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"Au bonheur d'Elise"
loisirs
27 avril 2015

Aujourd'hui c'est l'anniversaire d'Elise ... Notre Rebelle adorée a 30 ANS !

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Elise a beaucoup apprécié son anniversaire fêté une première fois hier soir dans l'intimité familiale ... il manquait Elodie, sa petite soeur, actuellement au Sénégal qu'elle réclame beaucoup.

Sinon un moment de grâce et de plaisir comme on les aime ... Merci Maman, Merci David !

Et pour vous faire plaisir un petit concert que je vous laisse imaginer avec la guitare offerte par David ...

Merci à tous les "amis facebook" pour vos petits mots qui nous vont droit au coeur !

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26 avril 2015

Equithérapie : dans les coulisses d'un tournage

article publié sur France 3 Basse-Normandie

C’est un joli souvenir de reportage. Il faisait frais mais relativement beau en ce dernier jour du mois de mars. Nous avions rendez-vous aux « Chevaux de Bel Air », un centre équestre du nord de l’Ille-et-Vilaine, pour tourner un reportage sur l’équithérapie. Une journée riche...

  • Par Anthony Masteau
  • Publié le 13/04/2015 | 09:24, mis à jour le 13/04/2015 | 10:26
Thomas, jeune adulte autiste, pendant une séance d'équithérapie © Jean-Michel Piron France 3 Bretagne

© Jean-Michel Piron France 3 Bretagne Thomas, jeune adulte autiste, pendant une séance d'équithérapie

Nous sommes arrivés en avance. Nous savions que le petit groupe qui devait nous rejoindre était composé de jeunes adultes autistes. Il était important d’être là et en place avant eux, pour qu’ils puissent s’aclimater à notre présence.

Et l’adaptation s’est réalisée très rapidement. L’intérêt pour notre caméra et notre perche s’est vite détournée au profit du maître des lieux : le cheval.

Des séances toutes les deux semaines

Ce jour là, ce sont Antoine, Thomas et Julien qui ont fait le déplacement. Ils quittent leur foyer de la Vaunoise, à l’Hermitage en Ille et Vilaine, tous les quinze jours pour venir ici monter à cheval. Ils y passent un peu plus d’une heure au plus près des chevaux. A pied, ou en selle, ce contact leur permet de communiquer, ou plutôt d’être en communication avec leur environnement. Ce n’est pas forcément verbal mais il y a de l’échange.

Pour Gildas, l’éducateur qui les accompagne, c’est assez surprenant : 

« On sent qu’il y a quelque chose qui se passe. Ce ne sont pas les mots, on le voit bien, c’est une attitude. Le cheval est plutôt «quelqu’un» de bienveillant, dans une attitude plutôt sympa pour accueillir la communication des résidents ».


Et c’est vrai qu’à cheval, on voit les sourires. Aucune appréhension. Au pas, au trot, nos cavaliers ont une totale confiance dans leurs montures. Des chevaux qui par ailleurs sont eux aussi étonnamment sereins. Marielle, la monitrice, le constate toutes les semaines:

 " Vous voyez Ozzoro, ce grand cheval Irish, il est très très calme, très posé, alors qu’avec les autres cavaliers il aime bien embêter, aller coller, ne pas écouter."


Pendant une heure, Marielle propose à Antoine, Thomas et Julien des jeux d’agilité et de mobilité. Des jeux qui leur permettent de s’assouplir et de se détourner quelques instants des gestes répétitifs qui les agitent.

Interview pendant une séance d'équithérapie de Marielle Auzou, monitrice d'équitation au centre équestre les Chevaux du Bel Air à Montreuil le Gast (35)

Plus calme

Pour Gildas, leur éducateur, ces cours ont de vraies vertus sur les résidents: 

« Le bienfait, il est visible sur le temps de la séance. Quand en plus, ce calme dure après la séance, c’est tout bénéf’ ! »


Quant à Marielle, la monitrice, elle aussi éprouve beaucoup de plaisir à donner ces cours. Quand on lui demande, si ça a changé sa façon de travailler, la réponse fuse : « Je suis beaucoup plus calme ! ».

A vrai dire, nous aussi nous sommes revenus de ce reportage très « zen » et sereins, avec ce sentiment que l’équithérapie  n’est pas une simple thérapie finalement, mais une véritable alchimie qui diffuse ses bienfaits à tous les participants  !

24 avril 2015

Trois raisons d'aller voir En équilibre

article publié dans FAIRE FACE

Trois raisons d’aller voir En équilibre
Cécile de France et Albert Dupontel, deux comédiens en équilibre sur le fil des émotions. ©StudioCanal
Publié le 22 avril 2015
En salles depuis le 15 avril, En équilibre est librement inspiré de l’histoire de Bernard Sachsé, cascadeur devenu paraplégique suite à une chute de cheval sur un tournage.Faire Face vous dit pourquoi, en dépit de quelques ficelles mélodramatiques, il faut aller voir ce film.

1. Parce qu’il s’inspire d’une histoire vraie
Pour réaliser En équilibre, Denis Dercourt s’est appuyé sur un récit autobiographique Sur mes quatre jambes. Dans ce livre paru en 2005, co-écrit avec la journaliste Véronique Pellerin, Bernard Sachsé, cascadeur équestre, raconte comment il s’est retrouvé cloué dans un fauteuil roulant suite à un accident sur un tournage en 1994. Malgré son handicap, ce cavalier émérite est parvenu à remonter à cheval. En 1996, il a même remporté la médaille de bronze par équipe en dressage lors des Jeux paralympiques d’Atlanta. Dresseur, consultant pour des films, Bernard Sachsé a ainsi assuré la supervision équestre de En équilibre et conseillé Albert Dupontel qui interprète son rôle. Le comédien exécute d’ailleurs lui-même les cascades du film, notamment une époustouflante voltige à plein galop sur une plage…

2. Parce que les acteurs (Albert Dupontel et Cécile de France) sont justes
En équilibre afficheSi le personnage de Marc s’inspire de l’histoire de Bernard Sachsé, celui de Florence, l’agent de la compagnie d’assurances chargée du dossier d’indemnisation du cavalier, est purement fictif. Quand on aurait peut-être préféré que le film tourne plus autour de la reconquête du cheval par le héros principal, le réalisateur a privilégié le ressort romanesque de la rencontre. En cavalier blessé mais combatif, Albert Dupontel impose une présence bourrue et rassurante. À ses côtés, Cécile de France, pianiste contrariée qui renoue avec le plaisir de jouer, rayonne d’une beauté bienfaisante.

3. Parce que le scénario ose dénoncer le rôle des compagnies d’assurance dans l’indemnisation d’un handicap
Le réalisateur a choisi de partir de l’indemnisation de son personnage principal pour tisser sa trame narrative de son film. Bernard Sachsé s’est battu pendant dix ans contre les compagnies d’assurances pour obtenir réparation de son préjudice. Si le film de Denis Dercourt n’est pas à proprement parler un réquisitoire contre les compagnies d’assurance, il dénonce certaines pratiques visant à infléchir la décision des victimes. Forcée par sa hiérarchie à lui faire reconnaître qu’il a pris des « risques inconsidérés », Florence cherche, dans un premier temps à forcer la main de Marc pour lui faire accepter une indemnisation a minima et éviter le procès. Un bras de fer contre les compagnies d’assurance dans lequel certaines victimes se reconnaîtront.
Claudine Colozzi

21 avril 2015

Meuphine pour l'insertion des personnes en situation de handicap

article publié sur Vivre FM

Lundi 20 Avril 2015

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Invité : Nadine Vallet, présidente de Meuphine (maman de Pierre, 21 ans) ainsi qu'Alexandre, 14 ans, non-voyant, adhérent de l'association Meuphine

 

L'association Meuphine est une association du 77, créée il y a 12 ans par des parents d'enfants handicapés, et dont l'objectif est l'intégration des enfants et jeunes adultes en milieu ordinaire (sport, culture, scolaire). Elle s'occupe d'une trentaine d'enfants/jeunes ados, adultes handicapés (tous handicaps confondus). Elle propose un espace d'information, d'entraide, de rencontre et d'échange qui réunit tous ceux qui souhaitent aider les personnes handicapées.

 

Trois mamans (Sandrine, Nadine et Nadia) sont à l'initiative de cette association, née de leur expérience des difficultés à surmonter, lors de la scolarisation de leurs propres enfants handicapés.

 

Contacts :

06 63 02 12 61

http://assomeuphine.free.fr/

 
21 avril 2015

Ce petit garçon autiste fait faire le tour du monde à son ours en peluche

article publié sur terra femina

 

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Dorian Poe, un jeune Canadien autiste de 11 ans, a confié en garde alternée son ours en peluche Tikko à des enfants vivant aux quatre coins du monde. But de cette opération originale : sensibiliser sur ce handicap de façon ludique et originale.

Comme des millions d'enfants, Dorian Poe a un ours en peluche. La différence avec ceux des autres bambins, celui de ce jeune Canadien autiste a fait le tour du monde ! Baptisé Tikko, le jouet a, en effet, été confié à des enfants du monde entier afin de sensibiliser un maximum de personnes sur l'autisme. Ainsi, en janvier 2013, l'ours du garçon originaire de Burlington dans l'Ontario a entamé un périple planétaire, portant avec lui un message de tolérance et de compréhension pour les personnes touchées par l'autisme.

"Il est normal d'être différent"

Habillée d'un T-shirt sur lequel est inscrit : "il est normal d'être différent", la peluche a vogué de Rio de Janeiro à Paris en passant par Dubaï et a même atteint le Pôle Nord ! Chaque famille ayant Tikko dans son foyer avait une mission : sensibiliser sa communauté sur le handicap. Rapidement, les aventures de la peluche, visionnables sur Facebook ont fait le buzz, tant et si bien que Tikko a pu faire parler de l'autisme dans des pays où le handicap demeure méconnu et mal pris en charge, comme en Jamaïque, par exemple.

L'opération a été lancée par la mère de Dorian, Christine, en premier lieu pour financer les frais de scolarité du jeune canadien. La maman de Dorian lève sur le site internet de l'opération , chaque année, quelque 24.000 dollars pour offir à son fils une scolarité dans un établissement spécialisé. Un Tikko n'étant pas suffisant devant l'ampleur du défi, le fabricant de la peluche, Ganz, a fait don de 600 ours du même type que Tikko afin de multiplier les voyages. Une belle idée !

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20 avril 2015

REVOIR l'extrait -> Francis Perrin, le comédien passionné par Molière était l'invité du 20 Heures - 19 avril 2015

article publié sur France tv info

Francis Perrin, le comédien passionné par Molière Le comédien Francis Perrin était l'invité du 20 Heures pour présenter sa dernière pièce, "Molière malgré moi"

Mis à jour le 20/04/2015 | 12:43 , publié le 19/04/2015 | 22:58

Cela fait quarante-neuf ans qu'il exerce ce métier et il est toujours là. Le comédien Francis Perrin, invité du 20 Heures, ce dimanche 19 avril, raconte : "C'est la passion qui m'a toujours animé pour ce beau métier et je suis épaté d'être encore là." L'homme expose également la passion qu'il voue à Molière, à qui il consacre une pièce, Molière malgré moi, qui sera jouée à partir du 5 mai au théâtre de la Gaîté Montparnasse.

"Molière est extraordinaire, l'homme est exceptionnel", confie l'acteur. Dans sa pièce, Francis Perrin raconte les quinze dernières années de sa vie, quand il arrive à Paris et joue devant le roi : "C'est le théâtre qui l'a tué. Il a tout donné pour la scène. C'était un chef d'entreprise avant l'heure. Il a fait vivre 50 personnes pendant plus de quinze ans. Il était généreux et il a su plaire à la fois au roi et au peuple."

Un acteur populaire

Francis Perrin est connu pour ses rôles au théâtre, puisqu'il totalise près de 8 000 représentations dans 50 pièces, mais aussi dans de nombreuses comédies à la télévision et au cinéma.

Père de six enfants, il évoque aussi son combat face à l'autisme de son fils Louis : "Ce n'est pas facile en France. La société est très culpabilisante. On ne fait pas assez sur l'autisme en France. Les enfants sont un peu laissés de côté."

16 avril 2015

VIDEO Campagne SOS Autisme : Michel Cymes

14 avril 2015

Elise aime naviguer et cela se voit ... plus touriste qu'elle tu meurs !

" Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices ! Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! " (Le lac de Lamartine) dirai-je en un clin d'oeil ...

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Sortie en bateau mouche à Paris aujourd'hui ... Elise est très à l'aise comme d'habitude au milieu des touristes.

Il me faut simplement l'encadrer quand elle peut partir dans une direction compliquée ... mais grâce à elle je peux voir différents points de vue du bateau ...

Son choix s'arrête après plusieurs essais sur un groupe de jeunes qui font de la musculation à l'arrière du bateau : défi pompes etc. ... ils l'adoptent spontanément après une très brève période d'interrogation.

Le gang d'Elise puisqu'il faut bien leur donner un nom ... et touche pas à ma pote !

 

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14 avril 2015

PARIS CHARLETY 2015 - Les 9 & 10 juin 2015

13 avril 2015

Trott'Autrement toujours : Elise est à la manoeuvre bien encadrée par Charlotte

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Au retour Elise est nettement plus à l'aise ... et fait quelques exercices

Posted by Association Trott'Autrement on lundi 13 avril 2015
13 avril 2015

L'Equitation avec Trott'Autrement c'est cool ... Merci Charlotte

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Cet après-midi, Elise sur Futé part en ballade accompagnée par Charlotte

Posted by Association Trott'Autrement on lundi 13 avril 2015
10 avril 2015

VIDEO. Laurent Savard, humoriste, fait rire avec l'autisme de son fils ... Merci Gabin !

article publié dans l'Express

Par , publié le 10/04/2015 à 12:49 , mis à jour à 21:09

C'est l'histoire d'un père, humoriste, Laurent Savard, qui a trouvé l'inspiration et le succès en osant un pari risqué: faire rire avec le trouble dont est atteint son fils. Gabin, 12 ans, focalise aussi l'intérêt des chercheurs qui remontent avec lui la piste génétique.

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La promenade quotidienne, en rollers pour Gabin, en trottinette pour Laurent, est un moment de complicité.

JPGuilloteau/L'Express


En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/video-laurent-savard-humoriste-fait-rire-avec-l-autisme-de-son-fils_1669010.html#xtor=CS3-5076#jzLydYSjHR9AF68Y.99

Ensemble, les deux copains ont collé des affiches sur les murs de Paris pour leurs one-man-show. C'était leurs débuts, ils passaient dans le même café-théâtre et, le plus souvent, jouaient pour trois quidams. Très vite, Stéphane Guillon devient l'humoriste caustique des plateaux télé, le trublion de France Inter qui défend l'impertinence au point d'être viré. Laurent Savard, lui, peine à se faire un nom. A la naissance de son fils, diagnostiqué autiste, il galère toujours. Confronté au défi insensé d'élever un bonhomme si différent des autres, il se met à écrire, dans son coin, une série de sketches dans la pure veine autobiographique et l'intitule Le Bal des pompiers - allusion à ce 13 juillet de l'année 2002 où il est devenu papa. 

Faire rire avec l'autisme, ce trouble précoce qui compromet le langage, la sociabilité et brise tant de destins ? Le pari est risqué. Le spectacle ovni démarre doucement, en 2010. Il attise la curiosité des parents d'enfants autistes, qui ressortent émus aux larmes et, hyperconnectés, participent au buzz sur Internet. Le public s'élargit, la taille des théâtres aussi. Quand Laurent Savard monte sur la scène du Déjazet, à Paris, son vieux pote Stéphane Guillon est dans la salle.

LA PSY / Laurent Savard par N99

Le one-man-show a aujourd'hui rassemblé plus de 30 000 spectateurs et, après 125 représentations, continue à tourner dans toute la France. Le Bal des pompiers devrait même devenir un film - dès que l'artiste trouvera le temps d'écrire les dernières lignes du scénario. Le handicap du fils a apporté le succès au père, preuve, s'il en fallait, que la vie n'est qu'une vaste blague. 

Dans son propre rôle, l'humoriste force à peine le trait. Les soirs de représentation, quand les projecteurs s'allument, le public découvre un père sur le qui-vive, barbe de trois jours et yeux rétrécis par les nuits sans sommeil. 

Le voici en balade à Montmartre, guettant les réactions d'un petit garçon invisible mais manifestement téméraire, capable, si ça lui chante, de se mettre tout nu au milieu d'un square. "Où tu vas, Gabin ? Ah oui, les cartes postales, elles sont jolies, hein... Regarde là, c'est le Sacré... Non, Gabin, interdit! [NDLR : il gesticule frénétiquement pour se faire comprendre en Makaton, une langue des signes simplifiée pour les autistes.] Même s'il est moche, on déchire pas le Sacré-Coeur, Gabin."  

Dans un autre sketch, le comédien prend la pose, jambes croisées bien haut. Il interprète une psychologue sentencieuse, égarée dans de vaines interprétations freudiennes : "J'ai observé Gabin, il s'assied en retrait, au centre d'un cercle, comme pour mieux chercher l'utérus de sa maman." Puis vient le tour d'une institutrice de maternelle, qui cherche à convaincre le père de retirer l'enfant de sa classe et lâche, à bout d'arguments, cette remarque perfide : "Ce n'est tout de même pas notre faute si Gabin ne sait rien faire !" 

Les méthodes d'apprentissage du langage ont toutes échoué

Dans Le Bal des pompiers, le héros a 4 ans pour l'éternité. Mais Gabin, le vrai, est devenu un garçon longiligne de 12 ans, plus hyperactif que jamais. En cet après-midi d'hiver, casqué, rollers aux pieds, il se tient prêt à débouler hors de l'appartement familial. Comme son père tarde à régler sa trottinette de sport, il s'impatiente. Se met à fermer une par une les portes donnant sur les autres pièces - un besoin impérieux d'ordonner son environnement selon une disposition précise, toujours la même.  

Dehors il bruine, mais, à moins d'une tempête "digne de la fin du monde", Laurent Savard ne renonce jamais à leur randonnée quotidienne dans Paris, moment de complicité sacré à ses yeux, et défoulement vital pour son fils. C'est parti ! Gabin file à vive allure sur le trottoir, les yeux rivés à son smartphone, où défilent ses clips préférés. Son père le talonne, un à deux mètres en arrière, pas plus, veillant au grain et à la couleur des feux de circulation lors de la périlleuse traversée des carrefours. 

image: http://static.lexpress.fr/medias_10384/w_400,c_fill,g_north/autisme-gabin-1_5316735.jpg

Dans son spectacle, le père de l'enfant n'a guère besoin de forcer le trait.

Dans son spectacle, le père de l'enfant n'a guère besoin de forcer le trait.

JPGuilloteau/L'Express

Gabin patine aussi sur la glace. Dans un spot diffusé par l'association SOS Autisme à l'occasion de la journée mondiale de sensibilisation à ce trouble, il forme un émouvant duo avec le médaillé olympique Philippe Candeloro. Il skie, même, mais ne parle toujours pas. Ses parents se sont fait une raison. "Je ne crois pas au miracle, au déclic qui débloquerait d'un seul coup le langage", confie Marie-Lou, sa mère, philosophe par nécessité. "On a essayé assez tôt la plupart des méthodes d'apprentissage reconnues, comme l'ABA, renchérit Laurent. Je ne pense plus, comme dans les premières années, que Gabin pourrait sortir de son autisme. Il est différent, voilà. La solution, c'est le respect de cette différence."  

Il faut dire que Laurent et Marie-Lou connaissent, depuis peu, la cause du handicap de leur fils : une mutation génétique. Un privilège quand, pour la plupart des familles touchées par l'autisme, le mystère demeure. Le couple insiste : un "privilège", oui, même si une anomalie du Shank 3, le gène concerné, sabote la communi cation entre les neurones dans le cerveau de Gabin et provoque une "déficience intellectuelle", comme disent les médecins. "J'ai du mal avec ce terme, lâche Laurent avec une grimace douloureuse. Un vilain mot, vraiment, même si c'est une réalité." 

Gabin n'est pas seulement la vedette d'un spectacle comique. Il est aussi devenu l'une des mascottes de l'équipe engagée, à l'institut Pasteur, dans la course mondiale pour l'identification des gènes de l'autisme. Si bien que son directeur, Thomas Bourgeron, a convié ses parents à une visite privée de son unité, le Laboratoire de génétique humaine et fonctions cognitives. Lorsque Laurent tape à la porte vitrée, en ce début du mois de mars, c'est le généticien en personne qui leur ouvre.  

Veste et chemise noires, le cheveu un peu long et les pattes à la Dick Rivers, il passerait pour une rock star s'il n'employait constamment des mots abscons de biologiste. L'hôte conduit ses visiteurs dans la pièce attenante, où deux chercheurs font défiler sur les écrans de leurs ordinateurs une succession infinie de A, C, G, U, les quatre bases de l'ADN. "Le génome d'une seule personne comporte 3 milliards de lettres", rappelle le directeur-rockeur. C'est une enquête digne d'un détective qu'a menée le Pr Bourgeron pour découvrir, en 2006, le rôle clef joué par le Shank 3. En explorant les génomes de 200 familles touchées par l'autisme, son équipe a repéré chez cinq enfants une mutation sur cette même portion du chromosome 22, indispensable au bon fonctionnement des synapses, la zone de contact entre deux neurones.  

L'ADN de Gabin a été analysé dans la foulée. Depuis, sa frimousse trône en bonne place dans la galerie de portraits rassemblés pour l'étude en cours : 6 garçons et filles auxquels les chercheurs espèrent pouvoir proposer, un jour, un traitement. En France, l'anomalie du Shank 3 concernerait de 2 000 à 3 000 personnes. 

Une erreur de réplication de l'ADN aux premiers stades de la vie

Plus fascinée qu'intimidée par cet étalage de sciences dures, Marie-Lou ne tarde pas à poser la question qui la préoccupe : "Et pour Gabin, elle s'est produite comment, cette mutation ?" 

Ni elle ni Laurent n'en sont porteurs - l'équipe de Pasteur l'a vérifié grâce à une prise de sang. "Il pourrait s'agir d'une erreur de réplication de l'ADN, quand les cellules se multiplient aux tout premiers stades de la vie", suggère le Pr Bourgeron, plongeant Marie-Lou dans un abîme de perplexité. Mais il a gardé la bonne nouvelle pour la fin. Le décryptage du génome complet d'un individu est désormais bon marché. A 1 500 euros, son laboratoire peut se permettre la dépense. Alors, la semaine dernière, il a passé commande de celui de Gabin. "Nous pourrions y trouver d'autres particularités génétiques, poursuit le Pr Bourgeron. Nous espérons comprendre pourquoi, avec la même mutation, certains enfants ne parlent pas du tout alors que d'autres disent quelques mots." Gabin ? Une superstar de la recherche. 


1 avril 2015

En cette veille de journée mondiale de l'autisme Spiderman veille sur Elise !

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1 avril 2015

Artistes et autistes s'allient pour changer le regard de la société

Faire accepter plus facilement les enfants autistes dans les écoles, clubs de sport et conservatoires, c’est le but d’une campagne contre les discriminations lancée jeudi par l’association SOS autisme, alliée à des célébrités.

Les acteurs Guillaume Canet, Charles Berling, les chanteurs Marc Lavoine, Calogero, Matthieu Chedid, la danseuse étoile Marie-Claude Pietragalla, les sportifs Henri Leconte, Emmanuel Petit, Frédéric Michalak… de nombreuses personnalités se sont associées à cette campagne diffusée à partir de jeudi, journée mondiale de l’autisme, sur plusieurs chaînes de télévision et au cinéma.

Les spots de 30 secondes, réalisés par Patrice Leconte, montre chacun des personnalités évoluant dans sa discipline avec un enfant ou un jeune autiste: en studio, sur un terrain de sport, dans une salle de danse ou à l’école où Gérard Klein rejoue « L’instit ».

« Malgré la loi sur l’égalité des chances, ils sont 600.000 à être privés de leurs droits à l’éducation, à la culture et au sport », relève la campagne. « Qu’attendons-nous pour changer notre regard sur l’autisme? »

Des entretiens avec d’autres personnalités, telles que l’actrice Léa Seydoux ou le généticien Axel Kahn, seront diffusés sur le web.

« La discrimination liée au handicap est un délit puni de trois ans de prison et 45.000 euros d’amende », rappelle le ténor du barreau, Eric Dupond-Moretti. « S’il faut faire un procès pour faire bouger les choses, on fera un procès ».

Une précédente campagne de SOS Autisme avait montré les difficultés auxquelles sont confrontées les familles pour faire accepter leurs enfants à l’école en milieu ordinaire, dans les clubs de sport, centres de loisirs et conservatoires.

« L’école est le bastion que nous voulons atteindre, mais le sport et la musique sont aussi très importants pour ces enfants », qui parfois ne s’expriment pas verbalement et ont besoin de montrer « autrement leurs émotions, leur stress, leurs angoisses », souligne la présidente de l’association, Olivia Cattan.

L’un des jeunes autistes apparaissant dans un clip en train de chanter, Carl, ne parle pas dans la vie quotidienne.

Cette campagne vise aussi à « mettre fin aux préjugés et clichés » qui entourent l’autisme, en montrant ce handicap « dans toute sa diversité ». Mme Cattan regrette en effet que les représentations données au grand public tournent souvent autour de deux extrêmes, « les cas désespérés ou les surdoués ».

Dans une lettre ouverte à François Hollande, la présidente de SOS autisme et le secrétaire national, Alexandre Klein, autiste Asperger, expriment par ailleurs leur « consternation » au sujet d’un amendement « inacceptable » au projet de loi santé, rédigé par des députés socialistes.

Cet amendement porte sur la mise en place d’un « dispositif permanent d’orientation » au sein des Maison départementales des personnes handicapées (MDPH), à partir des « besoins » de la personne et des « ressources mobilisables ».

Dans les faits, selon l’association, il donnerait « les pleins pouvoirs » aux MDPH, qui pourraient décider « unilatéralement » d’envoyer les enfants dans des établissements en Belgique, faute de places en France, dans des hôpitaux de jour ou même des hôpitaux psychiatriques.

« Quand allez-vous regarder enfin les politiques du handicap mises en place par nos voisins italiens, danois, canadiens? », demandent les signataires au chef de l’Etat. Ils estiment que la France, qui « continue à ignorer les recommandations de la Haute autorité de Santé » sur les méthodes éducatives, a « plus de 40 ans » de retard.

Quand son fils Ruben a été diagnostiqué, à 4 ans, Mme Cattan l’a un temps amené à l’étranger, où une méthode éducative a débloqué sa parole, avant de se former elle-même à ces méthodes. Il a aujourd’hui neuf ans, est scolarisé en CE2 et a « 15/16 de moyenne ».

1 avril 2015

Autisme -> Accompagner vers l'autonomie

28 mars 2015 à 09h31 / Cathy Tymen /

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Nathalie Jamier et Noëlle Chevance présentent l'affiche du spectacle... Nathalie Jamier et Noëlle Chevance présentent l'affiche du spectacle humoristique de Laurent Savard, comédien et père d'un enfant autiste.

L'autisme a été décrété grande cause nationale en 2012. Quelques timides avancées ont été obtenues, notamment dans la scolarité des enfants. Mais pour Autisme Cornouaille, il reste encore beaucoup à accomplir pour gagner en autonomie.

Depuis plusieurs années, une association de parents d'enfants autistes, Autisme Cornouaille, se mobilise sans relâche pour alerter les pouvoirs publics dans le but d'améliorer la prise en charge de ces enfants et des adultes qu'ils deviennent un jour.

Cette association vient aussi en aide aux parents déboussolés par l'annonce du diagnostic, qui perdent parfois pied face aux comportements de leur enfant ou qui se trouvent sans solution d'accompagnement. Des missions de santé publique financées par l'association. « On comble les carences du médico-social et du médical », lâche Noëlle Chevance. Avec Nathalie Jamier, toutes deux sont les chevilles ouvrières d'Autisme Cornouaille. Ce sont aussi deux mères de famille qui travaillent mais qui continuent à se battre pour que les enfants autistes puissent être accompagnés vers l'autonomie.

Quelles solutions d'accueil ?

À l'occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme, elles ont souhaité souligner les carences qui demeurent dans la prise en charge de l'autisme. « Les choses évoluent lentement. Sur le plan de la scolarité, cela a quand même bien avancé grâce à l'accompagnement assuré par les auxiliaires de vie scolaire. Mais il faut développer cette autonomie car les parents vont vieillir », fait remarquer Noëlle Chevance. « Il faut toujours se battre en permanence pour parvenir à faire admettre son enfant en classe Ulis au collège. Sinon c'est l'IME, mais il y a peu de places. C'est saturé », constate Nathalie Jamier. « Et il y a peu de structures formées à l'autisme », ajoute-t-elle, tandis que Noëlle Chevance fait remarquer que « certains milieux pourraient accueillir des autistes de haut niveau, de type Asperger. De fait, beaucoup de mères restent à la maison. Mais lorsqu'elles sont hospitalisées, il faut trouver une solution temporaire d'accueil de l'enfant autiste. C'est parfois l'hôpital psychiatrique, sans aucune préparation... »

Un service d'accompagnement pour adultes

Si leur détermination vient parfois à fléchir, ces deux mamans n'en disent mot. Elles veulent positiver. « Cette année, un appel à projet a été lancé pour créer un service d'accompagnement à la vie sociale pour les adultes autistes et dys (dyslexiques, dysphasiques...). Cela va permettre de former du personnel pour les aider dans leur recherche d'emploi, à faire les courses, bref à les accompagner vers l'autonomie comme cela se fait pour les personnes en situation de handicap. Il y aura dix places pour le Finistère. Mais il faudrait aussi former du personnel dans les entreprises qui acceptent d'accueillir des autistes en stage ou qui leur offrent un emploi. Car certains jeunes peuvent travailler pour peu qu'ils soient accompagnés dans un premier temps. Il faudrait aussi créer des résidences pour les adultes », martèlent les deux mamans.

Spectacle avec Laurent Savard

2015, sera aussi l'année, où l'Agence régionale de santé se prononcera sur la pérennisation du service d'accompagnement comportemental spécialisé de Kergonan qui applique la méthode ABA depuis cinq ans. « Si, c'est la voie de l'expérimentation qui est à nouveau choisie, ce sera avec quel budget ? », s'inquiète Nathalie Jamier.

Pour aider au financement de ses actions, Autisme Cornouaille programme un spectacle à la salle Athéna à Ergué-Gabéric le 7 avril à 20 h 30. « Le bal des pompiers » est un one-man-show de Laurent Savard, père d'un enfant autiste de 13 ans. Ses sketches, à la fois humoristiques et un peu caustiques, retracent les différents épisodes d'un parent d'enfant autiste.

Entrée : 5 €, gratuité jusqu'à 16 ans. 3,50 € pour les personnes avec carte d'invalidité. Réservations au 06.82.33.69.73 ou 06.66.77.02.97.


27 mars 2015

PARIS -> BAHAMAS, une association qui propose des cours de natation aux personnes avec handicap mental

 

 

BAHAMAS est une association sportive loi de 1901, affiliée à la FFSA.

 

L'association aide les enfants à partir de 7 ans et, les adultes handicapés à s'épanouir dans le milieu aquatique.

tiret vert vivrefm topAccéder au site de Bahamas

 

Elle propose à des personnes handicapées mentales ou souffrant de troubles psychiques de pratiquer la natation (préparation à la pratique par psychomotricité en piscine, entraînements, voire compétitions).

 

Piscine "Alfred Nakache"
4-12, rue Dénoyez 75020 Paris

 

Piscine "Cour des lions"
11, rue Alphonse Baudin 75011 Paris

 

25 mars 2015

Hip Hip Hip Meuphine!

logo association meuphine

Sortie Eurodisney avec l'association MEUPHINE le 21 mars 2015

 

 

24 mars 2015

Des résidents du FAM de la Pointe-du-Lac posent devant la fresque qu'ils ont réalisée

article publié sur le site de la ville de Créteil

photo des résidents du foyer

Des résidents du Fam de la Pointe-du-Lac posent devant la fresque qu’ils ont réalisée.

 

Six résidents du Foyer d’accueil médicalisé (Fam) de la Pointe-du-Lac viennent de terminer la fresque qu’ils ont réalisée sur un mur de l’internat de l’établissement.

D’octobre 2014 à janvier 2015, ce petit groupe de trentenaires a participé à des ateliers animés bénévolement par une artiste peintre cristolienne, Jocelyne Traclet. Tous les jeudis, ils ont pu, tour à tour, s’initier à la peinture sur toile et appliquer les premières couches de la fresque, les finitions étant effectuées par la plasticienne.

Ouvert il y a presque quatre ans, le Fam de la Pointe-du-Lac est un centre ressource pour l’autisme, accueillant jusqu’à 85 résidents (internat, externat, studio, Service d’accompagnement médico-social pour adultes handicapés [Samsah], centre de formation…).

22 mars 2015

Thérapie de choc pour Elise ... avec l'association Meuphine

P1080703

Répondant à l'invitation de Nadine VALLET, la présidente de l'association MEUPHINE, nous avons passé une journée inoubliable en famille à Disneyland Paris. (voir le montage photos souvenir in fine)

logo association meuphine

MEUPHINE est aussi sur facebookfacebook cliquez sur j'aime (n'oubliez pas de cliquer sur le bouton de la page)

 

De très nombreuses familles avaient répondues au rendez-vous et des groupes constitués en début de journée chacun encadrés par des voluntears. Je vous passe le programme mais picnique & goûter étaient prévus en commun ainsi qu'un emplacement privilégié pour la parade.

Traitement de choc pour notre groupe à bord des attractions suivantes :

  • Indiana Jones et le temple de péril
  • Tower of terror
  • Rock'n roller copster
  • Crush' coaster
  • Ratatouille

On a beaucoup crié !!! GENIAL !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

P1080717

Voir ici :

http://mondisneylandparis.fr/les-attractions/

P1080749

Un Grand merci à Meuphine & à José et Quentin nos voluntears de Disney !!! Les voluntears sont des bénévoles purs et durs d'une gentillesse et efficacité remarquables

21 mars 2015

Les centres de loisirs pour enfants handicapés et valides

article publié sur le site de la Mairie de Paris

Crédits photo : Anne Thomes/Mairie de Paris
[29/08/2014]

Un enfant handicapé peut être accueilli soit dans les centres de loisirs ordinaires, soit dans les centres de loisirs à parité pour enfants handicapés et valides.

Les centres de loisirs ordinaires ouverts à tousL’égalité d’accès aux activités périscolaires est assurée à tous les jeunes Parisiens. Les centres de loisirs sont ouverts aux enfants de 3 à 13 ans révolus, scolarisés ou domiciliés à Paris. Si l’enfant a un PPS (projet personnalisé de scolarisation) pendant le temps scolaire, il sera élaboré une extension pour les temps péri et extra scolaire. Dans le cas où la famille n’a pas établi ce PPS, un projet est mis en place sur ces temps. Il faut s'adresser au responsable de l'action éducative de la circonscription des affaires scolaires correspondant à votre arrondissement.

Favoriser les échanges entre tous les enfantsL’association Loisirs Pluriel,  subventionnée par la Ville de Paris, réserve la moitié des places de ses 2 centres de loisirs aux enfants porteurs de handicap physique, mental ou sensoriel. Des centres de loisirs à parité en gestion municipale ont été ouverts en début pour des enfants d’âge élémentaire. 

Des animateurs qualifiés accueillent les enfants le mercredi et pendant les vacances scolaires, et organisent des activités en petits groupes mixtes. La Ville de Paris a le projet d’ouvrir un centre de loisirs à parité dans chaque arrondissement parisien. En effet, on constate que l’implantation d’un centre à parité permet une synergie avec les autres centres de loisirs dans l’accueil des enfants handicapés. De plus, les centres à parité peuvent accueillir des enfants avec un handicap plus lourd qui ne leur permettrait pas d’être reçus au sein d’un centre ordinaire.

Depuis 2004, 9 centres de loisirs pour enfants handicapés et valides ont été mis en place à Paris : dans le 5e et le 19e arrondissement avec les associations Loisirs Pluriel, et dans les 9e, 12e, 14e, 17e, 18e et 20e arrondissements directement gérés par la Ville de Paris.

Centre de loisirs élémentaire
28 rue Saint Jacques - Paris 5e
Contact association Loisirs Pluriel Tel : 01 43 21 51 70 - 06 70 47 98 00

Centre de loisirs élémentaire
10 rue de Clichy - Paris 9e

Centre de loisirs élémentaire
5 rue Gerty Archimède - Paris 12e

Centre de loisirs élémentaire
7 rue Maurice d'Ocagne - Paris 14e

Centre de loisirs maternel et petite enfance
87 rue Pajol - Paris 18e

Centre de loisirs polyvalent (maternel et élémentaire)
rue Chalabre - Paris 17e

Centre de loisirs polyvalent (maternel et élémentaire)
16, rue Tandou -Paris 19e
Contact : Association Loisirs pluriel de Paris 19Tél. : 01 40 03 05 17 - 06 89 07 42 22

Centre de loisirs polyvalent (maternel et élémentaire)
17 rue Cité Champagne - Paris 20e

Centre de loisirs polyvalent (maternel et élémentaire)
32 rue Olivier Métra - Paris 20e

Les HorairesPendant les vacances scolaires, les enfants sont accueillis de 8h20 à 18h30, l'accueil à la demi journée étant possible.
Le mercredi, depuis septembre 2013, les centres de loisirs accueillent les enfants à partir de 13h30.

Les TarifsLes tarifs des participations familiales sont identiques à ceux des autres centres de de loisirs de la Ville de Paris . 

Pour tous renseignements concernant les centres de loisirs à parité gérés par la Ville
Contactez la Direction des Affaires Scolaires - Centre de Ressources « Enfance Handicapée »
Tél : 01 44 23 86 07

» Téléchargez la plaquette de présentation des centres de loisirs à parité (au format pdf)

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