Qu'est-ce que la psychanalyse ? Est-ce une science ? Comment se situe-t-elle dans le contexte plus large de la psychologie ?
Quelques éléments de réponse nous sont présentés par Jacques Van Rillaer, professeur émérite à l'Université de Louvain. Ayant commencé sa carrière en tant que psychanalyste, il s'est ensuite orienté vers les thérapies cognitivo-comportementales. Contributeur très actif de la revue Science et Pseudo-Sciences, il est membre de comité de parrainage scientifique de l'Association Française pour l'Information Scientifique.
La conférence a été organisée par des étudiants du groupe Science Pop, parrainé par l'AFIS et financé par l'Université de Lille.
La Ville de Maisons-Alfort a ouvert ce mois-ci, une structure pour petits et grands citadins : une ferme pédagogique, située sur un terrain mis à disposition de la Ville par la Société Bio Springer, dans le parc du Musée de Maisons-Alfort (Château de Réghat).
L’inauguration s'est tenue le samedi 21 mai 2016 à 16h au Parc du Château de Réghat.
"Comment s’appelle le petit d’une brebis ? Une poule peut-elle pondre même sans coq ? Une vache donne t-elle du lait tout au long de sa vie ?" Telles seront les questions auxquelles pourront répondre prochainement les petits et grands maisonnais, après avoir visité la ferme pédagogique.
En effet, grâce au prêt consenti par la Société Bio Springer d’un parc paysagé d’une superficie de 15.000 m2, la Ville de Maisons-Alfort propose une véritable reconstitution d’une ferme, avec ses animaux emblématiques : lapins béliers géants, les paons bleus, les poules marans (c’est la fameuse poule aux œufs d’or de la fable de La Fontaine), les faisans dorés, les canards Mignon blanc, les oies du Capitole, la vache de race Abondance, le baudet du Poitou, les moutons mérinos et les cochons Culs Noirs du Limousin).
La ferme dispose de son propre potager et de son verger, accessibles aux personnes à mobilité réduite.
Horaires de la Ferme Pédagogique :
Horaires d'Eté ( 21 mars au 20 septembre) : mercredis de 14h à 18h, samedis et dimanches de 11h à 18h
Horaires d'Hiver (21 septembre au 20 mars) : mercredis de 14h à 17h, samedis et dimanches de 11h à 17h
Tarifs Maisonnais : (sur présentation de justificatifs de domicile avec photos, exemples: CNI, Passeport, Permis de conduire ... ) : gratuit pour les moins de 3 ans, 1€ pour les moins de 18 ans et 2€ pour les plus de 18 ans.
Tarifs hors Maisons-Alfort : gratuit pour les moins de 3 ans, 5€ pour les moins de 18 ans et 10 € pour les plus de 18 ans.
De 9h30 à 16h30, la MDPH organise une journée Portes Ouvertes pour les Val-de-Marnais et les professionnels. Pour poser toutes vos questions, venez à la recontre des associations qui vous accueilleront sur leurs stands et participez aux ateliers.
10h – 11H : Ateliers au choix Atelier 1 : Je veux déposer un dossier à la MDPH : comment faire ? Comment le remplir ? Atelier 2 : Je suis adulte et je suis dépendant : quelles sont les aides existantes ? Atelier 3 : Atelier participatif pour aider la MDPH à simplifier ses courriers Atelier 4 : j’ai déposé un dossier à la MDPH : que devient mon dossier ensuite ?
11h30 – 12h30 : Ateliers au choix Atelier 5 : j’ai un enfant handicapé : quelles sont les aides existantes ? Atelier 6 : je suis handicapé et je veux travailler : comment faire ? Atelier 7 : J’ai reçu une notification de la MDPH et je ne comprends pas, ou je ne suis pas d’accord, ou je veux savoir quand je serai payé : que faire ?
12h30 – 14h : déjeuner libre
14h- 15h : Ateliers au choix Atelier 1 : Je veux déposer un dossier à la MDPH : comment faire ? comment le remplir ? Atelier 2 : Je suis adulte et je suis dépendant : quelles sont les aides existantes ? Atelier 3 : atelier participatif pour aider la MDPH à simplifier ses courriers Atelier 4 : j’ai déposé un dossier à la MDPH : que devient mon dossier ensuite ?
15h30 – 16h30 : Ateliers au choix Atelier 5 : j’ai un enfant handicapé : quelles sont les aides existantes ? Atelier 6 : je suis handicapé et je veux travailler : comment faire ? Atelier 7 : J’ai reçu une notification de la MDPH et je ne comprends pas, ou je ne suis pas d’accord, ou je veux savoir quand je serai payé : que faire ?
Estelle Ast décroche trois prix au 115e concours Lépine
La Toulousaine Estelle Ast, inventeur de l'application WatcHelp, qui permet d'envoyer des informations depuis un smartphone à une montre connectée au poignet de son enfant autiste, a décroché, samedi dernier, trois prix lors du 115e concours international Lépine qui s'est déroulé du 29 avril au 8 mai au Parc des expositions à Paris (Porte de Versailles).
L'application créée en avril 2015, téléchargeable sur la plateforme internet Google Play store, est gratuite pendant un mois, puis s'acquiert pour un montant modique de 2,90 euros. L'utilisateur doit également acheter la montre connectée, la ZenWatch 2 WI501Q, au prix de 175 euros. Pour la plupart des familles qui ont un enfant souffrant de d'autisme ou d'autres troubles cognitifs, c'est une petite révolution.
«L'application peut servir au-delà de l'autisme»
Cette mère courage, qui s'était battue en mars 2014 pour que l'assitante de vie scolaire (AVS) de son fils Allan conserve son poste jusqu'à la fin de l'année scolaire (elle était montée sur une grue sur les allées Jean Jaurès à Toulouse), a d'abord remporté le Prix Entrepreneur Learn Assembly qui lui donne la possibilité de suivre des cours. Puis elle a gagné le 2e Prix Fidealis : «C'est un système de d'enregistrement certifié des créations qui assure une protection parfaite de la datation des droits de propriété intellectuelle. Ce système permet de défendre les droits des entreprises», explique la lauréate. Enfin, alors qu'elle ne s'y attendait absolument pas, Estelle Ast a reçu le Prix «Coup de cœur de la Chambre de commerce et d'industrie Paris Île-de-France, accompagné d'une reproduction de la collection des Ports de France. «Pour vous donner une idée, la deuxième personne après moi a gagné le Prix du président de la République». L'application WatcHelp a désormais de beaux jours devant elle, car outre les personnes atteintes d'autisme, elle sera aussi utile aux autres. «Elle peut servir aux personnes atteintes de troubles cognitifs pour leurs prochains rendez-vous ou les différentes tâches qu'elles doivent effectuer, ainsi que les étapes à suivre lorsqu'elles se retrouvent dans une situation déstabilisante», explique la lauréate du 115e concours Lépine.
Elle s’appelle Noelia Garella, elle a 29 ans et a donné une conférence pour parler de sa vie. « J’ai étudié de nombreuses années et maintenant je suis responsable de trois classes, soit un total de 170 élèves », dit-elle fièrement pour exprimer ce qu’elle a été réalisé à seulement 29 ans. Elle explique également que ses relations avec les parents sont excellentes.
Noelia Garella est la première enseignante atteinte du syndrome de Down (trisomie 21). elle a reçu son diplôme de professorat des écoles en 2007 et enseigne aujourd’hui dans une école maternelle de la ville de Córdoba, du nom de “Capullitos” en Argentine. « Le directeur m’a beaucoup aidé à rentrer dans cette école maternelle ».
« Les parents n’ont jamais eu aucun préjugés avec moi. Quand j’ai commencé à travailler, ces derniers étaient très heureux et les enfants aussi. Nous passons de très bons moments à l’école ».
Noelia Garella est titulaire d’un baccalauréat en économie et gestion spécialisée dans le tourisme, l’accueil et le transport. Elle a ensuite obtenu un master pour l’enseignement, à l’université Antonio Sobral.
De là elle a été invitée par la Chambre Internationale de Gualeguaychú à raconter son expérience et ce qu’elle a déjà pu réaliser dans la vie. « J’ai été invité à la Chambre Internationale pour raconter l’histoire de ma vie », ajoute-elle.
Sa condition n’est ni un obstacle, ni une difficulté, et ne la définit pas non plus en tant que personne. Noelia est confiante et avance vers ses objectifs.
Ariane Hébert estime que le premier diagnostic de TDA/H est souvent posé entre 5 et 12 ans.
Lancement du livre « Le TDA/H raconté aux enfants »
TDAH. « Ça va trop vite dans ma tête, je ne suis pas capable de me concentrer ». Ces phrases, la psychologue Ariane Hébert les a entendues souvent de la bouche d'enfants atteints d'un trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H). Afin de donner des outils aux parents pour expliquer ce trouble à leur enfant, Mme Hébert lançait récemment son deuxième livre, Le TDA/H raconté aux enfants.
« C'est rare que j'annonce moi-même le diagnostic à l'enfant et souvent, les parents ne savent pas trop quoi leur dire. La documentation disponible reste du côté scientifique, alors pour quelqu'un qui ne connait pas ça, c'est du sport. Là, autant le parent que l'enfant peut consulter le livre dont le langage est adapté aux enfants d'âge scolaire », détaille l'auteure et psychologue.
Ariane Hébert, qui se spécialise en évaluation de la santé mentale auprès des adultes et des enfants, estime que le premier diagnostic de TDA/H est souvent posé entre 5 et 12 ans. Avant ces âges, la maturité du cerveau est loin d'être stabilisée et les outils de détection ne sont pas suffisants.
« Avec les animaux, je voulais trouver un pôle positif pour appuyer le pôle négatif parce que les interactions des enfants atteints d'un TDA/H sont souvent négatives et ainsi, ils perdent de vue qu'ils ont des qualités », explique celle qui a inclus un chat-garou, une tortuette et une sautabeille pour illustrer l'état d'esprit de son petit lecteur.
Des trucs
Tout comme dans son premier livre, TDA/H la boîte à outils, Ariane Hébert, elle-même maman de deux enfants présentant un TDA/H, propose une fois de plus des trucs à la portée des enfants et des parents dans sa nouvelle publication.
Ainsi, Léo, neuf ans, qui a longtemps eu l'impression d'être différent à cause de son impulsivité et ses sautes d'humeur, amène son lecteur à le suivre dans son quotidien illustré, tout en lui proposant des astuces pour modifier ses comportements non-souhaités.
« Il y a moins de préjugés qu'auparavant entourant le TDA/H, mais il y en a encore beaucoup. Les nouveaux parents sont à l'aise d'en parler et plus informés, mais ils sont plus jugés par des personnes plus âgées », observe la spécialiste qui se réjouit toutefois que le fait d'avoir un enfant présentant un TDA/H n'est plus automatiquement synonyme de mauvaise pratique parentale dans l'esprit des gens.
Le TDA/H raconté aux enfants est publié aux Éditions de Mortagne. Il est sorti en librairie le 13 avril.
Hier, dimanche 17 avril, à Disneyland Paris, les finalistes de la cinquième saison de<i> The Voice</i> donnaient un concert caritatif pour les enfants de l’association Arc-En-Ciel. <i>Télé-Loisirs.fr</i> y était.
Le groupe sénégalais Sahad and the Nataal Patchwork se nourrit de diverses influences musicales. Ces dignes ambassadeurs de notre scène musicale sont un trait d’union entre plusieurs cultures. Ce groupe est en effet un carrefour culturel où se rencontrent des musiciens de différentes origines avec, à leur tête, Sahad Sarr. A la croisée des chemins entre le blues Malien, l’Afrobeat, le rock et le jazz, leur musique apporte véritablement un nouveau souffle à la musique africaine. Actuellement à Tunis pour les Journées Musicales de Carthage, ce talentueux et prometteur band se dévoile ici à travers cet entretien qu'ils nous ont accordé.
Sahad and The Nataal Patchwork. (Ph) Frédéric Blank
Bonjour Sahad, peux-tu te présenter à nos lecteurs ?
Je m'appelle sahad, auteur compositeur lead vocal de ma formation sahad and the Nataal Patchwork qui signifie portrait du monde un projet qui a maintenant 6 ans d'existence. Notre musique est une fusion afro-jazz. C'est une musique kaléidoscopique qui tire ses influences de l'afro du blues, funk, jazz et ouverte aux influences étrangères. J'ai commencé à jouer de la guitare en étant jeune et c'est au lycée que je me suis rendu compte de mon potentiel artistique et musical et je me suis lancé.
Tu es actuellement en Tunis pour les JMC, dit nous en un peu plus ? Comment s'est faite cette sélection ?
C'est le journaliste Amadou Ndaw du quotidien « le Soleil », qui fait un coup de fil à notre manager Elodie Dupuis, pour lui demander de déposer la candidature du groupe aux JMC en espérant que le Sénégal soit représenté, ensuite nous avons appris notre sélection par la direction du festival qui a aimé le projet. C'est un festival organisé par le ministère de la culture Tunisienne qui regroupe une communauté de professionnels de la musique venant de partout en Afrique et de l´Europe avec des showcases, des salons de l´industrie de la musique, une compétition musicale avec les 12 groupes sélectionnés avec à la clé le prix du meilleur spectacle à gagner.
Comment vis-tu cette nouvelle expérience ?
C'est une agréable expérience. Au sein de la résidence nous rencontrons des artistes de niveau et de renommée international. Il y a aussi beaucoup d´échanges, de découvertes, de speed meetings. Nous sommes dans de bonnes conditions pour présenter un spectacle de qualité. Je me rends compte que la musique c'est un comportement, une attitude, un professionnalisme, donc ça nous apporte beaucoup. On a découvert des projets très intéressants qui sont pour nous, sources de maturité.
Le groupe est encore méconnu au Sénégal, malgré les succès que tu commences à connaitre... A quoi cela est dû ?
Bon, c'est difficile à analyser, mais y a toute une culture musicale à inculquer à la jeunesse sénégalaise. La musique ne se limite pas au M'balax. Y a bien d´autres styles aussi, et pour cela il faudra rechercher s'enraciner, s'ouvrir et proposer quelque chose au monde.
Il faudrait également que l'industrie, les médias, le ministère de la culture aident à développer les musiques alternatives de notre pays, proposer autre chose au public, mettre en place des conservatoires, des écoles de musiques, des salles où les artistes peuvent s'exprimer, découvrir de nouvelles choses et s´enrichir, et tout ça doit faire partie du programme de l'éducation nationale, il faut imprégner les arts africains et du reste du monde dans les écoles. C'est cela qui fera changer les choses.
« On est jamais prophète chez soi » et pour être prophète au pays, il faudrait que tous les secteurs y compris les médias aident cette nouvelle vague de jeunes sénégalais. Mettre en place de nouvelles découvertes musicales pour que le public ait d´autres références, d'autres influences plus positives pour notre développement.
Comment vois-tu la scène folk-acoustique au Sénégal ?
Elle avance, elle s´exprime. Il y a de plus en plus d´adeptes de la folk et ça promet un avenir musical sénégalais très riche. J'ai vraiment espoir, il y'a plusieurs groupes talentueux et d´univers différents au Sénégal. Il faut encore pousser et oser être différent et s´impose afin que ce style de musique sois partout et reconnu.
Parle-nous un peu plus de ta musique et de tes influences...
C'est une fusion entre l'afro, le jazz et le reste des styles d´ailleurs, beaucoup de rythmes afro mixés aux couleurs jazz, funk, latino etc... On essaie de créer une sonorité kaléidoscopique où l´on sent à la fois l'unité des couleurs, des rythmes etc...
Mes influences sont : Yandé Codou Sene, Richard Bona, Fela kuti, James Brown, Ali Farka Touré, Keziah Jones, Coltrane, Miles Davids, Xalam, Ibrahim Maalouf, Ethiopiques, Bembeya Jazz, Cheikh Lô, etc... ils sont nombreux. Nous écoutons énormément de musique, nous sommes vraiment dans la recherche, nous sommes toujours en train de chercher et d'apprendre.
Combien d'albums as-tu à ton actif ?
Là, actuellement nous avons juste sorti un EP de 5 titres intitulé Nataal qui est sorti l´année dernière et qui comporte 5 titres.
Quels sont tes projets en cours ?
Les projets en cours sont la préparation de l´album national et international prévu inchallah en Octobre 2016. Nous allons également lancer de la campagne de crowfunding pour notre album le 23 avril lors d'un show que nous organisons à Dakar. Nous prévoyons aussi la sortie d´un nouveau clip et nous misons sur les concours, les show cases pour exporter notre musique en Afrique et à l'international.
Le professeur Ghislain Magerotte (UMONS), spécialiste international de l’autisme, a été fait, lundi à l’Université de Mons, Chevalier dans l’Ordre de Légion d’Honneur. Il a reçu les insignes des mains de l’ambassadeur de France en Belgique.
Ghislain Magerotte, professeur émérite de la Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Éducation de l’Université de Mons (UMons), est un pionnier dans le traitement de l’autisme. Il est une personnalité éminente au sein de nombreux organismes spécialisés dans le domaine de l’autisme, en Belgique et en France. Il est, notamment, le fondateur et le président d’honneur de la Fondation d’utilité publique «Service Universitaire Spécialisé pour personnes avec Autisme (SUSA)».
En honorant l’action du professeur Magerotte et du «SUSA», la France a tenu à saluer les «bonnes pratiques» profitant à quelque 6.000 à 7.000 Français hébergés dans des structures en Wallonie ainsi qu’à ceux qui, en France, dans les «Agences Régionales de Santé» limitrophes, en particulier dans le Nord-Pas de Calais, bénéficient de l’expérience du SUSA.
La Légion d’honneur est la plus haute distinction française. Elle a été créée en 1802 par Napoléon et récompense chaque année 3.000 personnes qui présentent des mérites exceptionnels dans tous les secteurs d’activités. Dans le cas spécifique du professeur Magerotte, les démarches ont été entamées par l’ambassade de France en Belgique, sur proposition de Philip Cordery, député des Français du Benelux.
Un grand Merci à Eric Pirès Augère et à tous les Disney VoluntEARS pour cette formidable journée offerte par Disneyland Paris aux membres de l'association Trott'Autrement.
Elise et son copain Wilfried en ont bien profité ... Plus de 40 participants pour Trot' ... l'occasion de croiser beaucoup de personnes de connaissance ... L'autisme était ce jour là bien visible à Disneyland !
Où est mon livre ? J'ai besoin que les choses soient à leur place. Déplacez votre curseur sur l'étagère pour m'aider à le retrouver. DIFFICULTÉ D'ADAPTATION À L'IMPRÉVU C'est difficile pour moi de regarder dans les yeux. Déplacez le viseur sur le visage des personnes présentes sur scène.
Le chanteur Hugues Aufray est l’invité d’honneur du gala du Hérisson cette année. (Tony Frank.)
Lilian Renaud, Emji ou encore Brice Conrad : les stars de la téléréalité seront sur scène samedi 2 avril à Ozoir-la-Ferrière pour le gala du Hérisson.
Un concert caritatif qui sera cette année animé par Christophe Beaugrand avec comme invité d’honneur Hugues Aufray. Les bénéfices du gala seront reversés à l’association Hérisson, qui œuvre en faveur des enfants et des jeunes adultes handicapés. Elle organise de nombreuses animations à leur attention et souhaite ouvrir un centre d’accueil permanent.
Samedi 2 avril à 20 h 30. Espace Horizon, allée de l’Espoir. Tarif : à partir de 25 €. Places en vente sur les sites habituels. Plus d’informations au 01.64.06.78.73
La connaissance s'élabore contre une connaissance antérieure.
[Gaston Bachelard]
Cette citation illustre parfaitement les débats passionnés autour de l'autisme ...