perce-Neige a dévoilé cette semaine sa nouvelle campagne de sensibilisation au handicap. Dans un clip de 45 secondes, tourné par le réalisateur Xavier Giannoli, on y voit plusieurs figures du cinéma français, dont Jean Dujardin, Kad Merad ou encore Gérard Darmon.

Chez eux, dans un café, dans une voiture, tous parlent d'un fameux "rôle" qu'ils ont obtenu (ou pas), ou qu'ils espèrent avoir. Le message transmis: chacun peut jouer un rôle aux côtés des enfants et adultes handicapés.

L'association Perce-Neige a été fondée en 1966 par l'acteur Lino Ventura, père d'une petite fille handicapée mentale. L'année d'avant, il avait lancé lançait un appel émouvant à la télévision pour sensibiliser l'opinion publique sur cette question du handicap.

23 novembre 2016

Dominique Perriot : un nouveau président pour le Fiphfp

article publié sur Handicap.fr

Résumé : Dominique Perriot, directeur de l'Institut le Val Mandé, est élu président du Comité national du Fiphfp le 16 novembre 2016, remplaçant à ce poste André Montané. Un mandat de 4 ans.
le 17-11-2016

Réuni le mercredi 16 novembre 2016, le Comité national du Fonds pour l'insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) a élu son nouveau président, Dominique Perriot, pour un mandat de 4 ans.

Un ex assistant social

Dominique Perriot est né le 4 mai 1957 à Issoudun (36), il a quatre enfants. Il a travaillé en tant qu'assistant social scolaire à Orléans-la-Source pour l'intégration des élèves en situation de handicap. Directeur d'établissement géré par un Centre communal d'action sociale (CCAS) de 1988 à 1994, il a obtenu le CAFDES en 1993. Il a rejoint la fonction publique hospitalière en 1986 et a été directeur d'établissements publics médico-sociaux dans le secteur du handicap à Campan (65), Forcalquier (04) Issoudun (36) et Vertou (44). Depuis 2009, il est directeur de l'Institut le Val Mandé, établissement médicosocial public.

Quelles fonctions ?

Impliqué dans le domaine du handicap, il a été administrateur du Groupe national des établissements publics sociaux et médico-sociaux (GEPSo), membre de la Commission d'organisation institutionnelle du Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH) de 2009 à 2012. Il représente la Fédération hospitalière de France (FHF) au sein du Fiphfp depuis 2011 et a été rapporteur de la commission des finances de 2012 à 2016. Il a également été plusieurs fois administrateur provisoire de structures médicosociales associatives et est membre de la commission des cas critiques du Val de Marne. Dans ses fonctions, il s'est beaucoup impliqué dans l'accès aux soins ainsi que dans toutes les formes de partenariat favorisant l'accès à la culture et aux activités artistiques pour les personnes en situation de handicap. A titre personnel, il est membre du Conseil d'Administration d'une association de patients « France Côlon » et participe à des nombreuses actions de communication pour sensibiliser le grand public au dépistage.

Agnès Duguet, première vice-présidente

Elle est membre du collège des représentants du personnel du Comité national du FIPHFP, pour la Fédération syndicale unitaire (FSU). Elle est également membre du Comité local FIPHFP d'Ile-de-France. Elle occupait déjà la fonction de Vice-présidente au sein de la précédente mandature.

Florian Guzdek, deuxième vice-président

Il est membre du collège des représentants des associations et organismes regroupant des personnes en situation de handicap. Il représente la Fédération nationale des accidentés du travail et des handicapés (FNATH). Il siégeait au sein du précédent Comité national.

Le Fiphfp, pour rappel

Créé par la loi du 11 février 2005 et mis en place fin 2006, le Fonds pour l'insertion des personnes handicapées dans la fonction publique est un établissement public national dirigé par Marc Desjardins qui finance les actions de recrutement, de maintien dans l'emploi, de formation et d'accessibilité des personnes en situation de handicap dans les trois fonctions publiques (ministères, villes, conseils généraux et régionaux, hôpitaux…). Depuis sa création, le taux d'emploi est passé de 3,74 % en 2006 à 5,17 % en 2015.

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